Demain soir, la France rencontre le Brésil. Un adversaire de taille puisqu'il s'agit du seul pays à avoir remporté 5 fois la coupe du Monde. C'est aussi le pays qui exporte le plus de joueurs professionnels à l'étranger et qui fait naitre de véritables stars du ballon rond. Pourquoi sont-ils si performants ?
Signification : Dans le sens strict des mots, scrupuleusement Exemples : Cela doit s’expliquer, doit s’entendre au pied de la lettre. Il est ruiné ; au pied de la lettre, il n’a pas de pain. Origine : Dès le XVIe siècle, cette expression a le sens de "comprendre une chose dans le strict sens des mots". Il s'agit d'une allusion à la Bible dans laquelle une lettre des Corinthiens ( la deuxième lettre aux Corinthiens ) met en avant la nuance qui existe entre ce que l'on peut dire ou écrire et le sens réel des mots, les sous-entendus. Aujourd'hui encore, exécuter un ordre "au pied de la lettre" consiste à le respecter entièrement, sans le remettre en question. On peut aussi dire qu'une personne "prend tout au pied de la lettre" lorsqu'elle ne cherche pas à interpréter les mots dans un sens plus profond.
S'inquiétant de la disparition progressive de l'industrie textile dans sa région, un patron a décidé de lutter contre la fatalité et s'est engagé à reprendre les sociétés en difficulté pour recréer une dynamique.
La grève des cheminots entamée mercredi 12 juin au soir à l'appel des syndicats, hostiles au projet de réforme ferroviaire du gouvernement, perturbait fortement le trafic SNCF jeudi matin, "conformément à ce qui avait été annoncé", a indiqué un porte-parole de la compagnie. Quatre trains sur 10 en moyenne circulaient sur les lignes TGV et TER. En Ile-de-France, le trafic était très perturbé sur les lignes B et D du RER avec 1 train sur 3 et les interconnexions nord-sud n'étaient pas assurées Gare du Nord et Gare de Lyon. Pour les RER C et E, 1 train sur 2 roulait en moyenne et le service était "proche de la normale" sur le RER A. Les TGV Sud-Est et province-province étaient les plus affectées avec 1 train sur 3 circulant en moyenne, selon un communiqué. Pour le TGV Nord, la prévision est de 4 trains sur 10 et de respectivement 1 train sur 2 et 2 trains sur 3 pour les lignes Atlantique et Est. Sur les "Intercités", 3 trains sur 10 circulaient. Au niveau régional, la SNCF prévoit "plus de 4 services TER sur 10" en moyenne sur le territoire national, sachant qu'il existe des disparités en région. A l'international, le trafic sera en revanche normal sur les lignes Eurostar (Londres), Thalys (Bruxelles, Amsterdam) et Alléo (Allemagne). Des perturbations sont cependant annoncées en direction de la Suisse et de l'Italie. La SNCF souligne avoir lancé "un plan massif d'information", notamment via son site internet et un affichage en gare. En outre, un million de courriels ont été envoyés aux clients abonnés, 50 000 SMS aux abonnés grandes lignes et 500 000 tracts distribués en gare ou aux abords pour faire état du trafic. Un millier de "gilets rouges" sont à la disposition des voyageurs dans les gares. La grève avait été appelée à faire depuis mercredi 19 heures jusqu'à vendredi 8 heures.
Des employés d'un supermarché danois ont eu la surprise de découvrir 100 kg de cocaïne dans ce qu'ils pensaient être un chargement de bananes, a annoncé leur employeur mercredi. La police danoise a confirmé dans un communiqué qu'elle enquêtait sur "la découverte d'une grande quantité de poudre dans un lot de bananes livré à Coop à Brondby".Elle a ajouté qu'elle soupçonnait qu'il s'agissait de cocaïne, mais que cela devrait être prouvé à l'aide d'analyses. Un porte-parole de la chaîne de supermarchés Coop, Jens Juul Nielsen, a expliqué au quotidien Jyllands-Posten qu'il n'y avait pas trop de doutes sur la nature de cette poudre. Il a précisé que 80 kg avaient été découverts "la semaine dernière" à Aarhus et 100 kg mercredi à Brondby. "Nous avons, comme la semaine dernière, alerté notre fournisseur en Colombie à ce sujet. (...) Il était quelque peu perplexe quant à la façon dont cela a pu se produire et il travaille pour savoir comment il peut renforcer les contrôles", a ajouté M. Nielsen, cité sur le site internet du journal.A la télévision publique DR, ce porte-parole a précisé qu'il n'y avait aucun danger pour les acheteurs de bananes, puisqu'à la fois les fruits et la cocaïne étaient "très bien emballés".
