Distributeur d'étiquettes assurant le prélèvement d'étiquettes sur un ruban (1) continu pour leur impression, comportant un chemin de guidage (6) de ruban, un couteau (11) monté sur le chemin(6), des moyens d'entralnement(10,12,13)intermittent du ruban montés sur ledit chemin (6) relativement audit couteau (11) pour assurer, simultanément en aval et en amont du couteau, un maintien du ruban (1) et son entraínement à une vitesse d'avance donnée, des cellules(25,26) de détection du ruban (1)et des étiquettes, montées en aval du couteau (11) sur le chemin (6) et dont l'une d'entre elles dite première cellule (25) est à une distance du couteau (11) égale à la longueur de premières étiquettes dites étiquettes courtes et affectée à la détection d'une position initiale du ruban (1) sur son chemin, des moyens de commande(81) desdits moyens d'entraínement (10,12,13) et dudit couteau (11) reliés auxdites cellules, (25,26) et des moyens d'éjection (30,32,36) de chaque étiquette prélevée, à une vitesse d'évacuation supérieure à ladite vitesse d'avance, montés en aval de la première cellule (25) et séparés des moyens d'entraínemen (10,12,13) d'une distance inférieure à la longueur des étiquettes courtes, caractérisé en ce que lesdits moyens de commande (81) comportent une entrée (88) recevant un signal de sélection desdites étiquettes courtes ou de deuxièmes étiquettes dites longues à prélever ainsi qu'un signal détection de la position de repos du couteau(11) délivré par un détecteur de repos (45,46,47) et déclenchenten correspondance des séquences de distribution de l'étiquette souhaitée, à partir du signal de détection de ladite position initiale du ruban et du signal de détection de la position de repos du couteau, et en ce qu'il comporte, en outre, une deuxième (26) desdites cellules (25, 26) montée à une distance du couteau égale à la longeur desdites étiquettes longues et affectée à la détection d'une avance supplémentaire du ruban sur son chemin, depuis ladite position initiale, avant l'actionnement du couteau, pour le prélèvement de chaque étiquette longue souhaitée.

Procédé selon la revendication 4 caractérisé par le fait qu'il consiste à mélanger intimement l'oxyde cérique avec au moins un oxyde des métaux précités.

Procédé selon la revendication 4 caractérisé par le fait que l'on imprégne l'oxyde cérique à l'aide d'une solution d'au moins un sel des métaux précités décomposables en oxyde par chauffage, constituant un

Procédé selon la revendication 8 caractérisé par le fait que l'on imprégne "à sec" l'oxyde cérique, par un volume de la solution précitée du sel des métaux égal au volume poreux de l'oxyde cérique. Procédé selon l'une des revendications 8 ou 9 caractérisé par le fait que le précurseur d'oxyde est un nitrate ou un sulfate d'aluminium.

Procédé selon l'une des revendications 8 à 10 caractérisé par le fait que le précurseur d'oxyde est un silicate d'ammonium quaternaire.

Procédé selon l'une des revendications 8 à 11 caractérisé par le fait que le précurseur d'oxyde est un sulfate de zirconyle, un nitrate de zirconyle ou un complexe fluoré de zirconium.

Procédé selon l'une des revendications 8 à 12 caractérisé par le fait que l'oxyde cérique imprégné est séché entre 80 et 300°C.

Procédé selon la revendication 13 caractérisé par le fait que la température de séchage est choisie entre 100 et 150°C.

Procédé selon l'une des revendications 13 à 14 caractérisé par le fait que la durée du séchage varie netre 1 et 24 heures.

Procédé selon l'une des revendications 8 à 15 caractérisé par le fait que l'oxyde cérique imprégné est calciné entre 400 et 1000°C.

Procédé selon la revendication 16 caractérisé par le fait que la température de calcination est choisie entre 600 et 900°C.

Procédé selon l'une des revendications 16 ou 17 caractérisé par le fait que la durée de calcination varie entre 1 et 24 heures.

Procédé selon la revendication 18 caractérisé par le fait que la durée de calcination est choisie entre 4 et 10 heures.

Procédé de fabrication d'une composition à base d'oxyde cérique selon la revendication 1 caractérisé par le fait qu'il consiste : dans une première étape, à introduire au moins un précurseur d'oxyde d'un élément métallique A dans une dispersion colloïdale aqueuse d'un composé de cérium IV, dans une deuxième étape, à déstabiliser ladite dispersion par addition d'une base, dans une troisième étape, à séparer le précipité obtenu, dans une quatrième étape, à le soumettre à un traitement thermique.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que le précurseur d'oxyde est un nitrate ou un sulfate d'aluminium, un silicate d'ammonium quaternaire, un sulfate de zirconyle, un nitrate de zirconyle ou un complexe fluoré de zirconium.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que la dispersion colloïdale aqueuse d'un composé de cérium IV est obtenue par mise en dispersion dans l'eau d'un composé de cérium IV répondant à la formule générale (I) : Ce (M)x (OH)y (NO₃)z , n H₂O   (I) dans laquelle : M représente un métal alcalin ou un radical ammonium quaternaire x est compris entre 0 et 0,2 z est compris entre 0 et 0,7 y est tel que y = 4- z + x n est compris entre 0 et environ 20

Procédé selon la revendication 22 caractérisé par le fait que la concentration du composé de cérium IV dans ladite dispersion colloïdale varie entre 0,1 et 2,0 moles/litre.

Procédé selon l'une des revendications 22 ou 23 caractérisé par le fait que ladite dispersion est obtenue par mise en dispersion dans l'eau d'un composé de cérium IV obtenu par hydrolyse d'une solution aqueuse de sel de cérium IV en milieu acide, par séparation du précipité obtenu et éventuellement traitement thermique.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que la normalité de la solution basique varie entre 5 et 10 N.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que la quantité de base additionnée est telle que le pH final de la dispersion traitée soit supérieur à 7.

Procédé selon la revendication 26 caractérisé par le fait que la quantité de base additionnée est telle que le pH final de la dispersion traitée soit supérieur ou égal à 9, et inférieur ou égal à 10.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que l'on additionne la base dans la dispersion colloïdale aqueuse du composé de cérium IV contenant au moins un précurseur d'oxyde ou inversement : l'addition pouvant être effectuée en une seule fois, graduellement ou en continu.

Procédé selon la revendication 28 caractérisé par le fait que le débit d'addition de la base dans ladite dispersion varie entre 0,1 et 5 moles d'OH- par mole de cérium IV et par heure.

Procédé selon la revendication 28 caractérisé par le fait que la température du mélange est choisie entre la température ambiante (10-25°C) et 60°C.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que l'on effectue la séparation du précipité selon les techniques classiques de séparation solide-liquide : filtration, décantation, centrifugation ou essorage puis on effectue un ou plusieurs lavages du précipité à l'aide d'eau ou d'un solvant organique.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que l'on effectue l'étape de séchage à l'air ou sous pression réduite de l'ordre de 133,32 à 13332 Pa (1 à 100 mm de mercure), à une température comprise entre la température ambiante (10-25°C) et 100°C pendant une durée comprise entre 2 et 48 heures.

Procédé selon la revendication 20 caractérisé par le fait que l'on effectue l'étape de calcination à une température comprise entre 400 et 1000°C pendant une durée allant de 1 heure et 24 heures.

Procédé selon la revendication 33 caractérisé par le fait que la température de calcination est comprise entre 600 et 900°C.

Procédé selon l'une des revendications 33 et 34 caractérisé par le fait que la durée de calcination est comprise entre 4 et 10 heures.

Utilisation de la composition décrite dans l'une des revendications 1 à 3 dans le domaine de la catalyse comme catalyseur ou support catalytique.

Dans un procédé pour la séparation et l'isolement du nosiheptide qui consiste à mélanger un milieu de culture, obtenu par culture d'une souche productrice de nosiheptide appartenant au genre Streptomyces, avec un solvant qui est soluble dans l'eau puis à séparer du nosiheptide à partir de la solution obtenue après séparation d'une fraction insoluble dans le solvant ayant le mycélium comme constituant essentiel, le perfectionnement consiste à ajouter de l'eau ou de l'eau contenant un acide dans la solution contenant le nosiheptide afin de précipiter le nosiheptide et de séparer le nosiheptide ainsi précipité.

1. Procédé d'hémisynthèse de la vincristine caractérisé en ce que l'on oxyde la vinblastine ou ses sels par l'acide chromique ou ses sels à basse température dans l'acétate d'éthyle additionné d'acide acétique et en ce que la vincristine base, libérée par adjonction d'ammoniaque dans le milieu réactionnel, est obtenue directement par décantation.

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la réaction d'oxydation est effectuée entre _83°C et _25°C.

3. Procédé selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que la vincristine brute est purifiée par chromatographie sur silice avec mise en oeuvre d'un gradient d'élution toluène-méthanol.

4. Procédé selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que la vincristine est purifiée par cristallisation dans le méthanol.

5. Procédé selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la vincristine est salifiée avec un acide thérapeutiquement acceptable.

Dispositif pour réaliser un filtrage adapté et une compression d'impulsion dans un système radar comportant une chaíne de réception d'un signal radar, le signal radar, x (t), étant émis selon le codage de Frank, où x (t) = exp (j.2π.f.t), où 0 ≦ t < T et f = k / T.N, caractérisé par le fait que ce dispositif est réalisé à l'aide d'un dispositif de calcul d'une transformée de Fourier discrète et glissante sur une fenêtre temporelle de durée T, fournissant une pluralité (k) de composantes de ladite transformée à partir de N d'échantillons (xm+N) d'un signal d'entrée, le dispositif comportant une pluralité de N étages (E₀...EN-1) identiques, montés en parallèle, chaque étage étant relié à des premiers moyens (10), recevant les échantillons et comportant des deuxièmes moyens d'addition-soustraction (2) pour élaborer la quantité δm = xm+N - xm ; chaque étage (Ek), recevant la quantité δm et élaborant la composante : où k est l'indice de l'étage, 0 ≦ k ≦ N-1, et m, l'indice de la fenêtre, chaque étage comportant à cet effet des troisièmes moyens (4) additionnant la quantité δm à la composante X m / k précédemment calculée par l'étage (Ek), et des quatrièmes moyens (5) recevant le signal de sortie des troisièmes moyens et lui imposant une rotation complexe selon l'expression exp {j.2π. k / N }, la sortie de ces quatrièmes moyens constituant la sortie de l'étage (Ek) ;    et par le fait que la sortie de chaque étage (Ek) après avoir été affectée d'un retard (Rk) égal à N périodes d'échantillonnage est reliée à un sommateur (Ak) pour être sommée à la sortie de l'étage suivant (Ek+1), la sommation étant réalisée jusqu'au dernier étage (EN-1) pour produire le signal de sortie (sm) du dispositif.

Système selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les premiers moyens (10) comportent en outre des moyens de retard (1), recevant les échantillons (Xm+N) et leur conférant un retard T, les deuxièmes moyens d'addition-soustraction (2) élaborant la différence entre l'entrée et la sortie desdits moyens de retard (1), qui constitue la quantité δm = xm+N - xm.

Système selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que chacun des étages (Ek) comporte en outre des moyens de mémorisation (3) de la composante X m / k qu'il a calculée.

Système selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les quatrièmes moyens de rotation complexe comportent quatre mémoires, recevant la partie réelle ou la partie imaginaire de la composante à laquelle il faut faire subir la rotation complexe exp {j.2π. k / N}, et fournissant en sortie le produit de la grandeur qu'elles ont reçu en entrée par la partie réelle ou la partie imaginaire de l'exponnentielle ci-dessus, les sorties des mémoires étant sommées de façon à fournir la partie réelle et la partie imaginaire de la grandeur de sortie.

Système selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que les sorties des différents étages comportent en outre des moyens de pondération en amplitude.

1. Procédé pour monter un circuit intégré (12) sur une face d'un support (11), et pour connecter électriquement, au travers de trous (16) réalisés dans l'épaisseur du support, les plots du circuit intégré (12) à des contacts (13) appliqués sur l'autre face du support, caractérisé en ce qu'il consiste à percer les trous (16) dans le support (11), à fermer les trous (16) par une couche métallique (15) constituant les contacts (13), et en ce qu'il consiste à souder directement chaque plot (14) du circuit intégré à chaque contact (13) respectif du support, en faisant passer chaque plot dans le trou associé au contact respectif, et en ce que, à cet effet, l'ensemble des plots est disposé sur la même face du circuit intégré, et en ce que la hauteur de chaque plot est approximativement égale, sans y être inférieure, à l'épaisseur du support, de façon que les plots constituent les éléments de connexion électriques entre le circuit intégré et les contacts (13).

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il consiste à former une boule massive (17) de brasure tendre sur chaque plot initial (14a) d'un circuit intégré classique (12).

3. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il consiste à disposer sur chaque plot initial (14a) d'un circuit intégré classique un élément conducteur formant entretoise (17′).

4. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il consiste à surélever les plots initiaux (14a), par dépôt électrolytique par exemple.

5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il consiste à disposer une couche d'or (17") sur les plots initiaux surélevés ( 14′a ).

6. Procédé selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'il consiste à relier électriquement une paroi du circuit intégré (12) à la couche métallique (15) à travers un trou (22) traversant le support (11) sous la couche ( 15 ).

7. Dispositif (10, 28) porteur de circuits intégrés (12), comprenant un support (11, 29) percé de trous (16) et ayant une face (11a, 29a) pourvue d'une couche métallique (15) fermant les trous (16) et une autre face (11b, 29b) pourvue d'au moins un circuit intégré (12) ayant ses éléments de connexion (14) soudés dans les trous à ladite couche métallique, caractérisé en ce que les éléments de connexion sont les plots respectifs (14) du circuit intégré (12), ayant une hauteur approximativement égale, sans y être inférieure, à l'épaisseur du support (11, 29).

8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que chaque plot (14) se compose d'un plot initial (14a) surmonté d'une boule massive (17) de brasure tendre.

9. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que chaque plot (14) se compose d'un plot initial (14a) surmonté d'un élément conducteur formant entretoise ( 17′).

10. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que chaque plot est un plot initial surélevé (14′a).

11. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce que chaque plot initial surélevé est surmonté d'une couche épaisse d'or (17").

12. Dispositif selon l'une des revendications 7 à 11, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif de polarisation (21, 24) entre une paroi du circuit intégré et la couche métallique à travers un trou (22) traversant le support sous la couche métallique.

13. Dispositif selon la revendication 12, caractérisé en ce que le dispositif de polarisation est une lame métallique conductrice (21) fixée au dos (12b) de la puce ( 12 ).

14. Dispositif selon la revendication 12, caractérisé en ce que le dispositif de polarisation est formé par de la colle conductrice (24).

15. Dispositif selon l'une des revendications 7 à 14, caractérisé en ce que le support (29) est un film du type cinématographique présentant des domaines adjacents (31a, 31b, ...) identiques, pourvus d'une couche métallique (15) fermant des trous respectifs (16) du support (29) et soudée dans ces trous aux plots (14, 25) d'au moins un circuit intégré (12), les plots étant pourvus d'une hauteur sensiblement égale à l'épaisseur du support.

16. Dispositif selon l'une des revendications 7 à 15, caractérisé en ce que la couche métallique (15) qui ferme les trous (16) constitue des contacts respectifs (13) du dispositif.

17. Dispositif selon l'une des revendications 7 à 15, caractérisé en ce que la couche métallique (15) se compose de bandes (35) présentant chacune à une extrémité un bossage (17) et à une autre extrémité un contact (13).

18. Dispositif selon la revendication 16 ou 17, caractérisé en ce qu'il est recouvert d'un film isolant (36) pourvu de trous délimitant les contacts (13).

19. Carte (26) à microcircuits électroniques, du type incorporant une pastille (10) qui présente sur une face une couche métallique présentant les contacts (13) de la carte et qui comporte au moins un circuit intégré (12), caractérisée en ce que la pastille (10) résulte du dispositif tel que décrit dans l'une des revendications 7 à 18.

20. Carte selon la revendication 19, caractérisée en ce que le circuit intégré (12) est placé dans un coin de la carte tandis que les contacts (13) sont situés dans une zone médiane de la carte.

1. Hélice ou structure similaire, telle que roue de turbine, avec un moyeu central d'hélice (2) à la périphérie duquel sont ménagés des logements (5) de forme générale cylindrique et avec des pales (1 ) initialement séparées du moyeu (2), chaque pale (1) possédant une embase (7) munie d'une partie (8) de forme générale cylindrique complémentaire de l'un des logements (5) du moyeu (2), et apte à être introduite dans l'un de ces logements, des moyens étant prévus pour réaliser une liaison entre chaque pale (1) et le moyeu (2), ces moyens comprenant une premiè­ re gorge annulaire (6) de section semi-circulaire creusée dans la paroi latérale cylindrique de chaque logement (5) du moyeu (2), une seconde gorge annulaire (9) de section semi-circulaire creusée tout autour de la partie (8) complémentaire de ce logement (5) formée sous l'embase (7) de la pale (1) correspondante, les deux gorges (6, 9) étant mises en coïncidence lors de l'introduction de ladite partie (8) dans le logement (5), de manière à former une cavité torique, et des billes (10) introdui­ tes dans la cavité torique, caractérisé en ce que pour immobiliser les pales (1) dans les positions désirées, les moyens de liaison précités comprennent encore des moyens de blocage (13,14) agissant sur les billes (10) de manière à les pousser les unes contre les autres et à les presser contre les parois de la cavité torique formée par les deux gorges (6, 9) mises en coïncidence.

2. Hélice ou similaire à pales rapportées selon la revendication 1, caractérisée en ce que le moyeu (2) comporte, pour chaque logement cylindrique (5), au moins un trou (11) partant de la surface extérieure (12) du moyeu (2) et débouchant dans la gorge annulaire (6) du logement (5), le ou chaque trou (11) permettant l'introduction des billes (10) dans la cavité torique et recevant ensuite les moyens de blocage (13,14) agissant sur ces billes ( 10).

3. Hélice ou similaire à pales rapportées selon la revendication 2, caractérisée en ce que le ou chaque trou précité du moyeu (2) est un trou taraudé (11) recevant une bille supplémentaire (13) ainsi qu'une vis de blocage (14) qui, lors de son serrage, agit sur les billes (10) logées dans la cavité torique par l'intermédiaire de la bille supplémentaire (13).

4. Hélice ou similaire à pales rapportées selon la revendication 2, caractérisée en ce que le ou chaque trou précité du moyeu (2) est un trou taraudé (11) recevant une vis de blocage (14) à embout tronconi­ que (24) qui, lors de son serrage, agit directement sur les billes (10′,10″) logées dans la cavité torique.

5. Hélice ou similaire à pales rapportées selon la revendication 3 ou 4, caractérisée en ce qu'un bouchon fileté intérieurement (15), servant de frein de vis, est vissé sur la ou chaque vis de blocage (14) des billes (10) et serré contre la surface extérieure (12) du moyeu (2).

6. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisée en ce qu'un joint d'étanchéité annulaire (22) est placé à l'entrée du ou de chaque trou taraudé (11) du moyeu (2).

7. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'une quelconque des revendications 2 à 6, caractérisée en ce qu'un deuxième trou (16) est percé entre la surface extérieure (17) du moyeu (2) et la gorge annu­ laire (6) de chaque logement cylindrique (5), pour faciliter l'évacuation des billes (10) hors de la cavité torique par action d'un fluide ou par action mécanique, des moyens (18) étant prévus pour normalement obturer cet autre trou (16) du moyeu (2).

8. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'ensemble des revendications 6 et 7, caractérisée en ce qu'un joint d'étanchéité annulai­ re (23) est également placé à l'entrée de cet autre trou (16) du moyeu (2).

9. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que le moyeu (2) comporte, pour chaque logement cylindrique (5), deux trous (11) diamétralement opposés, recevant chacun des moyens de blocage (14, 24) agissant sur les billes (10′; 10″) de manière à les presser contre les parois de la cavité torique.

10. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que les billes introduites dans la cavité torique comprennent des billes (10′) de plus grand diamètre et des billes (10″) de plus petit diamètre, les billes (10′) de plus grand diamètre alternant avec les billes (10″) de plus petit diamètre.

11. Hélice ou similaire à pales rapportées selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisée en ce qu'il est prévu en outre au moins un pion (19) liant en rotation, dans la position angulaire désirée, l'embase (7) de chaque pale (1) et le moyeu (2), le ou chaque pion (19) étant enfoncé dans des trous correspondants (20) percés dans l'embase (7) de la pale (1) et à la périphérie du moyeu (2).

1. Revêtement mural à pierres apparentes constitué par des plaques de pierre (4) dont chacune présente au moins deux trous (12) dans ses bords latéraux pour la mise en place de goujons (19, 22) de retenue reliés à un mur (1), caractérisé en ce que les plaques de pierre (4) sont fixées rigidement à une âme (5) en matière isolante dans les bords supérieurs et inférieurs de laquelle sont pratiqués des emboítements mâle (9, 36) et femelle (8, 35) mis en forme à partir de la face externe des plaques de pierres (voir fig. 10 et 11), en ce que la rangée inférieure de plaques de pierre (4, 4a) est portée par des consoles (3) reliées audit mur (1), des goujons (19) portés par des dispositifs de maintien réglables (13, 19) fixés audit mur (1) sont engagés dans les trous des bords latéraux des plaques de pierre (4), en ce que des rangées successives de plaques de pierre (4′a, 4′b,...4′n) s'étendent au-desssus de la première rangée de plaques de pierre (4) en prenant appui par leur âme (5) et en ce qu'un joint de mortier (39) est disposé entre les rangées de plaques de pierre (4, 4′) pour que les forces de compression dues au poids des pierres soient transmises par ledit joint de mortier.

2. Revêtement suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'âme à laquelle est fixée la plaque de pierre (4) de chaque plaque de parement fait saillie sur deux côtés de la plaque de pierre pour délimiter l'épaisseur d'un joint devant séparer les plaques de pierre (4) avant la mise en place du joint de mortier.

3. Revêtement suivant la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que l'âme (5) en matière isolante présente des emboítements femelle (8) et mâle (9) respectivement inférieur et supérieur ainsi que des feuillures latérales complémentaires (10, 11).

4. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par des rainures fines prévues entre la plaque de pierre et l'âme en matière isolante.

5. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les trous (12) prévus dans les plaques de pierre pour l'engagement des goujons de retenue sont forés, par exemple dans les chants verticaux près du bord supérieur desdites plaques de pierre.

6. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que les consoles (3) sur lesquelles reposent certaines des rangées des plaques de parement sont disposées suivant des rangées correspondant sensiblement à un étage, lesdites consoles comportant chacune deux portées d'appui (3a, 3b) et comportant des goujons (22) introduits dans des trous des plaques de pierre.

7. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que les trous (12) des plaques de pierre sont remplis d'une résine ou autre liant avant l'introduction des goujons (19, 22).

8. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par un isolant souple ou sous forme de granulés interposés entre les armes des plaques de pierre et le mur (1).

9. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le dispositif réglable comporte une tige rugueuse (18) dont la tête porte les goujons (19), cette tige étant engagée dans un boulon fendu (17), muni d'un écrou de serrage (20) et supporté par une semelle (14) présentant un trou oblong (15) pour le passage d'une cheville de fixation (16).

10. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que les dispositifs portant les goujons de retenue comportent une potence (25) solidaire d'une semelle (14a) réalisée par moulage en même temps que la potence.

11. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que la semelle (14a) de la potence présente une lumière (26) de plus grande hauteur et de plus grande largeur qu'un boulon d'ancrage (27) traversant une plaque d'appui (28) prenant appui sur le dessus de ladite semelle (14a).

12. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 11, caractérisé en ce que la face arrière de la semelle (14a) présente des évidements (33).

13. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que la potence (25) présente des séries de trous (30) de forme bi-conique pour délimiter une partie resserrée (30a) dans laquelle un goujon de retenue (31) est engagé à force.

14. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 13, caractérisé en ce que la potence (25) présente des rainures (32) formées à partir d'un au moins de ses côtés, ladite rainure s'étendant entre certains au moins des trous (30) disposés suivant plusieurs rangées.

15. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 14, caractérisé en ce que les trous (30) de différentes rangées sont décalés.

16. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que l'ensemble de la semelle et de la potence est moulé en résine notamment en polyamide armée de fibres minérales.

17. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 16, caractérisé en ce que les emboítements femelle (8) et mâle (9) de même que les feuillures latérales présentent pour l'emboítement femelle (8) une rainure (35) et pour l'emboítement mâle (9) une saillie (36), emboítement et feuillures à partir desquels sont formées des portées d'appui (41, 42) et des plans inclinés (37, 38) dont l'un présente une partie de rupture délimitée par un évidement (40).

18. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 17, caractérisé en ce qu'un espace (43) est ménagé entre la saillie (36) et le fond de la rainure (35) lorsque les portées d'appui (41, 42) et les plans inclinés (37, 38) portent les uns contre les autres.

19. Revêtement suivant l'une des revendications 1 à 18, caractérisé en ce que les plans inclinés (37, 38) mènent vers le joint (39) séparant deux plaques (4a, 4b).

Ensemble porte-étiquette en forme d'étui à deux parois parallèles (1), légèrement espacées l'une de l'autre, dont l'une au moins est transparente, un bord de l'étui comportant sur une certaine longueur une ouverture pour y glisser l'étiquette, un couvercle (18) étant prévu sur ladite ouverture, caractérisé en ce que chaque paroi (1) est sensiblement rectangulaire et formée d'une plaque plane (2) comportant sur un de ses grands côtés (5) et sur ses deux petits côtés (4, 6) une bande (7) située dans un plan légèrement décalé mais parallèle à celui de la plaque (2), ladite bande (7) comportant, d'un côté d'un axe (II-II) passant par les milieux des grands côtés de la plaque (2), des plots cylindriques (9, 10 et 11) en saillie et, de l'autre côté dudit axe, symétriques par rapport aux plots, des trous (12, 13 et 14) de même diamètre que celui des plots, lesdites parois (1) étant disposées l'une en face de l'autre et fixées ensemble par leurs bandes (7), lesdits plots d'une paroi entrant dans lesdits trous de l'autre paroi.

Ensemble porte-étiquette suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'elle comporte, en plus desdits plots (9, 10 et 11) et desdits trous (12, 13 et 14), d'autres trous (15) régulièrement espacés sur toute sa longueur, et en ce qu'un surmoulage (17) enrobe les bandes (7) des deux parois disposées l'une en face de l'autre.

Ensemble porte-étiquette suivant la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les bords adjacents aux grands côtés libres (3) des plaques (2) sont taillés de manière à former ensemble un profil en forme de queue d'aronde dirigée vers le haut.

Ensemble porte-étiquette suivant l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le couvercle (17) de l'étui est une pièce rectiligne dont la longueur correspond à la longueur de l'étui, comportant une gorge longitudinale ouverte au moins à une extrémité dont le profil intérieur correspond au profil extérieur du côté ouvert de l'étui.

Circuit de conversion numérique-analogique qui présente une réponse non-linéaire segmentée en fonction d'un code d'entrée constitué de p éléments-binaires Bp (11) qui activent M étages de sortie (12) du circuit de conversion, lesdits étages agissant sur un sommateur (15) qui délivre un signal de sortie constitué d'une suite de segments de droite Sn de pente PSn de sorte que la pente de deux segments consécutifs est telle que PSn+1 = PSn + ΔPn où ΔPn garde le même signe pour la totalité de réponse non-linéaire segmentée caractérisé en ce qu'il comprend un circuit de contrôle (14) qui, à partir d'au moins un élément binaire, délivre au moins un signal numérique de contrôle qui active un sélecteur (13) qui translate, en bloc, k éléments binaires des poids les plus faibles vers k étages de sortie dudit circuit de conversion avec k≦M-1.

Circuit de conversion numérique-analogique selon la revendication 1 caractérisé en ce que le signal de contrôle est constitué par le bit de poids le plus fort.

Circuit de conversion numérique-analogique selon une des revendications 1 ou 2 caractérisé en ce qu'il comprend au moins une porte logique (20) assurant une combinaison de certains éléments binaires qui active une autre partie des M étages de sortie (12).