Toute l’histoire de la période houillère était écrite sur ces sombres parois, et un géologue en pouvait suivre facilement les phases diverses. Les lits de charbon étaient séparés par des strates de grès ou d’argile compacts, et comme écrasés par les couches supérieures. À cet âge du monde qui précéda l’époque secondaire, la terre se recouvrit d’immenses végétations dues à la double action d’une chaleur tropicale et d’une humidité persistante. Une atmosphère de vapeurs enveloppait le globe de toutes parts, lui dérobant encore les rayons du soleil. De là cette conclusion que les hautes températures ne provenaient pas de ce foyer nouveau. Peut-être même l’astre du jour n’était-il pas prêt à jouer son rôle éclatant. Les « climats » n’existaient pas encore, et une chaleur torride se répandait à la surface entière du globe, égale à l’équateur et aux pôles. D’où venait-elle ? De l’intérieur du globe. En dépit des théories du professeur Lidenbrock, un feu violent couvait dans les entrailles du sphéroïde ; son action se faisait sentir jusqu’aux dernières couches de l’écorce terrestre ; les plantes, privées des bienfaisantes effluves du soleil, ne donnaient ni fleurs ni parfums, mais leurs racines puisaient une vie forte dans les terrains brûlants des premiers jours. Il y avait peu d’arbres, des plantes herbacées seulement, d’immenses gazons, des fougères, des lycopodes, des sigillaires, des astérophylites, familles rares dont les espèces se comptaient alors par milliers. Or c’est précisément à cette exubérante végétation que la houille doit son origine. L’écorce élastique du globe obéissait aux mouvements de la masse liquide qu’elle recouvrait. De là des fissures, des affaissements nombreux. Les plantes, entraînées sous les eaux, formèrent peu à peu des amas considérables. Alors intervint l’action de la chimie naturelle ; au fond des mers, les masses végétales se firent tourbe d’abord ; puis, grâce à l’influence des gaz, et sous le feu de la fermentation, elles subirent une minéralisation complète. Ainsi se formèrent ces immenses couches de charbon qu’une consommation excessive doit, pourtant, épuiser en moins de trois siècles, si les peuples industriels n’y prennent garde. Ces réflexions me revenaient à l’esprit pendant que je considérais les richesses houillères accumulées dans cette portion du massif terrestre. Celles-ci, sans doute, ne seront jamais mises à découvert. L’exploitation de ces mines reculées demanderait des sacrifices trop considérables. À quoi bon, d’ailleurs, quand la houille est répandue pour ainsi dire à la surface de la terre dans un grand nombre de contrées ? Aussi, telles je voyais ces couches intactes, telles elles seraient encore lorsque sonnerait la dernière heure du monde. Cependant nous marchions, et seul de mes compagnons j’oubliais la longueur de la route pour me perdre au milieu de considérations géologiques. La température restait sensiblement ce qu’elle était pendant notre passage au milieu des laves et des schistes. Seulement, mon odorat était affecté par une odeur fort prononcée de protocarbure d’hydrogène. Je reconnus immédiatement, dans cette galerie, la présence d’une notable quantité de ce fluide dangereux auquel les mineurs ont donné le nom de grisou, et dont l’explosion a si souvent causé d’épouvantables catastrophes. Heureusement nous étions éclairés par les ingénieux appareils de Ruhmkorff. Si, par malheur, nous avions imprudemment exploré cette galerie la torche à la main, une explosion terrible eût fini le voyage en supprimant les voyageurs. Cette excursion dans la houillère dura jusqu’au soir. Mon oncle contenait à peine l’impatience que lui causait l’horizontalité de la route. Les ténèbres, toujours profondes à vingt pas, empêchaient d’estimer la longueur de la galerie, et je commençai àla croire interminable, quand soudain, à six heures, un mur se présenta inopinément à nous. À droite, à gauche, en haut, en bas, il n’y avait aucun passage. Nous étions arrivés au fond d’une impasse. « Eh bien ! tant mieux ! s’écria mon oncle, je sais au moins à quoi m’en tenir. Nous ne sommes pas sur la route de Saknussemm, et il ne reste plus qu’à revenir en arrière. Prenons une nuit de repos, et avant trois jours nous aurons regagné le point où les deux galeries se bifurquent. –Oui, dis-je, si nous en avons la force ! –Et pourquoi non ? –Parce que, demain, l’eau manquera tout à fait. –Et le courage manquera-t-il aussi ? » dit le professeur en me regardant d’un oeil sévère. Je n’osai lui répondre.
Les sanctions prévues par la loi pour un candidat qui triche aux épreuves du baccalauréat vont du blâme à une interdiction de se représenter à tout examen pendant 5 ans.
Notez cette date dans votre agenda: le 16 juin, c'est la fête des Pères,l'échéance approche à grands pas... Et il est déjà l'heure de se creuser la tête pour trouver LE cadeau idéal qui fera plaisir à votre papa chéri. Pas facile, n'est-ce pas ? Comme toujours, c'est un véritable casse-tête pour vous dès qu'il s'agit d'offrir un cadeau à un homme et qui plus est, à votre père. Rassurez-vous, peu importe le cadeau que vous choisirez, l'important est d'y avoir pensé.
C’est à qui de jouer? C’est à tou de jouer. Jette le dé.