Circuit de conversion numérique-analogique selon la revendication 3 caractérisé en ce qu'il s'agit d'une porte logique OU (14) afin que les variations de pentes de deux segments consécutifs soient négatives.

Circuit de conversion numérique-analogique selon la revendication 3 caractérisé en ce qu'il s'agit d'une porte logique ET (14') afin que les variations de pentes de deux segments consécutifs soient positives.

Application du circuit de conversion selon la revendication 4 pour approximer l'inverse de la courbe de "gamma" d'un tube de visualisation à rayons cathodiques.

Appareil interrupteur de protection comprenant : un boítier isolant prismatique (10) qui loge des bornes pour le raccordement de conducteurs électriques, des contacts séparables et des moyens magnétiques et/ou thermiques associés de déclenchement pour ouvrir les contacts, le boítier présentant une face avant (13) munie d'un bouton-poussoir marche (14) et d'un bouton-poussoir arrêt (15) prévus pour fermer et ouvrir volontairement les conatacts et portés alternativement en position effacée et en position sortie relativement à ladite face par translation perpendiculaire à celle-ci, caractérisé par le fait que le bouton-poussoir marche (14) présente un évidement traversant (21) qui est découvert dans la position sortie (14A) dudit bouton, un organe amovible de verrouillage (20) du bouton-poussoir marche est prévu pour être introduit dans l'évidement du bouton parallèlement à la face avant (13) de l'appareil et devant cette face, l'organe de verrouillage amovible portant une plage de préhension (22), un élément de butée (23) contre le bouton et une plage (24) munie d'au moins un orifice (25) pour le passage d'un cadenas.

Appareil selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'organe amovible de verrouillage (20) est une barrette en forme d'équerre dont une partie coudée (29) constitue à la fois la plage de préhension (22) et une face de butée (23) de la barrette contre le bouton.

Appareil selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que le boítier (10) de l'appareil comprend de façon connue un socle (11) et un capot (12) rapporté sur le socle, le bouton-poussoir marche (14) étant monté à demeure dans un support lié au socle, l'organe amovible de verrouillage (20) consituant un moyen de sécurité pour le maintien du capot sur le socle.

Appareil selon les revendications 2 et 3, caractérisé par le fait que la barrette (20) est constituée par une pièce unique plate pliée, munie de trois orifices (25) pour le passage de cadenas et susceptible d'être introduite dans la fente (21) du bouton marche (14) perpendiculairement au sens de translation de celui-ci.

Appareil selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que l'évidement (21) ménagé dans le bouton-poussoir marche (14) est une fente disposée perpendiculairement à la face avant (13) du boítier.

1. Procédé de commande de l'ouverture d'au moins deux interrupteurs mis en série, à un instant déterminé, caractérisé en ce que, pour chaque interrupteur, l'on cesse d'émettre l'ordre normal (A) de fermeture desdits interrupteurs à un intervalle de temps déterminé avant ledit instant déterminé, et que l'on émet à la place un ordre additionnel (G) de fermeture d'une durée égale à la différence entre ledit intervalle et le temps réel requis par ledit interrupteur pour passer de l'état fermé à l'état ouvert.

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que, pour chaque interrupteur, ledit temps réel requis par ledit interrupteur pour changer d'état est déterminé lors de ses précédents passages de l'état fermé à l'état ouvert.

3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce que, pour chaque interrupteur, ledit temps réel est déterminé et mis en mémoire lors de chaque passage de l'état fermé à l'état ouvert.

4. Circuit logique de commande de l'ouverture d'au moins deux interrupteurs mis en série, à un instant déterminé, caractérisé en ce qu'il comprend un générateur (1) d'un signal logique (A) correspondant à l'ordre normal de fermeture desdits interrupteurs et en ce qu'il comprend de plus, pour chaque interrupteur, un dispositif incluant une bascule monostable (2) commandée par le signal logique (A) et émettant une impulsion (B) d'une durée déterminée en réponse à l'échelon correspondant à la cessation de l'ordre normal de fermeture, une porte OU (3) aux deux entrées de laquelle sont respectivement appliqués le signal (A) issu du générateur (1) et le signal (B) issu de ladite bascule monostable (2) et dont le signal de sortie est appliqué à une première entrée d'un premier comparateur (6) tandis que l'on applique à l'entrée de signe opposé dudit comparateur un signal logique (C) représentatif de l'état réel dudit interrupteur, la borne de sortie dudit premier comparateur (6) étant reliée à la borne d'entrée d'un circuit intégrateur (7) dont la borne de sortie est reliée à une première borne d'entrée d'un deuxième circuit comparateur (8) dont la seconde borne d'entrée, de polarité inverse, est reliée à la sortie d'un générateur de rampes (4) commandé par ladite bascule monostable (2), ledit deuxième comparateur (8) présentant sur sa borne de sortie un signal logique représentatif du signe de la différence des deux signaux (E, F) qui lui sont appliqués en entrée, cette borne de sortie étant reliée à l'une des entrées d'une porte ET (5) dont l'autre entrée est reliée à la sortie de ladite bascule monostable (2) et dont le signal de sortie, ordre additionnel de fermeture (G), est appliqué à une entrée d'une porte OU (9) à l'autre entrée de laquelle est appliqué le signal (A) issu dudit générateur (1), le signal de sortie (H) de ladite porte OU (9) constituant le signal logique réel correspondant à l'ordre de fermeture dudit interrupteur.

Four de cuisson de substrat de circuit imprimé obtenu par dépôt sérigraphique, sur un substrat isolant, d'une encre isolante ou résistive comportant un matériau organique qui constitue un lien temporaire de cette encre, four muni de moyens d'injection de gaz permettant la cuisson sous l'atmosphère souhaitée, successivement dans une zone de précuisson (II) et dans une zone de cuisson (III), de moyens d'extraction (2) des gaz réducteurs obtenus par transformation des matériaux organiques sous l'effet de la température dans la zone de précuisson et positionnés à proximité de cette zone de précuisson, et de moyens pour assurer un balayage de ces gaz réducteurs en direction des moyens d'extraction, caractérisé en ce que les moyens de balayage comportent des moyens d'injection des gaz (V) dans la zone de précuisson (II) qui sont orientés en direction des moyens d'extraction suivant un an angle compris entre 20° et 45° et des moyens d'injection des gaz (VI) dans la zone de cuisson (III) qui sont orientés d'un angle non nul inférieur à 45° en direction des moyens d'extraction (2) des gaz réducteurs.

Four selon la revendication 1, caractérisé en ce que le diamètre des trous des moyens d'injection (V) de gaz dans la zone de précuisson (II) est inférieur ou égal à 2 mm.

Four selon la revendication 1 caractérisé en ce que le diamètre des trous des moyens d'injection (VI) de gaz dans la zone de cuisson (III) est supérieur à 3 mm.

Four selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les moyens d'injection de gaz dans la zone de précuisson (II) comportent des tubes en nombre supérieur à 5.

Four selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les tubes des moyens d'injection (V) de gaz dans la zone de précuisson (II) sont localisés après la zone de formation des gaz réducteurs.

Four selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que les tubes des moyens d'injection de gaz dans la zone de précuisson (II) sont alimentés de façon indépendante l'un de l'autre.

Utilisation du tétrahydro-α-(naphtyl-1 méthyl) furanne-2 propanoate de N,N-diéthylamino-2 éthyle, "Naftidrofuryl", pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses, notamment en vue du traitement des neuropathies.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses en vue du traitement des neuropathies post-traumatiques.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses en vue du traitement des neuropathies diabétiques.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses en vue du traitement de certaines neuropathies toxiques, comme les polynévrites éthyliques.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses pour rétablir ou améliorer la perception douloureuse au niveau cutané après intervention chirurgicale.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses en vue du traitement des neuropathies d'origine bactérienne ou virale.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 1, pour l'obtention d'un médicament destiné à favoriser la régénération des fibres nerveuses en vue du traitement des neuropathies dégénératives.

Utilisation du Naftidrofuryl selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que le Naftidrofuryl est sous forme de sel d'addition avec les acides pharmaceutiquement acceptables, choisis parmi les acides minéraux chlorhydrique, bromhydrique, iodhydrique, nitrique, sulfurique, phosphorique et les acides organiques formique, benzoique, fumarique, succinique, tartrique, citrique, oxalique, glyoxylique, aspartique, alcanesulfoniques et arylsulfoniques.

Utilisation du Naftidrofuryl selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que le Naftidrofuryl est sous forme de sel de polyacides organiques tels que l'oxalate, le fumarate et le citrate.

Utilisation du Naftidrofuryl selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que ledit médicament incorpore une quantité neurologiquement active de Naftidrofuryl comprise entre 0,100 et 1 g par dose unitaire.

Utilisation du Naftidrofuryl selon la revendication 10, caractérisée en ce que la quantité neurologiquement active de Naftidrofuryl est comprise entre 200 et 400 mg par dose unitaire.

Utilisation du Naftidrofuryl selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisée en ce que le médicament favorisant la régénération des fibres nerveuses est sous forme de comprimés nus ou enrobés, dragées, microgranules, comprimés à plusieurs noyaux, gélules, capsules, poudres ou granulés, solutés, suspensions injectables, suppositoires ou capsules rectales.

1. Réflecteur (1) d'ondes hyperfréquences comportant des surfaces métalliques (6) et des surfaces non métalliques, caractérisé par le fait qu'il est parfaitement réfléchissant pour les ondes (19) d'une première polarisation et partiellement transparent pour les ondes (115) d'une seconde polarisation orthogonale à la première polarisation, les surfaces métalliques (6) se trouvent aux intersections de la surface du réflecteur (1) avec un faisceau de droites (5) passant par un foyer 0 dudit réflecteur et par un cercle (4) horizontal inclus dans une sphère (3) de centre 0 de telle manière que lesdites surfaces métalliques (6) sont placées à l'intersection de la surface du réflecteur (1) et des plans d'équation: ay ± cos α (cz-b₂) = 0 ou y, z sont les coordonnées dans le repère (2) O, x, y, z, a est la distance entre le sommet du réflecteur (1) et l'intersection des asymptotes (7, 70) au réflecteur (1), c la demi-distance focale du réflecteur (1), α est un paramètre.

2. Réflecteur (2) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que ledit réflecteur (1) a une forme hyperbolique de révolution.

3. Réflecteur (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que les surfaces métalliques (6) comportent des fils métalliques suivant les lignes de courant induites dans le réflecteur (1).

4. Réflecteur (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que les surfaces métalliques (6) comportent des métallisations déposées sur un diélectrique.

5. Antenne radar, caractérisée par le fait qu'elle comporte un réflecteur (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes.

6. Antenne selon la revendication 5, caractérisée par le fait qu'elle comporte deux cornets (9, 15) rectangulaires travaillant en polarisation croisées.

7. Antenne selon la revendication 5 ou 6, caractérisée par le fait que la dite antenne est une antenne Cassegrain pour une polarisation et est une antenne monoréflecteur pour la seconde polarisation.

8. Procédé de réalisation de réflecteur (1) d'ondes (19, 115) hyperfréquence réfléchissant pour une première polarisation et transparent pour une seconde polarisation, caractérisé par le fait que l'on réalise des surfaces métalliques sur un hyperboloïde de révolution (11) à l'intersection dudit hyperboloïde de révolution avec les plans d'équation: ay ± cos α (cz-b₂) = 0 où y et z sont les coordonnées dans le repère (2) O, x, y, z, a est la distance entre le sommet du réflecteur (1) et l'intersection des asymptotes (7, 70) du réflecteur (1), c est la demi-distance focale du réflecteur (1), α est un paramètre.

9. Procédé selon la revendication 8, caractérisé par le fait que les surfaces métalliques (8) sont des fils métalliques.

Enceinte étanche pour fluides à haute pression du type comportant un corps central cylindrique (1) fermé à au moins une de ses extrémités par un bouchon (2, 3, 20) inséré à l'intérieur dudit corps central cylindrique et étant bloqué contre tout effort tendant à le faire sortir par un jonc torique (4), reposant d'une part contre un épaulement circulaire oblique (5) ménagé dans ledit bouchon (2, 3, 20) et d'autre part dans une gorge (6) ménagée dans la paroi interne du corps cylindrique et transmettant les efforts de compression qu'il supporte selon une résultante (R) portée par une droite traversant toute l'épaisseur (E) du corps (1, 21) de l'enceinte, caractérisée en ce que la gorge (6) est au moins partiellement cylindrique de même rayon que le jonc (4) ce qui amène ladite résultante (R) à être perpendiculaire à l'épaulement circulaire oblique (5) et à passer par le centre du jonc (4) et en ce que la pente dudit épaulement circulaire oblique (5) est comprise entre 30° et 40° de façon que l'angle (A) que fait la résultante (R) avec la direction axiale du corps (1) soit compris entre 30° et 40°

Enceinte selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le corps de l'enceinte (1) est tubulaire, ouvert à ses deux extrémités qui comportent chacune un bouchon (2, 3).

Enceinte selon la revendication 2 comportant une membrane en caoutchouc (14) divisant le volume intérieur de l'enceinte en deux enceintes séparées (M, N) de façon à constituer un accumulateur oléo-pneumatique.

Enceinte selon la revendication 3, caractérisée par le fait que chaque bouchon d'extrémité (2 et 3) comporte un filetage (9) sur lequel vient se visser une coupelle (11) prenant appui sur les bords de l'extrémité du tube cylindrique (1).

Enceinte selon la revendication 4, caractérisée par le fait que les coupelles (11) sont vissées lorsqu'elle soumise à sa pression maximum de service de sorte que les portions de tube (1) comprises entre le jonc (4) et la coupelle (11) sont sous précontrainte.

Enceinte selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait que les parois interne et externe du tube sont usinées et polies.