En effet, il fallut se rationner. Notre provision ne pouvait durer plus de trois jours. C’est ce que je reconnus le soir au moment du souper. Et, fâcheuse expectative, nous avions peu d’espoir de rencontrer quelque source vive dans ces terrains de l’époque de transition. Pendant toute la journée du lendemain la galerie déroula devant nos pas ses interminables arceaux. Nous marchions presque sans mot dire. Le mutisme de Hans nous gagnait. La route ne montait pas, du moins d’une façon sensible. Parfois même elle semblait s’incliner. Mais cette tendance, peu marquée d’ailleurs, ne devait pas rassurer le professeur, car la nature des couches ne se modifiait pas, et la période de transition s’affirmait davantage. La lumière électrique faisait splendidement étinceler les schistes, le calcaire et les vieux grès rouges des parois ; on aurait pu se croire dans une tranchée ouverte au milieu du Devonshire, qui donna son nom à ce genre de terrains. Des spécimens de marbres magnifiques revêtaient les murailles, les uns, d’un gris agate avec des veines blanches capricieusement accusées, les autres, de couleur incarnat ou d’un jaune taché de plaques rouges, plus loin, des échantillons de ces griottes à couleurs sombres, dans lesquels le calcaire se relevait en nuances vives. La plupart de ces marbres offraient des empreintes d’animaux primitifs ; mais, depuis la veille, la création avait fait un progrès évident. Au lieu des trilobites rudimentaires, j’apercevais des débris d’un ordre plus parfait ; entre autres, des poissons Ganoïdes et ces Sauropteris dans lesquels l’oeil du paléontologiste a su découvrir les premières formes du reptile.Les mers dévoniennes étaient habitées par un grand nombre d’animaux de cette espèce, et elles les déposèrent par milliers sur les roches de nouvelle formation. Il devenait évident que nous remontions l’échelle de la vie animale dont l’homme occupe le sommet. Mais le professeur Lidenbrock ne paraissait pas y prendre garde. Il attendait deux choses : ou qu’un puits vertical vînt à s’ouvrir sous ses pieds et lui permettre de reprendre sa descente ; ou qu’un obstacle l’empêchât de continuer cette route. Mais le soir arriva sans que cette espérance se fût réalisée. Le vendredi, après une nuit pendant laquelle je commençai à ressentir les tourments de la soif, notre petite troupe s’enfonça de nouveau dans les détours de la galerie. Après dix heures de marche, je remarquai que la réverbération de nos lampes sur les parois diminuait singulièrement. Le marbre, le schiste, le calcaire, les grès des murailles, faisaient place à un revêtement sombre et sans éclat. À un moment où le tunnel devenait fort étroit, je m’appuyai sur sa paroi. Quand je retirai ma main, elle était entièrement noire. Je regardai de plus près. Nous étions en pleine houillère. « Une mine de charbon ! m’écriai-je. –Une mine sans mineurs, répondit mon oncle. –Eh ! qui sait ? –Moi, je sais, répliqua le professeur d’un ton bref, et je suis certain que cette galerie percée à travers ces couches de houille n’a pas été faite de la main des hommes. Mais que ce soit ou non l’ouvrage de la nature, cela m’importe peu. L’heure du souper est venue. Soupons. » Hans, prépara quelques aliments. Je mangeai à peine, et je bus les quelques gouttes d’eau qui formaient ma ration. La gourde du guide à demi pleine, voilà tout ce qui restait pour désaltérer trois hommes. Après leur repas, mes deux compagnons s’étendirent sur leurs couvertures et trouvèrent dans le sommeil un remède à leurs fatigues. Pour moi, je ne pus dormir, et je comptai les heures jusqu’au matin. Le samedi, à six heures, on repartit. Vingt minutes plus tard, nous arrivions à une vaste excavation ; je reconnus alors que la main de l’homme ne pouvait pas avoir creusé cette houillère ; les voûtes en eussent été étançonnées, et véritablement elles ne se tenaient que par un miracle d’équilibre. Cette espèce de caverne comptait cent pieds de largeur sur cent cinquante de hauteur. Le terrain avait été violemment écarté par une commotion souterraine. Le massif terrestre, cédant à quelque puissante poussée, s’était disloqué, laissant ce large vide où des habitants de la terre pénétraient pour la première fois. 