1. Emetteur d'ondes radio-électriques à bande latérale unique comprenant une antenne d'émission (1), un étage de modulation (2) couplé à l'antenne d'émission (1), un générateur (3) du signal à bande latérale unique à transmettre ainsi qu'une première (4) et deuxième (5) voies de transmission couplées en parallèle entre l'étage de modulation (2) et le générateur de signal à bande latérale unique (3) pour partager le signal à bande latérale unique fourni par le générateur à bande latérale unique (3) en ces deux composantes d'amplitutde et de phase, la composante d'amplitude du signal à bande latérale unique étant appliquée par la première voie de transmission (4) sur une première entrée (6) de l'étage de modulation (2) et la composante de phase étant appliquée par la deuxième voie de transmission sur la deuxième entrée (7) de l'étage de modulation (2) de manière, à moduler en amplitude la composante de phase fournie par la deuxième voie (5) de transmission par la composante d'amplitude fournie par la première voie (4) de transmission, caractérisé en ce que la première voie de transmission (4) de la composante d'amplitude du signal à bande latérale unique comprend un détecteur d'enveloppe (8) du signal à bande latérale unique et un dispositif à retard (9) couplés tous deux en série entre la sortie du générateur à bande latérale unique (3) et la première entrée (6) du modulateur et en ce que la deuxième voie (5) de transmission de la composante de phase comprend, une chaíne d'amplifica­ tion à fréquence intermédiaire (10) et une chaíne de transposition de fréquence (11) couplées toutes deux en série dans cet ordre entre la sortie du générateur de signal à bande latérale unique (3) et la deuxième entrée du modulateur (7), la chaíne d'amplification à fréquence intermédiaire (10) comprenant un amplificateur-limiteur (12) et un filtre passe-bande (13) couplés dans cet ordre en série entre la sortie du générateur de signal à bande latérale unique et l'entrée de la chaíne de transposition de fréquence.

2. Emetteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que la chaíne de transposition (11) comprend un étage mélangeur de fréquence (14) couplé par une première entrée à la sortie de la chaíne d'amplifica­ tion à fréquence intermédiaire (10) et par une deuxième entrée à la sortie d'un oscillateur de fréquence fixe (15), la sortie de l'étage mélangeur de fréquence étant couplée à la deuxième entrée de l'étage de modulation (2).

Montage destiné à modifier le poids, le moment d'inertie et/ou le centre de gravité d'une raquette équipée de son cordage, comprenant un élément de poids interchangeable (14) vissé dans le manche (13) de la raquette et présentant une forme cylindrique et une tête élargie (14') et destinée à venir, en position d'utilisation, se placer sensiblement dans le plan terminal du manche de la raquette, et une bande passe-fil (3) montée sur le cadre (1) de raquette, ladite bande comportant une série de passages (4) pour le cordage et un creux longitudinal (5) s'étendant entre deux passages (4) et un rebord interne (6) et formant un élément femelle destiné à coopérer avec un tenon (7) formant élément mâle appartenant à un élément de poids interchangeable (8) protégeant le cadre (1) de raquette.

Montage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les passages pour le cordage sont définis dans des corps cylindriques (4) traversant le cadre (1) de raquette et destinés à la protection des cordes à l'endroit où celles-ci traversent le cadre (1) de la raquette.

Montage selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les tenons (7) des éléments de poids interchangeables (8) ont la forme de tenons longitudinaux.

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que le creux longitudinal (10) de la bande passe-fil (3) présente selon une coupe transversale un fond arrondi (11) destiné à recevoir une corde et présentant deux rebords (6) destinés à retenir le tenon (7) de l'élément de poids interchangeable (8).

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la bande passe-fil (3) présente latéralement, de place en place, des ailettes de renforcement (12).

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que l'élément de poids interchangeable (8), destiné à être inséré dans le creux longitudinal de la bande (5), présente, à sa partie extérieure, une forme arquée.

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l'élément de poids interchangeable (8) est constitué d'une matière caoutchouteuse dans laquelle est incorporée une charge de matière métallique pulvérulente.

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l'élément de poids interchangeable (8) est constitué de métal.

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l'élément de poids interchangeable (8) est constitué d'un métal recouvert extérieurement de matière synthétique.

Montage selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l'élément de poids interchangeable (8) est constitué d'une matière synthétique.

Revendications pour les Etats contractants suivants : BE, CH, DE, FR, GB, IT, LI, LU, NL, SE

A titre d'agent de pilotage de substances à activité pharmacologique ou de substances utiles à des fins diagnostiques, dans des cellules cibles de carcinomes humains, un anticorps (Ac) ou un fragment d'anticorps caractérisé en ce que : a) il s'agit d'un anticorps monoclonal dressé contre la membrane de globules graisseux de lait humain et contre la membrane plasmique de cellules cibles de carcinomes humains, b) les antigènes (Ag) correspondants ne sont pratiquement accessibles qu'à la surface des cellules cibles, c) l'Ac ou le fragment d'Ac peut accéder aux cellules cibles, d) l'Ac ou le fragment d'Ac est endocyté et à accès aux lysosomes des cellules cibles, e) l'Ac ou le fragment d'Ac n'induit pas la disparition définitive des Ag correspondants de la surface des cellules cibles.

Agent de pilotage selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est constitué par une molécule entière d'immunoglobine ou par un fragment d'anticorps F(ab), F(ab') ou F(ab')₂.

Agent de pilotage selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le sérum du patient à traiter comporte peu ou pas d'Ag correspondants.

Agent de pilotage selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qui s'agit d'un Ac monoclonal d'origine murine ou humaine.

Agent de pilotage selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il s'agit de l'anticorps CT-M-01.

Conjugué actif, caractérisé en ce qu'il comporte un agent de pilotage selon l'une des revendications 1 à 5, lié par un lien covalent à une substance à activité pharmacologique ou une substance utile à des fins diagnostiques dans des cellules tumorales.

Conjugué actif selon la revendication 6, caractérisé en ce que le lien covalent n'est en pratique hydrolysé que dans les lysosomes.

Conjugué actif selon la revendication 7, caractérisé en ce que l'hydrolyse est une hydrolyse enzymatique acide.

Conjugué actif selon l'une des revendications 6 à 8, caractérisé en ce que le composant est un médicament anticancéreux.

Conjugué actif selon la revendication 9, caractérisé en ce que le médicament anticancéreux est choisi dans la famille des dérivés d'anthracyclines ou d'alcaloïdes vinca.

Conjugué actif selon la revendication 10, caractérisé en ce que le composant est choisi parmi la vindésine, la daunorubicine et la doxorubicine.

Conjugué actif selon l'une des revendications 6 à 11, caractérisé en ce que le lien covalent est un bras hémisuccinyl ou tétrapeptidique.

Conjugué actif selon l'une des revendications 6 à 12, caractérisé en ce que le composant actif est choisi parmi la vindésine, la daunorubicine, la doxorubicine et l'agent de pilotage est l'anticorps CT-M-01.

Revendications pour l'Etat contractant suivant : AT

Procédé de préparation d'un agent de pilotage de substances à activité pharmacologique ou de substances utiles à des fins diagnostiques, dans des cellules cibles de carcinomes humains, caractérisé en ce qu'on utilise un anticorps (Ac) ou un fragment d'anticorps sélectionné comme suit : a) il s'agit d'un anticorps monoclonal dressé contre la membrane de globules graisseux de lait humain et contre la membrane plasmique de cellules cibles de carcinomes humains, b) les antigènes (Ag) correspondants ne sont pratiquement accessibles qu'à la surface des cellules cibles, c) l'Ac ou le fragment d'Ac peut accéder aux cellules cibles, d) l'Ac ou le fragment d'Ac est endocyté et à accès aux lysosomes des cellules cibles, e) l'Ac ou le fragment d'Ac n'induit pas la disparition définitive des Ag correspondants de la surface des cellules cibles.

Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est constitué par une molécule entière d'immunoglobine ou par un fragment d'anticorps F(ab), F(ab') ou F(ab')₂.

Procédé selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le sérum du patient à traiter comporte peu ou pas d'Ag correspondants.

Procédé selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'il s'agit d'un Ac monoclonal d'origine murine ou humaine.

Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il s'agit de l'anticorps CT-M-01.

Procédé de préparation d'un conjugué actif, caractérisé en ce qu'on couple un agent de pilotage selon l'une des revendications 1 à 5, par un lien covalent à une substance à activité pharmacologique ou une substance utile à des fins diagnostiques dans des cellules tumorales.

Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que le lien covalent n'est en pratique hydrolysé que dans les lysosomes.

Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que l'hydrolyse est une hydrolyse enzymatique acide.

Procédé selon l'une des revendications 6 à 8, caractérisé en ce que le composant est un médicament anticancéreux.

Procédé selon la revendication 9, caractérisé en ce que le médicament anticancéreux est choisi dans la famille des dérivés d'anthracyclines ou d'alcaloïdes vinca.

Procédé selon la revendication 10, caractérisé en ce que le composant est choisi parmi la vindésine, la daunorubicine et la doxorubicine.

Procédé selon l'une des revendications 6 à 11, caractérisé en ce que le lien covalent est un bras hémisuccinyl ou tétrapeptidique.

Procédé selon l'une des revendications 6 à 12, caractérisé en ce que le composant actif est choisi parmi la vindésine, la daunorubicine, la doxorubicine et l'agent de pilotage est l'anticorps CT-M-01.

Equipement de test automatique comprenant une console d'exécution de tests équipée de générateurs de signaux et de moyens de détection et de mesure divers, pourvue de câbles ou bornes de raccordement, destinés à être reliés à des câbles ou bornes de connecteurs d'interface (11,12,13) de test logés dans des armoires renfermant les appareils de mesure, de commande et/ou de contrôle d'une installation industrielle, console d'exécution de tests dans laquelle les bornes de raccordement sont reliées à des circuits d'entrée ou de sortie logiques et/ou des circuits d'entrée ou de sortie analogiques équipés de convertisseurs analogique-numérique et numérique-analogique, ainsi que de dispositifs de multiplexage en ce qui concerne les circuits d'entrée analogiques; dans laquelle une unité centrale à micro-calculateur (2) est reliée aux dits circuits d'entrée et de sortie et coopère avec un programmeur et un ensemble mémoire (3) dans lequel une mémoire morte renferme plusieurs successions automatiques d'ordres de tests et une nomenclature de messages stéréotypes relative aux dits ordres de tests, aux résultats possibles, et à une procédure conversationnelle de mise en condition de test ou de fonctionnement normal des armoires gouvernant l'installation industrielle complexe; dans laquelle un moyen de commande et/ou d'enregistrement, tel un téléimprimeur (7) est relié à l'unité centrale, autorisant l'intervention d'un opérateur humain dans l'exécution des tests via l'unité centrale et les dits circuits d'entrée et de sortie, les liaisons entre unité centrale et circuits d'entrée et de sortie servant également à la transmission de signaux nécessaires à l'exécution des tests, la liaison entre le moyen d'enregistrement et l'unité centrale étant agencée pour appeler des successions d'ordres de test emmagasinés dans l'ensemble mémoire de l'unité centrale et pour enregistrer, d'une part les appels d'ordres de test et d'autre part les résultats obtenus, au moyen de la nomenclature enregistrée dans la mémoire morte, caractérisé en ce que le connecteur d'interface logé dans chaque armoire gouvernant l'installation industrielle ou sous-ensemble d'une telle installation comprend, outre les contacts de transmission de signaux relatifs au tests proprement dits, et les contacts réservés à un codage d'identification de l'armoire ou sous-ensemble, au moins un moyen de contrôle (16,29) de la position d'au moins un appareil de commande de mise en condition de test ou de fonctionnement normal fournissant à la console d'exécution des tests via le connecteur d'interface, des signaux influençant la procédure conversationnelle et conditionnant l'exécution des tests et la remise en état de fonctionnement normal, ces signaux comprenant des signaux logiques du code binaire d'identification d'une armoire à tester du module de test de la chaíne ou partie de chaíne de protection à tester.

Equipement automatique suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend au moins une unité de test particulière comprenant l'enregistrement dans l'ensemble mémoire (2) des caractéristiques particulières d'au moins un dispositif à seuil associé à un comparateur et un générateur de signal de test émettant un signal maintenu au niveau d'une limite haute, en-dessous du seuil (limite basse au-dessus du seuil) pendant un temps suffisant pour contrôler l'absence d'alarme, maintenu ensuite au niveau d'une limite basse au-dessus du seuil (limite haute en-dessous du seuil) un temps suffisant pour contrôler, par l'intermédiaire d'une entrée logique, l'enclenchement d'alarme et passant ensuite par échelons successifs de l'autre côté du seuil en contrôlant que l'état d'alarme disparaisse au cours d'un laps de temps prédéterminé.

Equipement automatique suivant une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comprend au moins une unité de test particulière comprenant l'enregistrement dans l'ensemble mémoire des caractéristiques particulières d'au moins une partie (28) d'une chaíne de protection servant à la transmission de valeurs d'une grandeur mesurée, un générateur (31,32) de valeurs de mesure simulées, et une entrée analogique (37) servant d'appareil de mesure de la valeur de sortie de la dite partie (28) de la chaíne de protection.

Equipement automatique suivant la revendication 3, caractérisé en ce que le générateur de valeurs simulées est un sélecteur (32) sélectionnant des valeurs de résistances (31) et en ce que des sélecteurs (33,34,35) de différentes parties (28) d'une chaíne de protection permettent de tester l'une après l'autre de ces parties (28).

Equipement suivant une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend au moins une unité de test particulière comprenant l'enregistrement dans l'ensemble mémoire des caractéristiques particulières d'au moins une partie (38) d'une chaíne de protection présentant un comportement dynamique, au moins un conducteur reliant la partie de chaíne à tester à un contact de transmission de commande (39) agencé pour être connecté à la console de tests automatique, une sortie analogique (42) servant de générateur d'une tension de test, une entrée analogique (49) servant d'appareil de mesure en temps réel et des entrées logiques (43,44) servant de détecteurs en temps réel de comparateurs associés à la partie de chaíne à tester.

Equipement suivant une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'un moyen de commande (39) de la console d'exécution de tests provoque une modification de circuit dans une partie (38) d'une chaíne de protection dans une armoire gouvernant l'installation à tester.