On aurait pu se dire tout ça Ailleurs qu'au café d'en bas, Que t'allais peut-être partir Et peut-être même pas revenir, Mais en tout cas, ce qui est sûr , C'est qu'on pouvait en rire. Alors on va se quitter comme ça, Comme des cons devant le café d'en bas. Comme dans une serie B, On est tous les deux mauvais. On s'est moqué tellement de fois Des gens qui faisaient ça. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires. J' sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime. Je voulais quand même te dire merci Pour tout le mal qu'on s'est pas dit. Certains rigolent déjà. Je m'en fous, je les aimais pas. On avait l'air trop bien. Y en a qui ne supportent pas. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui me viennent sont dérisoires. Je sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime
Expression: Au cas où Pronunciation: [o ka oo] Meaning: just in case Literal translation: in the case where Notes: The French expression au cas où is exactly equivalent to "(just) in case" in English. You can use it in front of a subject plus verb in the conditional, in which case its register is normal to formal. The more interesting - and informal - usage is when it's tacked on to the end of a sentence. Examples 1.Au cas où il rentrerait avant nous, je vais lui laisser un mot. (Just) in case he gets home before us, I'm going to leave him a note. 2. Apporte un parapluie, au cas où il pleuvrait. Bring an umbrella, (just) in case it rains. 3.Apporte un blouson, au cas où. Bring a jacket, just in case. Synonymous expressions
Selon des médias hongkongais, Victoria Beckham aurait sympathisé avec Kate Middleton lors de sa grossesse. La femme de David Beckham et mère de quatre enfants aurait alors partagé au téléphone quelques « secrets » de maternité avec la duchesse. Mais Victoria voyait même plus loin puisqu'elle espère que sa fille de deux ans, Harper Seven Beckham, deviendra la partenaire de jeu du prince George. Sachant que la duchesse sortira peu de chez elle après sa grossesse, Victoria aurait proposé d'emmener elle-même la petite Harper rendre visite au petit prince.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance. Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
La vie de Nelson Mandela est racontée en archives et en photo dans une exposition parisienne. 30.00 personnes l'ont déjà visitée en un mois.
Après la sortie du patron de Titan sur la paresse des salariés français, les Suisses les jugent à leur tour «arrogants» et «revendicateurs». Les entreprises helvètes trouvent des moyens d'éviter d'embaucher des Français. En février dernier, Maurice Taylor, le président du groupe américain Titan dénonçait la paresse des ouvriers français: «Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France», dénonçait-il, provoquant de vives réactions dans l'Hexagone… C'est désormais au tour des employeurs suisses de s'attaquer aux travailleurs français. Le journal helvétique Le Matin dimanche relève que la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi. Et ce, afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français. Le quotidien explique alors que les Français sont en effet considérés comme «paresseux» et «arrogants». Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat.
Pourquoi le moustique nous pique-t-il ? Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques…). L'eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant.
Acheter du vin des autres provinces:L'industrie viticole au pays se développe certains vins gagnent des prix à l'étranger. Mais il est difficile pour les Canadiens d'acheter ou de commander du vin d'autres provinces.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Patrick Bruel est un chanteur et acteur français, né le 14 mai 1959 à Tlemcen (alors Algérie française). Né, selon les sources, Patrick, Patrick Maurice, ou Maurice Benguigui, il a obtenu par décret, en 2003, le droit de changer son nom en Patrick Bruel Benguigui. Discographie de Patrick Bruel
La fonction publique est souvent associée à "emploi à vie". Mais dans les faits, parmi les 5 millions de personnes qu’emploie l’Etat, tous ne sont pas fonctionnaires. Il abuse, lui aussi, des CDD à répétition et des contrats précaires, parfois en violation flagrante du droit du travail.
On se réveilla le lendemain frais et dispos. La route fut reprise. Nous suivions un chemin de lave comme la veille. Impossible de reconnaître la nature des terrains qu’il traversait. Le tunnel, au lieu de s’enfoncer dans les entrailles du globe, tendait à devenir absolument horizontal. Je crus remarquer même qu’il remontait vers la surface de la terre. Cette disposition devint si manifeste vers dix heures du matin, et par suite si fatigante, que je fus forcé de modérer notre marche. « Eh bien, Axel ? dit impatiemment le professeur. –Eh bien, je n’en peux plus, répondis-je. –Quoi ! après trois heures de promenade sur une route si facile ! –Facile, je ne dis pas non, mais fatigante à coup sûr. –Comment ! quand nous n’avons qu’à descendre ! –À monter, ne vous en déplaise ! –À monter ! fit mon oncle en haussant les épaules. –Sans doute. Depuis une demi-heure, les pentes se sont modifiées, et à les suivre ainsi, nous reviendrons certainement à la terre d’Islande. » Le professeur remua la tête en homme qui ne veut pas être convaincu. J’essayai de reprendre la conversation. Il ne me répondit pas et donna le signal du départ. Je vis bien que son silence n’était que de la mauvaise humeur concentrée. Cependant j’avais repris mon fardeau avec courage, et je suivais rapidement Hans, que précédait mon oncle. Je tenais à ne pas être distancé ; ma grande préoccupation était de ne point perdre mes compagnons de vue. Je frémissais à la pensée de m’égarer dans les profondeurs de ce labyrinthe. D’ailleurs, la route ascendante devenait plus pénible, je m’en consolais en songeant qu’elle me rapprochait de la surface de la terre. C’était un espoir. Chaque pas le confirmait, et je me réjouissais à cette idée de revoir ma petite Graüben. À midi un changement d’aspect se produisit dans les parois de la galerie. Je m’en aperçus à l’affaiblissement de la lumière électrique réfléchie par les murailles. Au revêtement de lave succédait la roche vive ; le massif se composait de couches inclinées et souvent disposées verticalement. Nous étions en pleine époque de transition, en pleine période silurienne. « C’est évident, m’écriai-je, les sédiments des eaux ont formé, à la seconde époque de la terre, ces schistes, ces calcaires et ces grès ! Nous tournons le dos au massif granitique ! Nous ressemblons à des gens de Hambourg, qui prendraient le chemin de Hanovre pour aller à Lubeck. » J’aurais dû garder pour moi mes observations. Mais mon tempérament de géologue l’emporta sur la prudence, et l’oncle Lidenbrock entendit mes exclamations. « Qu’as-tu donc ? dit-il. –Voyez ! répondis-je en lui montrant la succession variée des grès, des calcaires et les premiers indices des terrains ardoisés. –Eh bien ? –Nous voici arrivés à cette période pendant laquelle ont apparu les premières plantes et les premiers animaux ! –Ah ! tu penses ? –Mais regardez, examinez, observez ! » Je forçai le professeur à promener sa lampe sur les parois de la galerie. Je m’attendais à quelque exclamation de sa part. Mais, loin de là, il ne dit pas un mot, et continua sa route. M’avait-il compris ou non ? Ne voulait-il pas convenir, par amour-propre d’oncle et de savant, qu’il s’était trompé en choisissant le tunnel de l’est, ou tenait-il à reconnaître ce passage jusqu’à son extrémité ? Il était évident que nous avions quitté la route des laves, et que ce chemin ne pouvait conduire au foyer du Sneffels. Cependant je me demandai si je n’accordais pas une trop grande importance à cette modification des terrains. Ne me trompais-je pas moimême ? Traversions-nous réellement ces couches de roches superposées au massif granitique ? « Si j’ai raison, pensai-je, je dois trouver quelque débris de plante primitive, et il faudra bien me rendre à l’évidence. Cherchons. » Je n’avais pas fait cent pas que des preuves incontestables s’offrirent à mes yeux. Cela devait être, car, à l’époque silurienne, les mers renfermaient plus de quinze cents espèces végétales ou animales. Mes pieds, habitués au sol dur des laves, foulèrent tout à coup une poussière faite de débris de plantes et de coquille. Sur les parois se voyaient distinctement des empreintes de fucus et de lycopodes ; le professeur Lidenbrock ne pouvait s’y tromper ; mais il fermait les yeux, j’imagine, et continuait son chemin d’un pas invariable. C’était de l’entêtement poussé hors de toutes limites. Je n’y tins plus. Je ramassai une coquille parfaitement conservée, qui avait appartenu à un animal à peu près semblable au cloporte actuel ; puis, je rejoignis mon oncle et je lui dis : « Voyez ! –Mais n’en concluez-vous pas ?… –Ce que tu conclus toi-même ? Si. Parfaitement. Nous avons abandonné la couche de granit et la route des laves. Il est possible que je me sois trompé ; mais je ne serai certain de mon erreur qu’au moment où j’aurai atteint l’extrémité de cette galerie. –Vous avez raison d’agir ainsi, mon oncle, et je vous approuverais fort si nous n’avions à craindre un danger de plus en plus menaçant. –Et lequel ? –Le manque d’eau. –Eh bien ! nous nous rationnerons, Axel.
La Chine a lancé mardi son vaisseau Shenzhou X ("vaisseau divin"), avec un équipage de trois taïkonautes dont une femme, selon des images diffusées par la télévision d'Etat CCTV. La fusée Longue Marche transportant le vaisseau a décollé dans un nuage de poussière à 17h38 (11h38 en France) du désert de Gobi, sous les yeux du président Xi Jinping venu assister cet événement important de l'ambitieux programme spatial de la Chine. Une dizaine de minutes plus tard, le vaisseau se plaçait correctement sur son orbite et déployait avec succès les panneaux solaires qui doivent fournir l'énergie nécessaire aux taïkonautes pendant les prochains jours. L'objectif de la mission est de s'arrimer au module orbital chinois Tiangong-1 comme l'avaient déjà fait en 2012 les trois passagers de la mission Shenzhou 9. C'était alors la première fois que la Chine réussissait cette manœuvre complexe, une étape-clé de son programme spatial. Les trois spationautes chinois devraient passer 12 jours à bord de la station et expérimenter différentes manoœuvres d'arrimage.
Manifestants et forces de l'ordre se font toujours face en Turquie. Deux personnes ont trouvé la mort depuis le début de ce mouvement de révolte, né il y a 5 jours à Istanbul. Qui sont ces hommes qui s'opposent au gouvernement islamiste ? Quelles sont leurs aspirations ?