Procédé de craquage catalytique d'une charge lourde d'hydrocarbures, dont plus de 10 % en poids possède un point d'ébullition supérieur à 500°C, ce procédé comprenant une phase de mise en contact en lit fluidisé dilué et à court temps de contact à flux ascendant ou descendant dans une colonne, dans des conditions de craquage, de ladite charge et de particules d'un catalyseur de craquage, une phase de séparation de catalyseur usé et de la charge craquée en aval de la zone d'injection de ladite charge, au moins une phase de strippage du catalyseur usé, puis une phase de régénération dudit catalyseur dans des conditions de combustion du coke déposé sur celui-ci et, enfin, une phase de recyclage du catalyseur régénéré à l'alimentation de ladite colonne, ce procédé étant caractérisé en ce que l'on injecte dans ladite colonne du catalyseur régénéré dans des conditions telles que la température d'équilibre résultant du mélange de la charge vaporisée et du catalyseur soit au moins supérieure à 500°C et au moins supérieure de 40 à 100°C à la température finale de réaction en fin de colonne, et en ce que l'on injecte en aval de cette zone de mélange, mais en amont de la phase de séparation, un fluide auxiliaire vaporisable dans les conditions de l'injection, de façon telle que la température du mélange de la charge vaporisée et des particules du catalyseur soit abaissée d'environ 10 à 70°C par rapport à la température initiale qui résulte de la mise en contact du catalyseur et de la charge, de manière à permettre à la réaction de craquage catalytique de s'effectuer dans des conditions plus douces et indépendantes de ladite température initiale, la température finale de réaction étant toutefois supérieure au point de rosée des hydrocarbures présents les plus lourds, l'injection du fluide auxiliaire étant effectuée à une distance telle de l'injection de la charge que l'abaissement de température en résultant a lieu moins d'une seconde après l'injection de la charge et de préférence moins d'une demi-seconde après cette injection.

Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit fluide auxiliaire est de l'eau ou de la vapeur d'eau, injectée en une quantité comprise entre 20 et 150 litres par m³ de charge injectée dans la zone de réaction.

Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que le fluide auxiliaire est un hydrocarbure vaporisable dans les conditions d'injection et, en particulier, un gas-oil, un diluant catalytique, un solvant lourd aromatique ou une coupe de désasphaltage extraite au solvant lourd, cet hydrocarbure étant injecté en une quantité comprise entre 100 et 700 litres par mètre cube de charge traitée.

Procédé selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la température du mélange résultant de l'injection du catalyseur et de la charge à craquer est comprise entre 500 et 650°C.

Dispositif Pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, ce dispositif, comprenant une colonne de craquage à flux ascendant (2) ou descendant (20), des moyens (4, 22 ; 1, 26) pour alimenter sous pression ladite colonne avec une charge d'hydrocarbures et des particules d'un catalyseur de craquage régénéré, un moyen de séparation des produits de la charge craquée et des particules de catalyseur usé, au moins un moyen de strippage (7) par au moins un fluide des particules de catalyseur usé, au moins une unité de régénération dudit catalyseur par combustion du coke déposé sur celui-ci, des moyens de recyclage du catalyseur régénéré auxdits moyens d'alimentation et, en aval de la zone de mélange dans ladite colonne de la charge d'hydrocarbures et des particules du catalyseur régénéré, au moins un moyen d'injection (9, 26) d'un fluide auxiliaire dans des conditions de débit, de température et de pression telles que l'injection de ce fluide auxiliaire diminue la température de la zone réactionnelle située immédiatement en aval de façon indépendante de la température de mélange, ce dispositif étant caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (10, 12 ; 27, 29) de régulation du débit dudit fluide auxiliaire aptes à maintenir la température de la zone réactionnelle en aval de l'injection du fluide auxiliaire à une valeur de consigne qui est adaptée à la nature de la charge à craquer, au type de catalyseur utilisé et à son mode de régénération.

Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens, (16) pour accroítre le débit du catalyseur chaud lorsque la température finale de réaction tend à décroítre par rapport à la valeur de consigne.

1. Procédé d'édification de façades isolées par l'extérieur et comportant un parement adapté sur une ossature (3), du type comprenant deux phases successives dont une première phase au cours de laquelle on réalise la structure porteuse (1), l'ossature (3) destinée à recevoir le parement de façade, avec une structure d'isolation thermique (12), et une seconde phase au cours de laquelle on recouvre l'ossature par une surface de parement, caractérisé en ce que la première phase comprend une succession de cycles comportant chacun les étapes suivantes: disposer une ossature comportant des montants (3), posée contre un support de parement (13, 61) reposant sur une passerelle (5), les montants (3) étant munis de moyens de fixation (14, 65) dépassant vers l'intérieur et destinées à réaliser l'ancrage en pleine masse dans du béton, constituant la structure porteuse (1) ; fixer des supports ancrables (8, 9) de la passerelle (5) ; disposer l'isolant thermique (4) ; réaliser la construction de la structure porteuse (1).

2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la fixation des supports ancrables (8, 9) de la passerelle (5) se fait en insérant, au droit de certains montants interrompus à cet effet, une pièce intermé­ diaire (9) comportant une patte d'ancrage (10), destinée à être noyée dans le béton de la structure porteuse (1), pièce intermédiaire (9) comportant en outre des moyens de fixation (27) à la partie inférieure du montant (3), et un logement d'adaptation d'une attache volante (8) amovible de la passerelle (5).

3. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 2, du type selon lequel au moins une partie de la structure porteuse (1) est réalisée à l'aide d'éléments de maçonnerie (67), caractérisé en ce que l'on fixe en outre ladite ossature (3) à au moins certains desdits éléments de maçonnerie, à l'aide d'au moins une patte d'accrochage (69), fixées chacune sur l'ossature (3) et venant chacune en prise sur ou dans un desdits éléments de maçonnerie (67).

4. Procédé selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'on utilise des organes d'accrochage (70) qui sont en outre réglables en position verticale.

5. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que l'on réalise à la fois ladite ossature (3) et ladite structure d'isolation thermique (12) sous forme de panneaux préfabriqués.

6. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que l'on donne à la face de ladite structure d'isolation thermique (12) contre laquelle doit être placé le parement, une allure tourmentée à l'aide de reliefs (50) permettant de délimiter, entre ladite structure et le parement, un ou plusieurs circuits (51, 52) de circulation d'air.

7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que l'on combine la forme de ladite structure d'isolation thermique (12) avec au moins une partie des éléments constitutifs (54, 55) de ladite ossature afin de réaliser une isolation pariétodynamique.

8. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que, lors de la réalisation du parement, on construit le parement de haut en bas en déplaçant successivement de haut en bas la passerelle extérieure (5) fixée au mur par l'intermédiaire des attaches volantes (8) amovibles.

9. Dispositif pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il comprend une passerelle (5) portant un support de parement (13, 61) contre lequel est disposée une ossature (3), des pièces intermédiaires (9) comportant chacune une patte d'ancrage (10) dans la masse du béton et un corps (25), chaque pièce intermédiaire (9) étant destinée à être insérée au droit d'un montant de l'ossature entre deux portions (3, 3a) successives de celui-ci, et étant munie (27) permettant sa fixation à la portion inférieure dudit montant de l'ossature (3), ainsi que de moyens d'accrochage (26) pour une attache volante (8) amovible de la passerelle (5).

10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que le corps (25) est tubulaire, et comprend un orifice supérieur (26) pour recevoir une patte d'accrochage (22) de l'attache volante (8) et une surface anté­ rieure définissant une structure d'appui pour recevoir la surface postérieure (23) de l'attache volante.

11. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce que l'attache volante (8) comporte, sur sa surface postérieure (23), un ergot inférieur (24) s'engageant dans un logement du corps tubulaire (25) de la pièce intermédiaire (9), empêchant le soulèvement vertical de l'attache volante (8), de sorte que le décrochage nécessite l'inclinaison de l'attache volante (8) autour de sa patte d'accrochage (22), puis son soulèvement.

12. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 11, caractérisé en ce qu'il comprend, en outre, des moyens (29 à 33) pour définir un logement surmontant l'orifice (26) supérieur de la pièce intermédiaire (9), permettant le débattement de la patte d'accrochage (22) pour l'accrochage et le décrochage de l'attache volante (8).

13. Dispositif selon la revendication 12, caractérisé en ce que les moyens pour définir le logement supérieur comprennent un élément de liaison récupérable (29) comportant deux parois parallèles latérales (30, 31) décartement légèrement supérieur à la largeur des montants (3) de l'ossa­ ture, formant guides pour les portions supérieures (3a) de montants, et reliées par deux traverses (32, 33) dont lune (32) permet la fixation en bout de la portion inférieure (3) de montant et l'autre (33) forme butée sur laquelle repose la portion supérieure (3a) du montant, le logement supérieur défini pour recevoir l'attache volante étant obturé à l'arrière par une paroi (35) pour assurer la continuité de maintien de l'isolant lors de la coulée de béton.

14. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 13, caractérisé en ce qu'il comprend des pattes de fixation (14) comportant des plaques (14a) destinées à s'adapter sur un montant (3), la plaque (14a) étant conformée pour assurer le maintien de l'isolant thermique.

15. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 14, caractérisé en ce que : les attaches volantes (8) munies de moyens de guidage (37) et d'accrochage pour des rails rigides (36), des moyens d'accrochage escamotables (42) de la passerelle (5) sur des attaches volantes (8), des câbles (40) et treuils (41) pour la suspension réglable de la passerelle (5) à des attaches volantes (8).

16. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 9 à 15, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (53) pour coincer une lisse inférieure (54) d'un étage derrière la lisse supérieure (55) de l'étage immédiatement inférieur, de manière à ce que ladite lisse inférieure (54) soit suffisamment décalée vers le haut par rapport à ladite lisse supérieure (55) pour délimiter un couloir horizontal de ventilation fermé sur le dessus (57), lesdits moyens permettant en outre de positionner ladite lisse supé­ rieure (55) de manière à ce quelle arrête la circulation d'air par convection (59) et la dévie vers ledit couloir horizontal (57), et le décalage vertical des deux lisses (55, 54) étant en outre tel qu'il définisse avec le parement (61) un autre couloir horizontal de ventilation (60) ouvert sur le dessus vers l'espace de convection situé entre la structure d'isolation dudit étage et le pare­ ment, des ouvertures (62, 64) dans le parement (61) et la structure porteuse (1) permettant alors d'assurer une isolation pariétodynamique.

17. Dispositif selon la revendication 16, caractérisé en ce qu'il comporte une pièce de renfort amovible (66), que l'on introduit dans ledit couloir fermé sur le dessus (57) et destinée au maintien de la structure d'isolation pendant la phase de coulage du béton.

18. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 9 à 15, caractérisé en ce qu'il est équipé de moyens permettant de fixer de l'extérieur les pattes d'accrochage (69) sur l'ossature (3).

19. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 9 à 15, caractérisé en ce qu'il est équipé d'organes d'accrochages (70) d'un parpaing à l'ossature (3).

1. Procédé de surveillance d'état d'un commutateur électrique (10) présentant un état ouvert et un état fermé dans lequel il a une impédance en courant alternatif inférieure de plusieurs ordres de grandeur à l'impédance à l'état ouvert, caractérisé en ce qu'un dispositif de surveillance détermine l'état réel du commutateur, même s'il est fermé sans pour autant être alimenté, le dispositif comprenant un transformateur d'isolement (34) dont un des enroulements est relié, par l'intermédiaire d'un redresseur (32), aux bornes de sortie du commutateur (10) et dont l'autre enroulement est en circuit avec un oscillateur (12 ou 46) en fonctionnement permanent lors de la surveillance, présentant une impédance nettement supérieure à celle dudit autre enroulement lorsque le commutateur (10) est fermé, ainsi que des moyens (42, 44) d'analyse d'un signal électrique prélevé sur ledit autre enroulement et représentatif de ladite impédance du commutateur.

2. Dispositif de surveillance d'état d'un commutateur électrique (10) présentant un état ouvert et un état fermé dans lequel il a une impédance inférieure de plusieurs ordres de grandeur à l'impédance à l'état ouvert pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend un transformateur d'isolement (34) dont un des enroulements est relié, par l'intermédiaire d'un redresseur (32) aux bornes de sortie du commutateur (10) et dont l'autre enroulement est en circuit avec un oscillateur (12 ou 46) en fonctionnement permanent lors de la surveillance, présentant une impédance nettement supérieure à celle dudit autre enroulement lorsque le commutateur est fermé, ainsi que des moyens (42, 44) d'analyse de signal électrique prélevé sur ledit autre enroulement et représentatif de ladite impédance du commutateur ledit oscillateur (12 ou 46) ayant une fréquence d'oscillation supérieure à la fréquence maximum de commutation du commutateur et ledit signal étant prélevé à une extrémité, reliée à l'oscillateur, dudit autre enroulement, la seconde extrémité dudit autre enroulement étant à un potentiel de référence.

3. Relais statique à surveillance d'état comprenant un composant semiconducteur constituant commutateur (10), un circuit de commande comprenant un oscillateur (12) relié par l'intermédiaire d'un redresseur à une électrode de commande du composant et un dispositif de surveillance suivant la revendication 2, caractérisé en ce que l'oscillateur (12) du circuit de commande constitue également l'oscillateur du circuit de surveillance et en ce que ledit oscillateur fournit deux signaux identiques en opposition de phase aux bornes extrêmes du primaire (24) d'un transformateur de commande dont le secondaire est relié par un redresseur (30) à l'électrode de commande du composant semiconducteur, le point milieu du primaire étant muni de moyens de commande (26) permettant à volonté de l'isoler ou de le porter à une tension de référence de façon à commander le relais.

4. Relais statique à surveillance d'état comprenant un composant semiconducteur constituant commutateur (10), un circuit de commande comprenant un oscillateur (12) relié par l'intermédiaire d'un redresseur à une électrode de commande du composant, et un dispositif de surveillance suivant la revendication 2, caractérisé en ce que le circuit de commande comprend un oscillateur indépendant de l'oscillateur du dispositif de surveillance et attaque directement le transformateur de commande.

5. Relais selon l'une quelconque des revendications 3 et 4, caractérisé en ce que l'oscillateur du circuit de commande est à fréquence de plusieurs centaines de KHz.