L'application quasi-quotidienne d'une protection anti-UV protège la peau de l'apparition des rides et des taches, ont prouvé des chercheurs australiens. L'écran solaire, crème de jouvence? C'est ce que suggère une étude australienne parue dans Annals of Internal Medicine. Les auteurs montrent que l'utilisation quasi quotidienne de crème solaire tout au long de l'année ralentit le vieillissement cutané. Il pourrait s'agir du coup de pub d'un fabricant mais cette étude a été financée par le Conseil australien de la santé et de la recherche médicale et a réuni plus de 900 personnes de moins de 55 ans pendant quatre ans et demi. Les chercheurs ont demandé à la moitié d'entre elles de mettre de la crème solaire SPF 15+ chaque matin et de renouveler l'application en cas de baignade et à l'autre moitié de poursuivre leur utilisation occasionnelle habituelle. Ils ont par ailleurs analysé la peau du dos de la main et du cou de chaque participant au début et à la fin de l'étude. Ils constatent que l'utilisation quasi-quotidienne de crème solaire réduit d'un quart les signes de vieillissement cutané par rapport à un usage occasionnel. «La différence est nette entre les deux groupes, témoigne le Pr Adèle Green. Les utilisateurs très réguliers ont une peau plus élastique, moins sèche, moins marquée et moins pigmentée que les personnes qui ne se protègent pas ou peu et ce, quelque soit leur âge».  «Ces résultats ne sont pas surprenants puisque les produits solaires font écran contre les ultraviolets (UV) qui accélèrent le vieillissement cutané. En l'absence de protection, ils altèrent des composants cellulaires et émettent des composés réactifs, toxiques pour le collagène et les fibres élastiques», explique le Pr Christophe Bedane. À ce titre, toute exposition courte ou longue à la lumière du jour et donc aux ultraviolets accroît le vieillissement cutané. Pour limiter ce processus, l'usage quotidien de crème solaire pourrait donc en effet faire partie de recommandations courantes. «Cela dit, de très nombreuses femmes font déjà quotidiennement ce geste sans même le savoir puisque presque toutes les crèmes anti-âge et de nombreuses crèmes de jour contiennent aujourd'hui des photo-protecteurs.
Le lendemain, mardi 30 juin, à six heures, la descente fut reprise. Nous suivions toujours la galerie de lave, véritable rampe naturelle, douce comme ces plans inclinés qui remplacent encore l’escalier dans les vieilles maisons. Ce fut ainsi jusqu’à midi dixsept minutes, instant précis où nous rejoignîmes Hans, qui venait de s’arrêter. « Ah ! s’écria mon oncle, nous sommes parvenus à l’extrémité de la cheminée. » Je regardai autour de moi ; nous étions au centre d’un carrefour, auquel deux routes venaient aboutir, toutes deux sombres et étroites. Laquelle convenait-il de prendre ? Il y avait là une difficulté. Cependant mon oncle ne voulut paraître hésiter ni devant moi ni devant le guide ; il désigna le tunnel de l’est, et bientôt nous y étions enfoncés tous les trois. D’ailleurs toute hésitation devant ce double chemin se serait prolongée indéfiniment, car nul indice ne pouvait déterminer le choix de l’un ou de l’autre ; il fallait s’en remettre absolument au hasard. La pente de cette nouvelle galerie était peu sensible, et sa section fort inégale. Parfois une succession d’arceaux se déroulait devant nos pas comme les contre-nefs d’une cathédrale gothique. Les artistes du Moyen Âge auraient pu étudier là toutes les formes de cette architecture religieuse qui a l’ogive pour générateur. Un mille plus loin, notre tête se courbait sous les cintres surbaissés du style roman, et de gros piliers engagés dans le massif pliaient sous la retombée des voûtes. À de certains endroits, cette disposition faisait place à de basses substructions qui ressemblaient aux ouvrages des castors, et nous nous glissions en rampant à travers d’étroits boyaux. La chaleur se maintenait à un degré supportable. Involontairement je songeais à son intensité, quand les laves vomies par le Sneffels se précipitaient par cette route si tranquille aujourd’hui. Je m’imaginais les torrents de feu brisés aux angles de la galerie et l’accumulation des vapeurs surchauffées dans cet étroit milieu ! « Pourvu, pensai-je, que le vieux volcan ne vienne pas à se reprendre d’une fantaisie tardive ! » Ces réflexions, je ne les communiquai point à l’oncle Lidenbrock ; il ne les eût pas comprises. Son unique pensée était d’aller en avant. Il marchait, il glissait, il dégringolait même, avec une conviction qu’après tout il valait mieux admirer. À six heures du soir, après une promenade peu fatigante, nous avions gagné deux lieues dans le sud, mais à peine un quart de mille en profondeur. Mon oncle donna le signal du repos. On mangea sans trop causer, et l’on s’endormit sans trop réfléchir. Nos dispositions pour la nuit étaient fort simples : une couverture de voyage dans laquelle on se roulait, composait toute la literie. Nous n’avions à redouter ni froid, ni visite importune.Les voyageurs qui s’enfoncent au milieu des déserts de l’Afrique, au sein des forêts du nouveau monde, sont forcés de se veiller les uns les autres pendant les heures du sommeil. Mais ici, solitude absolue et sécurité complète. Sauvages ou bêtes féroces, aucune de ces races malfaisantes n’était à craindre.
Aperçu La fête des bateaux-dragons ou fête du Double Cinq est une fête chinoise marquant l'entrée dans les chaleurs de l'été et la saison des épidémies. Elle a lieu le cinquième jour du cinquième mois lunaire. « Le festival des Bateaux-Dragons » a été inscrit en 2009 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le robot Opportunity vient de finir l'analyse d'une roche et révélé ainsi que de l'eau avait coulé en abondance sur la Planète Rouge. Près de 10 ans après son lancement vers Mars, le robot Opportunity est "en très bonne santé pour son âge" et fait toujours des découvertes importantes, comme celle, toute récente, de traces d'une eau propice au développement de la vie, s'est félicité vendredi la Nasa. Le véhicule fonctionnant à l'énergie solaire vient de finir l'analyse de ce qui est sans doute la plus vieille roche qu'il ait jamais étudiée, baptisée Esperance 6, et qui a révélé qu'une eau propice au développement de la vie avait coulé en abondance sur la Planète Rouge, laissant derrière elle des minéraux argileux. Cette découverte est "l'une des plus importantes" réalisées au cours de la mission d'Opportunity parce qu'elle met en lumière des éléments chimiques très différents de ceux qui avaient jusqu'à maintenant été trouvés dans des traces d'eau sur Mars, une planète aujourd'hui très sèche, a pointé Steve Squyres, de l'université Cornell, un des responsables du programme. Les roches les plus anciennes, comme Esperance 6, ont un pH neutre, signe que l'eau aux premiers temps de l'histoire de Mars "était bien plus propice, dans ses éléments chimiques, son pH, son niveau d'acidité, au développement d'éléments chimiques pouvant aboutir à la naissance d'une forme de vie", a expliqué Steve Squyres. Opportunity a été rejoint en août 2012 sur Mars par le robot Curiosity, pour une mission d'exploration prévue pour durer deux ans.
On aurait pu se dire tout ça Ailleurs qu'au café d'en bas, Que t'allais peut-être partir Et peut-être même pas revenir, Mais en tout cas, ce qui est sûr , C'est qu'on pouvait en rire. Alors on va se quitter comme ça, Comme des cons devant le café d'en bas. Comme dans une serie B, On est tous les deux mauvais. On s'est moqué tellement de fois Des gens qui faisaient ça. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires. J' sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime. Je voulais quand même te dire merci Pour tout le mal qu'on s'est pas dit. Certains rigolent déjà. Je m'en fous, je les aimais pas. On avait l'air trop bien. Y en a qui ne supportent pas. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui me viennent sont dérisoires. Je sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime
Expression: Au cas où Pronunciation: [o ka oo] Meaning: just in case Literal translation: in the case where Notes: The French expression au cas où is exactly equivalent to "(just) in case" in English. You can use it in front of a subject plus verb in the conditional, in which case its register is normal to formal. The more interesting - and informal - usage is when it's tacked on to the end of a sentence. Examples 1.Au cas où il rentrerait avant nous, je vais lui laisser un mot. (Just) in case he gets home before us, I'm going to leave him a note. 2. Apporte un parapluie, au cas où il pleuvrait. Bring an umbrella, (just) in case it rains. 3.Apporte un blouson, au cas où. Bring a jacket, just in case. Synonymous expressions
Selon des médias hongkongais, Victoria Beckham aurait sympathisé avec Kate Middleton lors de sa grossesse. La femme de David Beckham et mère de quatre enfants aurait alors partagé au téléphone quelques « secrets » de maternité avec la duchesse. Mais Victoria voyait même plus loin puisqu'elle espère que sa fille de deux ans, Harper Seven Beckham, deviendra la partenaire de jeu du prince George. Sachant que la duchesse sortira peu de chez elle après sa grossesse, Victoria aurait proposé d'emmener elle-même la petite Harper rendre visite au petit prince.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance. Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
La vie de Nelson Mandela est racontée en archives et en photo dans une exposition parisienne. 30.00 personnes l'ont déjà visitée en un mois.
Pourquoi le moustique nous pique-t-il ? Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques…). L'eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant.
Après la sortie du patron de Titan sur la paresse des salariés français, les Suisses les jugent à leur tour «arrogants» et «revendicateurs». Les entreprises helvètes trouvent des moyens d'éviter d'embaucher des Français. En février dernier, Maurice Taylor, le président du groupe américain Titan dénonçait la paresse des ouvriers français: «Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France», dénonçait-il, provoquant de vives réactions dans l'Hexagone… C'est désormais au tour des employeurs suisses de s'attaquer aux travailleurs français. Le journal helvétique Le Matin dimanche relève que la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi. Et ce, afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français. Le quotidien explique alors que les Français sont en effet considérés comme «paresseux» et «arrogants». Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Expression: Donner sa langue au chat Pronunciation: [duh nay sa la(n) go sha] Meaning: To give up, stop guessing Literal translation: To give one's tongue to the cat Notes: The French expression donner sa langue au chat is used to indicate that you don't know the answer - you can't think of anything else and have no idea what it is that another person is trying to make you guess. Example  - Tu ne devineras jamais qui va venir nous voir !    - Paul ?    - Non !    - David ?    - Non !    - Alors, je donne ma langue au chat.    - You'll never guess who's coming to visit!    - Paul?    - No!    - David    - No!    - OK, I give up.
Le Grand Bleu des années 80 a toujours autant la cote. Les cours d'apnée sont pris d'assaut pendant les vacances, notamment par les enfants. Une école leur est entièrement dédiée à Monaco.