Composition utile pour détecter la présence d'oxygène en milieu humide, et comportant au moins, d'une part, complexe de formule (LMX)n dans laquelle le ligand L est choisi parmi les groupements : où : R représente Cl, Br, NO₂, C₁₋₄-alkoxyle, C₁₋₄-alkyle, m et p sont compris entre O et 3, q est compris entre O et 2, le substituant R sur les noyaux pyridine n'occupant jamais une position vicinale de l'atome d'azote, X = Cl, Br, I, NO₃, ClO₄, M représente Cu ou Mn, et n est égal à 1 ou 2; ledit complexe étant utilisé à titre d'indicateur coloré de présence d'oxygène dans ce milieu, et d'autre part, un agent gélifiant à titre d'agent stabilisant dudit complexe en solution dans un solvant approprié.

Composition selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comporte au moins un complexe de formule où M représente Cu ou Mn.

Composition selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que le solvant est un alcool aliphatique inférieur ou l'acétone.

Composition selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce qu'elle comporte 1 à 1O % dudit agent gélifiant et 7O à 9O % de solvant.

Composition selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que l'agent gélifiant est la gélatine et en ce que le solvant comporte de 7O à 9O % d'eau.

Composition selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que la concentration molaire en indicateur coloré est comprise entre 1O⁻³ et 1O⁻².

Procédé de préparation d'une composition selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce qu'on réalise : a) la mise en solution d'un complexe indicateer coloré de présence d'oxygène en milieu humide,tel que défini dans la revendication 1 ou 2, dans un solvant approprié, tel qu'un alcool aliphatique inférieur, en particulier l'éthanol ou l'acétone, et b) l'adjonction de la solution à un gel, en milieu exempt d'oxygène,pour obtenir une composition utile et stable pour la détection d'oxygène en milieu humide.

Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que le gel est à base de gélatine alimentaire en milieu aqueux contenant 7O à 9O % d'eau.

Détecteur de présence d'oxygène comportant une composition selon l'une des revendications 1 à 6.

Détecteur de présence d'oxygène comportant la composition selon l'une des revendications 1 à 6 incorporée à un support poreux ou contenue dans un récipient.

Détecteur de présence d'oxygène constitué d'un récipient rempli d'une composition selon l'une des revendications 1 à 6, comportant au moins une partie transparente et au moins une partie perméable à l'oxygène.

Procédé de transmission en blocs de mots d'information numériques ayant chacun une longueur de n₁ bits, où n₁ est un entier, ledit procédé consistant à ajouter successivement aux mots d'information à transmettre des mots d'un code correcteur d'erreur et des mots d'un code détecteur d'erreur ; procédé dans lequel : le code correcteur d'erreur est un code de Hamming au moyen duquel on ajoute k mots de redondance à chaque suite de n₂-k (n₂>k) mots d'information consécutifs, lesdits n₂-k mots d'information formant avec les k mots de redondance un ensemble de mots appelé ensemble lié, chaque mot de redondance ayant n₁ bits et, pour chaque rang i, où 1≦αµρ¨i≦αµρ¨n₁, les k bits de rang i des mots de redondance sont des bits de redondance des n₂-k bits de rang i des n₂-k mots d'information, ledit codage étant réalisé par une matrice de Hamming dont les vecteurs colonne sont choisis de manière à permettre la correction d'un sous-ensemble déterminé des erreurs possibles, le code détecteur d'erreur est appliqué à des suites de mots d'information ou à des suites de mots de redondance, les mots d'une même suite appartenant à des ensembles liés différents, chaque bloc transmis comprenant une pluralité de suites de n₂ - k mots d'information et les mots de codes détecteur et correcteur d'erreur associés, caractérisé en ce que pour un signal enregistré sur un support à P pistes en parallèle, les k bits de redondance associés à n₂-k bits d'information sont produits en utilisant une matrice de Hamming à n₂ colonnes et k lignes dont toute suite de k vecteurs d'indices i, i+P, i+2P,..., i+(k-1)P, où 1, P sont entiers et i+(k-1)P≦αµρ¨n₂, forme un système linéairement indépendant, chaque ensemble lié d'un bloc étant réparti sur plusieurs pistes, un mot de code étant ainsi distribué sur plusieurs pistes tandis que plusieurs éléments dudit mot sont enregistrés sur la même piste.

Procédé selon la revendication 1, pour l'enregistrement d'un bloc sur un support d'information comprenant P pistes d'enregistrement en parallèle, caractérisé en ce qu'on répartit les n₂ mots d'un ensemble lié sur les P pistes tel que les mots enregistrés sur une même piste sont associés à des vecteurs colonne de la matrice de Hamming qui forment un système linéairement indépendant.

Procédé selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que, après avoir associé k mots de redondance à n₂-k mots d'information pour former un ensemble de mots lié, on entrelace les mots de n₃ ensembles liés pour former un bloc d'émission composé de n2 groupes, chaque groupe contenant un mot de chaque ensemble lié et au moins un code détecteur d'erreur.

Procédé selon la revendication 3, caractérisé en ce que les groupes contenant des mots de redondance sont placés en milieu de bloc, entre les groupes contenant les mots d'information pairs et les groupes contenant les mots d'information impairs.

Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que chaque mot d'un ensemble lié est contenu dans une trame, chaque trame comprenant un mot de synchronisation, au moins un mot d'information ou de redondance et un code détecteur d'erreur.

Procédé selon la revendication 5, pour l'enregistrement d'un bloc sur un support d'information comprenant P pistes en parallèle, chaque groupe dudit bloc comportant p trames, où p est premier avec le nombre de pistes P, caractérisé en ce qu'on répartit les n₂ mots d'un ensemble lié sur les P pistes tel que les mots enregistrés sur une même piste sont associés à des vecteurs colonne de la matrice de Hamming qui forment un système linéairement indépendant, et en ce qu'on enregistre le bloc trame par trame, les trames de chaque ensemble de p trames consécutives du bloc étant disposées en parallèle sur les P pistes.

Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que, à la réception, on détermine la validité de chaque bit d'information, ou de redondance en liaison avec les codes détecteur d'erreur associés aux mots d'information ou de redondance, on calcule, pour chaque ensemble de n₂ bits liés, le syndrome associé à cet ensemble, on déduit dudit syndrome et des informations de validité relatives à chaque bit un vecteur d'erreur en relation avec le code de Hamming utilisé et on corrige chaque vecteur de n₂-k bits reçu par ce vecteur d'erreur.

Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que, pour calculer le vecteur d'erreur d'un vecteur de n₂-k bits liés, on définit une matrice réduite (H') constituée par les vecteurs colonne de la matrice de Hamming (H) utilisée à l'émission dont les rangs sont égaux à ceux des bits liés invalidés par les codes détecteur d'erreur, et on en déduit une autre matrice (H'¹, H") telle que le produit de cette autre matice par le syndrome soit égal au vecteur d'erreur.

Procédé selon l'une quelconque des revendications 7 et 8, caractérisé en ce que, pour chaque ensemble de bits liés, on utilise le syndrome, lorsqu'il n'est pas nul, pour détecter des bits erronés non invalidés par les codes détecteur d'erreur.

Procédé selon la revendication 7, dans lequel les mots d'information et de redondance sont émis en trame, caractérisé en ce qu'on détecte la validité d'une trame reçue en relation avec son code détecteur d'erreur et en ce que, pour chaque ensemble de trames liées, on définit une matrice réduite (H') constituée par les vecteurs colonne de la matrice de Hamming (H) utilisée à l'émission dont les rangs sont égaux à ceux des trames liées invalidées par les codes détecteur d'erreur, et on déduit une autre matrice (H'-1, H") unique pour chaque ensemble de trames liées telle que le produit de cette autre matrice par un syndrome non nul est égal au vecteur d'erreur.

Procédé selon la revendication 10, caractérisé en ce qu'on mémorise au moins certains syndromes non nuls associés à des ensembles de bits liés des trames liées, et en ce qu'on utilise lesdits syndromes non nuls pour détecter des trames erronées non invalidées par les codes détecteur d'erreur.

1. Relais autorisant ou interrompant la circulation d'un courant dans un circuit d'utilisation (U), comprenant un commutateur électronique statique (1) ayant une borne (2) reliée à une extrémité (3) du circuit d'utilisation et une autre borne (4) reliée à une autre extrémité (5) de ce circuit, et un circuit de commande (6) ayant une sortie de commande (7) reliée à une entrée de commande (8) du commutateur (1) pour autoriser ou interrompre la circulation du courant dans le circuit d'utilisation (U) et entre les deux bornes (2, 4) du commutateur, le circuit de commande (6) comprenant une entrée d'alimentation (9) et, reliés en série entre cette entrée d'alimentation (9) et la sortie de commande (7), un interrupteur de commande (11), un générateur de courant (12) à deux bornes (13, 14) et au moins une impédance (15) limitant le courant (i) circulant dans le circuit de commande (6) à une valeur négligeable vis-à-vis de la valeur du courant (I) circulant dans le circuit d'utilisation (U) lorsque cette circulation est autorisée par la fermeture de l'interrupteur (11), caractérisé en ce que l'entrée d'alimentation (9) du circuit de commande (6) est reliée en un point quelconque (10) du circuit d'utilisation (U), la tension aux bornes du générateur (12) étant au moins égale à la plus forte différence de potentiel qui peut apparaítre entre deux points quelconques du circuit d'utilisation (U).

2. Relais selon la revendicaiton 1, caracté­ risé en ce que le commutateur statique est un transistor ayant une électrode de commande reliée à la sortie de commande (7) du circuit de commande, deux autres électrodes de ce transistor étant respectivement reliées aux deux extrémités (3, 5) du circuit d'utilisation (U), ce transistor étant bloqué lorsque ledit interrup­ teur de commande (11) est ouvert et étant saturé lorsque ledit interrupteur de commande est fermé.

3. Relais selon la revendication 2, caracté­ risé en ce que ledit transistor est un transistor bipo­ laire (T₁) dont la base (16) constitue l'électrode de commande et dont l'émetteur (17) et le collecteur (18) constituent les deux électrodes qui sont respectivement reliées aux deux extrémités (3, 5) du circuit d'utilisa­ tion (U).

4. Relais selon la revendication 3, caractéri­ sé en ce que le commutateur (1) comprend une autre impédance (19) reliant la base (16) et l'émetteur (17) du transistor bipolaire (T₁) pour maintenir ce transistor à l'état bloqué lorsque l'interrupteur de commande (11) est ouvert.

5. Relais selon la revendication 2, caractéri­ sé en ce que ledit transistor est un transistor à effet de champ (T₂) dont la grille (20) constitue l'électrode de commande et dont la source (21) et le drain (22) constituent les électrodes qui sont respectivement re­ liées aux deux extrémités (3, 5) du circuit d'utilisa­ tion (U).

6. Relais selon la revendication 5, caractéri­ sé en ce que le commutateur comprend une autre impédance (23) reliant la source (21) et la grille (22) du transistor (T₂) à effet de champ pour maintenir ce transistor à l'état bloqué lorsque l'interrupteur de commande (11) est ouvert.

7. Relais selon la revendication 3, caractéri­ sé en ce qu'il comprend un amplificateur de courant (25) relié entre la sortie (7) du circuit de commande (6) et la base (16) du transistor bipolaire (T₁) pour produire à partir du courant fourni par le générateur (12) de courant, lorsque l'interrupteur de commande (11) est fermé, un courant émetteur-base du transistor bipolaire (T₁), provoquant la saturation de ce transistor.

8. Relais selon la revendication 7, caractéri­ sé en ce que l'amplificateur (25) de courant est un amplificateur comprenant au moins un transistor, ce transistor étant polarisé par la tension disponible entre lesdites extrémités (3, 5) du circuit d'utilisa­ tion.

9. Relais selon la revendication 8, caractéri­ sé en ce que l'amplificateur de courant (25) est connec­ té de manière à n'être traversé par aucun courant lors­ que l'interrupteur de commande (11) étant ouvert, le transistor bipolaire (T₁) est bloqué.

10. Relais selon la revendication 8, caracté­ risé en ce qu'une diode (Δ) est reliée au collecteur du transistor bipolaire (T₁), le sens passant de cette dio­ de étant celui du courant circulant dans la jonction émetteur-collecteur de ce transistor, les extrémités (3, 5) du circuit d'utilisation étant reliées respectivement à l'une des électrodes de cette diode (Δ) et à l'émet­ teur (17) du transistor bipolaire (T₁).

11. Relais selon la revendication 2, caracté­ risé en ce que ladite impédance (15) limitant la valeur du courant (i) circulant dans le circuit de commande comprend une résistance (R) de valeur élevée pour rendre négligeable ce courant (i) vis-à-vis du courant (I) qui circule dans le circuit d'utilisation (U).

12. Relais selon la revendication 11, carac­ térisé en ce que ladite impédance (15) limitant le cou­ rant comprend une diode (d) reliée en série avec la résistance (R) de valeur élevée, le sens passant de cette diode correspondant au sens du courant dans l'électrode de commande du transistor.

13. Relais selon la revendication 4, caracté­ risé en ce que l'autre impédance (19) reliant la base à l'émetteur du transistor bipolaire (T₁) comprend une résistance (r) de polarisation.

14. Relais selon l'une au moins des revendica­ tions 4 et 13, caractérisé en ce que l'autre impédance (19) reliant la base à l'émetteur du transistor bipolai­ re comprend une diode (d₁) reliée en parallèle avec la résistance (r) de polarisation, si elle existe, le sens passant de cette diode étant l'inverse de celui de la jonction base-émetteur du transistor bipolaire (T₁).

15. Relais selon la revendication 6, caracté­ risé en ce que l'autre impédance (23) reliant la source (21) à la grille (20) du transistor à effet de champ (T₂) comprend une résistance de polarisation (r′).

16. Relais selon la revendication 15, caracté­ risé en ce que l'autre impédance (23) reliant la source (21) à la grille (20) du transistor à effet de champ (T₂) comprend une diode (d₂ ou z) reliée en parallèle avec la résistance de polarisation, le sens passant de cette diode étant l'inverse de celui de la jonction grille-source du transistor (T₂) à effet de champ.

17. Relais autorisant ou interrompant la cir­ culation d'un courant dans un circuit d'utilisation (U) comprenant un commutateur électronique statique (1) ayant une borne (2) reliée à une extrémité (3) du cir­ cuit d'utilisation et une autre borne (4) reliée à une autre extrémité (5) de ce circuit, et un circuit de com­ mande (6) ayant une sortie de commande (7) reliée à une entrée de commande (8) du commutateur (1) pour autoriser ou interrompre la circulation du courant dans le circuit d'utilisation (U) et entre les deux bornes (2, 4) du commutateur, caractérisé en ce que le circuit de comman­ de (6) comprend un amplificateur de courant (25) polari­ sé par la tension disponible entre lesdites extrémités (3, 5) du circuit d'utilisation.

18. Relais selon la revendication 17, dans le­ quel ledit commutateur électronique statique (1) est un transistor bipolaire (T₁), caractérisé en ce que l'on dispose une impédance, entre lesdites bornes (2) et (4), reliée au circuit d'utilisation (U) et en série sur le collecteur dudit transistor.

19. Relais selon la revendication 18, caracté­ risé en ce que ladite impédance est une résistance.

20. Relais selon la revendication 18, caracté­ risé en ce que ladite impédance est une diode (Δ) dont le sens de conduction est le même que celui du transistor.

21. Application du relais conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 20, à un circuit d'utilisation (U) dans lequel circule un courant de sens quelconque ou un courant alternatif, caractérisé en ce que le relais est connecté entre deux bornes (30, 31) d'une diagonale d'un pont redresseur à quatre diodes (32, 33, 34, 35), deux autres bornes (36, 37) de l'autre diagonale de ce pont étant reliées aux deux extrémités (3, 5) du circuit d'utilisation (U).

22. Application du relais conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 20, à un circuit d'utilisation (U) dans lequel circule un courant de sens quelconque où un courant alternatif, caractérisé en ce que l'on connecte deux relais (R₁, R₂) utilisant des transistors de types complémentaires, aux deux extrémi­ tés (3, 5) du circuit d'utilisation, les interrupteurs de commande respectifs de ces deux relais étant comman­ dés parallèlement ou individuellement selon que l'on veut commuter pour n'importe quel sens du courant d'uti­ lisation, ou pour un seul sens du courant d'utilisation.

23. Application du relais à inverseur bipolai­ re de courant dans une charge, cet inverseur comprenant quatre relais conformes à l'une quelconque des revendi­ cations 1 à 20, disposés respectivement dans quatre branches d'un pont, la charge étant située dans une dia­ gonale du pont et un générateur étant situé dans une autre diagonale du pont.

Procédé de contrôle, par carte (3) à mémoire d'information, pour parc de machines à affranchir (1) placées sous la surveillance d'un centre de rattachement (2) chargé de la gestion comportant en ce but, comme chacune des machines (1), un terminal d'écriture-lecture (5) de carte (3) et une logique organisée autour d'au moins un processeur (18,24) et de mémoires (19,25), des transferts d'informations étant prévus entre centre (2) et machines (1) au moyen des cartes (3) que l'on vient alternativement placer dans des terminaux d'écriture-lecture (4,5) du centre et des machines, caractérisé en ce que les informations à transmettre, essentiellement composées de directives de régie de machine émanant du centre et de relevés d'exploitation en provenance d'une machine, sont échangées par l'intermédiaire de cartes individuellement affectées à chaque machine (1) pour ses échanges avec le centre de rattachement (2) et comportant chacune une mémoire (7) dans laquelle ces informations sont irréversiblement inscrites, et un microprocesseur (6) assurant la surveillance de la lecture de sa carte (3) et un contrôle sélectif des transferts d'information au moyen de la carte qui le contient et notamment des inscriptions en mémoire de carte, et en ce que la mémoire d'une telle carte contient une clé d'accès à la carte et un numéro d'identification machine spécifique, sous forme de données binaires dites d'autorisation, permettant au processeur (6) de la carte de n'autoriser les inscriptions à partir d'un terminal d'écriture et de lecture (4) de carte de machine à affranchir que si ce dernier fournit les dites données d'autorisation, que des informations de fréquence de relevés de compteurs et des informations de définition des compteurs en nombre et plage sont inscrites en mémoire (7) de carte de poste (3P) par le centre de rattachement (2) préalablement à la mise en service de ladite carte de poste dans la machine à affranchir à laquelle elle est affectée, afin d'être transmise en mémoire (19) de cette machine pour mise en application lors de ladite mise en service, et en ce que des cartes de gestion (3A, 3T) auxiliaires, dotées d'indications spécifiques d'usage sont mises en oeuvre pour la réalisation d'opérations exceptionnelles, telles la mise en service, le retrait ou le dépannage, lesdites cartes devant être individuellement introduites dans le terminal d'écriture-lecture de la machine à affranchir concernée, préalablement à la carte de poste de cette machine, pour permettre la réalisation de l'opération correspondante et l'inscription d'un message correspondant en mémoire (7) de la carte de poste (3P) concernée.

Procédé de contrôle selon la revendication 1, caractérisé en ce que les informations de définition de compteurs inscrites en mémoire (7) de carte de poste (3P) définissent le nombre et les plages des compteurs,dits statistiques, couvrant la plage d'affranchissement de la machine.

Procédé de contrôle selon la revendication 1, caractérisé en ce que le fonctionnement d'une machine à affranchir (1) est conditionné par la présence d'une carte de poste (3P) ou de clé (3C) en son terminal d'écriture-lecture (4).

Procédé de contrôle selon la revendication 1, caractérisé en ce que le terminal d'écriture-lecture (4) d'une machine à affranchir inscrit dans la carte de poste (3P) affectée à cette machine, chronologiquement, à la suite des informations de fréquence et de définition inscrites par le centre de rattachement, les différents relevés effectués sur les compteurs de la machine et en ce que le centre de rattachement inscrit périodiquement un message d'acquittement à la suite du dernier relevé effectué et après extraction de la carte (3P) considérée du terminal d'écriture-lecture (4) de la machine à affranchir et insertion pour lecture et acquittement dans un terminal d'écriture-lecture (5) du centre de rattachement.

Procédé de contrôle selon les revendications 2 et 3, caractérisé en ce que les informations de fréquence de relevé en mémoire (7) de carte de poste comportent une indication de comptage, apte à bloquer la machine à affranchir concernée en l'absence de message d'acquittement inscrit en mémoire (7) de carte en temps voulu par le centre de rattachement.

Procédé de contrôle selon la revendication 4, caractérisé en ce que le renouvellement d'une carte de poste (3P), dont la zone encore inscriptible de mémoire (7) s'épuise, s'effectue notamment à l'aide du terminal d'écriture-lecture (4) de la machine à affranchir (1) à laquelle cette carte de poste est affectée, ce terminal servant à enregistrer en mémoire (19) de ladite machine à affranchir les données contenues en zone inscriptible de mémoire (7) de la carte de poste (3P), depuis le dernier message d'acquittement inclus du centre de rattachement afin de les inscrire sur une nouvelle carte de poste, après reconnaissance mutuelle de la nouvelle carte par la machine et vice versa, le centre de rattachement ayant préalablement inscrit en mémoire (7) de cette nouvelle carte les informations de qualification et de définition des compteurs.

Procédé de contrôle selon la revendication 1, caractérisé en ce que le remplacement d'une carte de poste (3P) perdue ou détériorée, s'effectue notamment à l'aide d'une part du terminal d'écriture-lecture (4) de la machine à affranchir (1) à laquelle ladite carte est affectée et d'autre part d'une carte de gestion auxiliaire, telle une carte de maintenance (3T), introduite préalablement à une nouvelle carte de poste prévue en remplacement, la lecture par le terminal de ladite carte de gestion auxiliaire associée à la réception d'une information spécifique, fabulée sur un clavier (16) de la machine à affranchir, permettant la mise en service de la nouvelle carte de poste.

Modem de commande local pour contrôler un réseau de modems qui comprend un équipement terminal de données (10), connecté audit modem de commande (14, 30, 46) par une voie de transmission de données (TD) et une voie de réception de données (RD) sur lesquelles l'équipement terminal de données transmet et reçoit des messages de données et de commande, respectivement, et, un modem de éloigné (16, 34, 36, 38, 48) relié audit modem de commande par un milieu de transmission (18, 32, 50), chacun desdits modems fonctionnant en mode de données à une cadence de transmission de n bits par baud, n étant un nombre entier positif supérieur à un, ledit modem de commande comprenant un processeur ayant des moyens pour effectuer la surveillance permanente du contenu des messages reçus de l'équipement terminal de données sur la voie de transmission de données (TD), de façon à détecter la transmission par l'équipement terminal de données désirant initier un contrôle du réseau de modems, sur la voie de transmission de données (TD), d'un message de commande comprenant un premier moyen d'identification (H), un moyen d'adressage (AM), et un moyen de commande (C); ledit modem de commande étant caractérisé en ce que ledit processeur comprend: un premier moyen d'emmagasinage du message de commande reçu sur ladite voie de transmission de données (TD) lorsque ledit modem de commande a détecté dans ce message la présence du premier moyen d'identification (H) et celle de sa propre adresse dans le moyen d'adressage (AM), un moyen de génération, à partir dudit message de commande, d'un premier message de supervision comprenant un second moyen d'identification (SH), et le moyen d'adressage (AM) et le moyen de commande (C) qui étaient contenus dans ledit message de commande, lorsque ce dernier spécifie une commande pour ledit modem éloigné, et un premier moyen de transmission sur le milieu de transmission d'une séquence de mise en route, puis dudit premier message de supervision, ledit premier message de supervision étant transmis à la cadence de un bit par baud quelle que soit la cadence des données échangées par lesdits modem de commande et modem éloigné.

Modem de commande selon la revendication 1, pour contrôler un réseau de modems dans lequel ledit modem éloigné (16, 34, 36, 38, 48) comprend un processeur ayant: un moyen de réception de la séquence de mise en route transmise par ledit modem de commande, un moyen de commande pour le passage à une réception à la cadence de un bit par baud à la fin de la réception de la séquence de mise en route, et la surveillance du contenu des messages reçus dudit modem de commande après la séquence d'initialisation, à la cadence de un bit par baud, un moyen d'emmagasinage du premier message de supervision reçu du milieu de transmission lorsque ledit moyen de commande a détecté dans ce message la présence du second moyen d'identification (SH) et l'adresse dudit modem de commande dans le moyen d'adressage (AM), un moyen d'exécution de la commande spécifiée par le moyen de commande (C) contenu dans le premier message de supervision reçu, un moyen d'élaboration d'un rapport contenant le résultat de l'exécution de la commande, un moyen de génération d'un second message de supervision comprenant le contenu du premier message de supervision reçu auquel est adjoint le rapport, et un moyen de transmission sur le milieu de transmission d'une séquence de mise en route et du second message de supervision, ledit second message de supervision étant transmis à la cadende de un bit par baud quelle que soit la cadence des données échangées par lesdits modem de commande et modem éloigné.

Modem de commande selon la revendication 2 dans lequel ledit processeur comprend: un moyen de réception de la séquence de mise en route transmise par ledit modem éloigné (16, 34, 36, 38, 48), un moyen de commande pour le passage à une réception à la cadence de un bit par baud à la fin de la réception de la séquence de mise en route transmise par ledit modem éloigné et la surveillance du contenu des messages reçus dudit modem, à la cadence de un bit par baud, un second moyen d'emmagasinage du second message de supervision reçu du milieu de transmission lorsque ledit modem de commande a détecté dans ce message la présence dudit second moyen d'identification (SH) et celle de sa propre adresse dans le moyen d'adressage (AM), un moyen de détection du rapport dudit modem éloigné contenu dans le second message de supervision reçu, un moyen d'élaboration d'un message de rapport contenant le résultat de l'exécution de la commande à partir du second message de supervision reçu dudit modem éloigné, et un second moyen de transmission du message de rapport par ledit modem de commande à l'équipement terminal de données sur la voie de réception de données (RD) de l'équipement terminal de données.

Modem de commande selon la revendication 1, pour contrôler un réseau de modems dans lequel, lorsque le message de commande reçu par ledit modem de commande et en provenance de l'équipement terminal de données est en erreur, ledit moyen d'élaboration dudit modem de commande élabore un message de rapport spécifiant les erreurs contenues dans le message de commande reçu, et ledit second moyen de tranmission dudit modem de commande transmet un message de rapport à l'équipement terminal de données sur la voie de réception de données (RD) de l'équipement terminal de données

Modem de commande selon la revendication 3, pour contrôler un réseau de modems dans lequel, si aucun second message de supervision contenant un rapport dudit modem et en provenance de ce dernier n'est reçu après un délai d'attente prédéterminé, ledit moyen d'élaboration dudit modem de commande élabore un message de rapport spécifiant qu'aucun rapport dudit modem éloigné n'a été reçu, et ledit second moyen de transmission dudit modem de commande transmet un message de rapport à l'équipement terminal de données sur la voie de réception de données (RD) de l'équipement terminal de données.

Modem de commande local pour contrôler un réseau de modems qui comprend un équipement terminal de données (10), connecté audit modem de commande (46) et un modem éloigné (48) relié audit modem de commande par un milieu de transmission (50), chacun desdits modems comprenant plusieurs canaux (A-D) et un modem de base (46B, 48B) et échangeant entre eux des bits de données à une cadence de transmission de n bits par baud, n étant un nombre entier positif supérieur à un, l'équipement terminal de données étant relié à chacun des canaux dudit modem de commande par une voie de transmission de données (TDA, TDB, TDC, TDD) et une voie de réception de données (RDA, RDB, RDC, RDD) sur lesquelles l'équipement terminal de données transmet et reçoit des messages de données et de commande, respectivement, ledit modem de commande comprenant un processeur ayant des moyens pour effectuer la surveillance permanente par ledit modem de commande du contenu des messages reçus de l'équipement terminal de données sur chacune des voies de transmission de données (TDA, TDB, TDC, TDD) reliées à l'équipement terminal de données, de façon à détecter la transmission par l'équipement terminal de données désirant initier un contrôle du réseau de modems, sur l'une des voies de transmission de données (TDA, TDB, TDC, TDD), d'un message de commande comprenant un premier moyen d'identification (H), un premier moyen d'adressage (AM), un indicateur de mode de transmission (M), et un moyen de commande (C), ledit modem de commande étant caractérisé en ce que ledit processeur comprend : un premier moyen d'emmagasinage du message de commande reçu sur une des voies de transmission (TDA, TDB, TDC, TDD) lorsque la présence de premier moyen d'identification (H) et celle de l'adresse dudit modem de commande ont été détectées dans ce message, un moyen de génération, à partir du message de commande reçu, d'un premier message de supervision comprenant un second moyen d'identification (SH), un second moyen d'adressage (CH) identifiant celui des canaux dudit modem de commande qui a reçu le message de commande, et le premier moyen d'adressage (AM), l'indicateur de mode transmission (M) et le moyen de commande (C) qui étaient contenus dans le message de commande reçu, lorsque l'indicateur de mode de transmission spécifie un premier mode de transmission, et le moyen de commande spécifie une commande pour ledit modem éloigné, et un premier moyen de transmission sur le milieu de transmission d'une séquence de mise en route puis du premier message de supervision, ledit premier message de supervision étant transmis à la cadence de un bit par baud quelle que soit la cadence des données échangées par lesdits modem de commande et modem éloigné.

Modem de commande selon la revendication 6 pour contrôler un réseau de modems dans lequel ledit modem éloigné (48) comprend un processeur ayant un moyen de réception de la séquence de mise en route transmise par ledit modem de commande (46), un moyen de commande pour le passage à une réception à la cadence de un bit par baud à la fin de la réception de la séquence de mise en route, et la surveillance du contenu des messages reçus dudit modem de commande après la séquence d'initialisation, à la cadence de un bit par baud, un moyen d'emmagasinage du premier message de supervision reçu du milieu de transmission lorsque ledit modem éloigné a détecté dans ce message la présence du second moyen d'identification (SH) et celle de sa propre adresse dans le premier moyen d'adressage (AM), un moyen d'exécution de la commande spécifiée par le moyen de commande contenu dans le premier message de supervision reçu, un moyen d'élaboration d'un rapport contenant le résultat de l'exécution de la commande, un moyen de génération d'un second message de supervision comprenant le contenu du premier message de supervision reçu auquel est adjoint le rapport, et un moyen de transmission successive sur le milieu de transmission d'une séquence de mise en route, puis du second message de supervision, ledit second message de supervision étant transmis à la cadence de un bit par baud quelle que soit la cadence des données échangées par lesdits modem de commande et modem éloigné.

Modem de commande (46) selon la revendication 7, dans lequel ledit processeur comprend : un moyen de réception de la séquence de mise en route transmise par ledit modem éloigné (48), un moyen de commande pour le passage à une réception à la cadence de un bit par baud à la fin de la réception de la séquence de mise en route, et la surveillance du contenu des messages reçus dudit modem éloigné après la séquence d'initialisation, à la cadence de un bit par baud, un second moyen d'emmagasinage du second message de supervision reçu du milieu de transmission lorsque ledit modem de commande a détecté dans ce message la présence du second moyen d'identification (SH) et celle de sa propre adresse, un moyen de détection du rapport dudit modem éloigné contenu dans le second message de supervision reçu, un moyen d'élaboration d'un message de rapport contenant le résultat de l'exécution de la commande à partir du second message de supervision reçu dudit modem éloigné, et un second moyen de transmission du message de rapport par ledit modem de commande sur la voie de réception de données (RDA, RDB, RDC, RDD) du canal qui a reçu le message de commande de l'équipement terminal de données.

Modem de commande selon la revendication 6, pour contrôler un réseau de modems dans lequel, lorsque l'indicateur de mode de transmission contenu dans le message de commande reçu par ledit modem de commande (46) à partir de l'équipement terminal de données spécifie un second mode de transmission, l'adresse du canal qui a reçu le message de commande est adjointe au message de commande reçu, et le message de commande en résultant est transmis sur le milieu de transmission en mode de données.

Compteur totalisateur du type dit à aiguilles, dans lequel la démultiplication mécanique est réalisée par des roues dentées (5) entraínant des roues codeuses (7), qui commutent des plots (12) de telle manière qu'à tout moment au moins un plot (12) est commuté, chaque roue codeuse (7) portant une plaque (9) pourvue de frotteurs (A- B- C- D) alignés sur un même rayon, les plots de contact (12) répartis à l'intérieur de la circonférence d'une platine de décodage (8) étant conformés pour s'imbriquer l'un dans l'autre, caractérisé en ce que a) ladite roue codeuse comprend quatre frotteurs, b) les plots de contact sont au nombre de dix, répartis autour de ladite circonférence, c) ils sont de forme identique et comportent chacun une première partie située à une distance du centre telle que le frotteur le plus éloigné du centre puisse le contacter, une seconde partie telle que le frotteur voisin puisse le contacter et une troisième partie joignant lesdites première et seconde parties, d) ils sont imbriqués de telle manière qu'à tout moment au plus deux plots (12) puissent être commutés, et e) les deux frotteurs les plus proches du centre contactent continuellement un contact continu concentrique situé à l'intérieur de ladite circonférence et sans contact avec les dix plots sur ladite circonférence.

Engin de dépollution de nappes d'eau comportant des déchets à leur surface, du type comportant un canal (12) de circulation d'eau ayant une entrée (11) pour recevoir un courant d'eau à l'avant dudit engin et une ouverture de sortie (13) à l'arrière dudit engin pour évacuer ledit courant d'eau après l'avoir dépolluée, une hélice (20) entraínée par un moteur et entraínant le courant d'eau dans ledit canal (12), caractérisé par le fait que l'engin comporte en outre une cloche de décantation (15) fermée située au dessus de la surface de la nappe d'eau, en arrière de l'entrée (11) de l'eau sur la paroi haute du canal de circulation (12) au voisinage de son embouchure, un canal de dérivation (14) à section fermée collectant la partie supérieure du courant d'eau qui comprend les déchets flottants en un point (14a) situé en dessous du niveau de l'eau qui entoure l'engin, ce canal de dérivation (14) étant incliné vers le haut et ayant sa sortie située dans la cloche de décantation (15) au voisinage de la partie supérieure de cette dernière où les débris flottants s'accumulent, une canalisation d'élimination (29) éliminant les débris flottants à partir de la partie supérieure de la cloche de décantation (15) et une canalisation d'évacuation (16) descendante ayant son entrée dans la cloche de décantation au voisinage de la sortie du canal de dérivation (14) et ayant sa sortie (16a) reliée au canal (12) de circulation en aval de l'entrée (14a) du canal de dérivation (14) à un endroit où la vitesse du courant d'eau est supérieure à celle qui existe à l'endroit de l'entrée du canal de dérivation (14a).

Engin selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la cloche de décantation (15) a une paroi frontale dirigée vers l'avant de l'engin, le canal de dérivation (14) ayant une section allongée et étant situé le long de la paroi frontale de la chambre de décantation.

Engin selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que la canalisation d'évacuation (16) a une section plus petite que celle de la cloche de décantation, l'entrée de ladite canalisation d'évacuation (16) étant située au voisinage du centre de la cloche de décantation.

Engin selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la cloche de décantation (15) comporte un flotteur (27) ayant une densité inférieure à celle de l'eau mais supérieure à celle des liquides surnageants, une pompe commandée par ledit flotteur évacuant par la canalisation d'élimination (29) les déchets surnageants.

Engin selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que le canal de circulation d'eau (12) a une section utile qui diminue progressivement de l'endroit où se trouve l'entrée (14a) du canal de dérivation (14) vers l'endroit où se trouve la sortie (16a) du canal d'évacuation (16) dans ledit canal de circulation (12).

Engin selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait qu'il comporte un volet (24) ajustable pour contrôler les différences de vitesses du courant d'eau entre l'entrée (14a) du canal de dérivation (14) et la sortie (16a) du canal d'évacuation, ledit volet (24) contrôlant le flux de l'eau entrant du dessous de l'engin dans le canal (12) de circulation d'eau par un orifice (23) située dans la paroi inférieure du canal de circulation d'eau (12) entre l'entrée (14a) du canal de déviation et la sortie (16a) du canal d'évacuation.

Engin selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que le canal de circulation d'eau (12) possède au voisinage de sa partie située à l'avant de l'engin une paroi supérieure qui présente une section en zigzag.

Engin selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la canalisation d'évacuation (16) comporte un registre d'étranglement réglable.

Procédé de test et d'analyse en ligne permettant d'établir un bilan matière d'une réaction chimique durant un intervalle de temps déterminé, dans lequel on introduit dans une zone réactionnelle une charge de composition et débit connus comprenant au moins un gaz et/ou au moins un liquide, on chauffe ladite charge à une température et sous une pression de réaction supérieure à la pression atmosphérique dans ladite zone de façon à obtenir un effluent totalement en phase gazeuse, le procédé étant caractérisé par les étapes successives suivantes : a) On prélève une aliquote de volume connu dudit effluent auxdites température et pression, b) On effectue l'analyse deladite aliquote dudit effluent prélevé auxdites température et pression, ladite aliquote contenant au moins un constituant, c) On effectue une étape de détente jusqu'à la pression atmosphérique de façon à obtenir un effluent détendu, d) On prélève une aliquote de volume connu de l'effluent détendu, e) On effectue l'analyse de ladite aliquote de l'effluent détendu, ladite aliquote contenant au moins en partie ledit gaz et/ou au moins en partie ledit liquide de ladite charge et/ou au moins en partie le constituant présent dans l'aliquote prélevé auxdites température et pression, f) On mesure le volume total dudit effluent détendu durant ledit intervalle de temps déterminé, et g) On déduit de la composition et du débit de la charge ainsi que de l'analyse effectuée sur l'effluent prélevé auxdites température et pression de la réaction, de l'analyse de l'aliquote de l'effluent détendu et de la mesure du volume dudit effluent détendu, le bilan matière de ladite réaction chimique.

Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'on effectue après l'étape de détente, une étape de condensation délivrant un condensat que l'on prend en compte dans le bilan matière.

Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 2, caractérisé en ce qu'on effectue avant l'étape a) une étape supplémentaire de condensation délivrant un condensat que l'on analyse qualitativement et quantitativement.

Appareillage de test et d'analyse en ligne pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1 caractérisé par la combinaison suivante : un réacteur (5), un système d'injection (1) d'une charge, relié audit réacteur, des moyens de mesure (1a, 2), de débit et de composition de ladite charge, un moyen de chauffage (6) dudit réacteur, ce dernier délivrant un effluent totalement en phase gazeuse, au moins une vanne d'échantillonnage (21) munie d'organes de chauffage, cette vanne étant reliée à la sortie du réacteur (5) et contenant une aliquote dudit effluent, un premier moyen d'analyse (19) tel qu'un chromatographe en phase gazeuse pour l'analyse qualitative et quantitative dudit effluent contenu dans ladite vanne, ce premier moyen d'analyse étant relié à ladite vanne, un moyen de détente (29) en sortie du premier moyen d'analyse (19) délivrant un effluent détendu, une vanne d'échantillonnage supplémentaire (24) munie d'organe de chauffage pour contenir une aliquote de l'effluent détendu, un second moyen d'analyse (19, 28) tel qu'un chromatographe en phase gazeuse pour l'analyse qualitative et quantitative de ladite aliquote de l'effluent détendu, ledit second moyen d'analyse étant connecté à ladite vanne d'échantillonnage supplémentaire, un moyen de mesure de volume (31) dudit effluent détendu, connecté à la sortie dudit second moyen d'analyse (19, 28), et des moyens de traitement (50) reliés auxdits moyens de mesure de débit (1a, 2) et de composition de la charge, audit moyen de mesure de volume (31) et auxdits premier et second moyens d'analyse (19 et 19, 28), ces moyens de traitement étant adaptés à déterminer un bilan matière à partir des mesures de débit et de composition de la charge, de la mesure de volume et de l'analyse dudit effluent détendu ainsi que de l'analyse de l'effluent totalement en phase gazeuse.

Appareillage selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend un premier moyen de condensation (30) situé entre le moyen de détente (29) et le second moyen d'analyse (19, 28) de l'effluent détendu.

Appareillage selon l'une quelconque des revendications 4 ou 5 caractérisé en ce qu'il comprend au moins un second moyen de condensation (37) situé entre la sortie du réacteur (5) et les vannes d'échantillonnage (21 et 24).

Appareillage selon l'une quelconque des revendications 4 à 6 caractérisé en ce que les moyens de traitement (50) comprennent un automate programmable adapté à réguler et à régler un ensemble de moyens reliés audit automate (41), lesdits moyens comprenant : a) des moyens de mesure (1a, 2) de débit et de composition de la charge, b) des moyens de mesure (42, 43) de température du réacteur (5) ainsi que du moyen de chauffage (6), c) des moyens de détente (29), d) le premier (30) et le second moyen de condensation (37), et e) des moyens de sécurité (45).

Nouvelles dispersions colloïdales aqueuses d'un composé de cérium IV caractérisées en ce qu'elles contiennent une concentration en [OH⁻] égale à la relation suivante : [OH⁻] représente la concentration en moles/litre de la solution basique [Ce IV]f représente la concentration en Ce IV en moles/litre de la dispersion colloïdale finale [Ce IV]i représente la concentration en Ce IV en moles/litre de la solution aqueuse du sel de cérium IV n1 représente le nombre de moles de Ce IV présentes dans la dispersion colloïdale finale n2 représente le nombre de moles OH⁻ nécessaires pour neutraliser l'acidité apportée par la solution aqueuse du sel de cérium IV r représente le taux de sursaturation de la dispersion colloïdale et en ce que r varie entre 3 et 4, cette derniére valeur étant exclue, r étant calculé par la formule: dans laquelle, n₂ et n₁ ont les valeurs ci-dessus et n₃ représente le nombre total de moles OH⁻ apportées par l'addition de la base.

Nouvelles dispersions colloïdales selon la revendication 1 caractérisées en ce que le taux de sursaturation r est compris entre 3,3 et 3,7, ces deux bornes étant exclues.

Nouvelles dispersions colloïdales selon la revendication 1 ou 2 caractérisées par le fait qu'elles présentent un taux de cérium sous forme colloïdale pouvant atteindre 100 %.

Nouvelles dispersions colloïdales selon l'une des revendications 1 ou 3 caractérisées par le fait qu'elles présentent une concentration en CeO₂ pouvant aller jusqu'à 30 % en poids.