Leur quotidien est fait de planques, de flagrant délit et de patrouilles en voiture banalisée. Les Brigades Anti-Criminalité sont en première ligne dans la lutte contre la délinquance. Une équipe de TF1 les a suivi à Lyon, de jour comme de nuit.
La lave, à la dernière éruption de 1229, s’était frayé un passage à travers ce tunnel. Elle tapissait l’intérieur d’un enduit épais et brillant ; la lumière électrique s’y réfléchissait en centuplant son intensité. Toute la difficulté de la route consistait à ne pas glisser trop rapidement sur une pente inclinée à quarante-cinq degrés environ ; heureusement, certaines érosions, quelques boursouflures tenaient lieu de marches, et nous n’avions qu’à descendre en laissant filer nos bagages retenus par une longue corde. Mais ce qui se faisait marche sous nos pieds devenait stalactites sur les autres parois ; la lave, poreuse en de certains endroits, présentait de petites ampoules arrondies ; des cristaux de quartz opaque, ornés de limpides gouttes de verre et suspendus à la voûte comme des lustres, semblaient s’allumer à notre passage. On eût dit que les génies du gouffre illuminaient leur palais pour recevoir les hôtes de la terre. « C’est magnifique ! m’écriai-je involontairement. Quel spectacle, mon oncle ! Admirez-vous ces nuances de la lave qui vont du rouge brun au jaune éclatant par dégradations insensibles ? Et ces cristaux qui nous apparaissent comme des globes lumineux ? –Ah ! tu y viens, Axel ! répondit mon oncle. Ah ! tu trouves cela splendide, mon garçon ! Tu en verras bien d’autres, je l’espère. Marchons ! marchons ! » Il aurait dit plus justement « glissons », car nous nous laissions aller sans fatigue sur des pentes inclinées. C’était le facilis descensus Averni de Virgile. La boussole, que je consultais fréquemment, indiquait la direction du sud-est avec une imperturbable rigueur. Cette coulée de lave n’obliquait ni d’un côté ni de l’autre. Ella avait l’inflexibilité de la ligne droite. Cependant la chaleur n’augmentait pas d’une façon sensible ; cela donnait raison aux théories de Davy, et plus d’une fois je consultai le thermomètre avec étonnement. Deux heures après le départ, il ne marquait encore que 10°, c’est-à-dire un accroissement de 4°. Cela m’autorisait à penser que notre descente était plus horizontale que verticale. Quant à connaître exactement la profondeur atteinte, rien de plus facile. Le professeur mesurait exactement les angles de déviation et d’inclinaison de la route, mais il gardait pour lui le résultat de ses observations. Le soir, vers huit heures, il donna le signal d’arrêt. Hans aussitôt s’assit ; les lampes furent accrochées à une saillie de lave. Nous étions dans une sorte de caverne où l’air ne manquait pas. Au contraire. Certains souffles arrivaient jusqu’à nous. Quelle cause les produisait ? À quelle agitation atmosphérique attribuer leur origine ? C’est une question que je ne cherchai pas à résoudre en ce moment ; la faim et la fatigue me rendaient incapable de raisonner. Une descente de sept heures consécutives ne se fait pas sans une grande dépense de forces. J’étais épuisé. Le mot halte me fit donc plaisir à entendre. Hans étala quelques provisions sur un bloc de lave, et chacun mangea avec appétit. Cependant une chose m’inquiétait ; notre réserve d’eau était à demi consommée. Mon oncle comptait la refaire aux sources souterraines, mais jusqu’alors celles-ci manquaient absolument. Je ne pus m’empêcher d’attirer son attention sur ce sujet. « Cette absence de sources te surprend ? dit-il. –Sans doute, et même elle m’inquiète. Nous n’avons plus d’eau que pour cinq jours. –Sois tranquille, Axel, je te réponds que nous trouverons de l’eau, et plus que nous n’en voudrons. –Quand cela ? –Quand nous aurons quitté cette enveloppe de lave. Comment veux-tu que des sources jaillissent à travers ces parois ? –Mais peut-être cette coulée se prolonge-t-elle à de grandes profondeurs ? Il me semble que nous n’avons pas encore fait beaucoup de chemin verticalement ? –Qui te fait supposer cela ? –C’est que si nous étions très avancés dans l’intérieur de l’écorce terrestre, la chaleur serait plus forte. –D’après ton système, répondit mon oncle. Qu’indique le thermomètre ? –Quinze degrés à peine, ce qui ne fait qu’un accroissement de neuf degrés depuis notre départ. –Eh bien, conclus. –Voici ma conclusion. D’après les observations les plus exactes, l’augmentation de la température à l’intérieur du globe est d’un degré par cent pieds. Mais certaines conditions de localité peuvent modifier ce chiffre. Ainsi, à Yakoust en Sibérie, on a remarqué que l’accroissement d’un degré avait lieu par trente-six pieds. Cette différence dépend évidemment de la conductibilité des roches. J’ajouterai aussi que, dans le voisinage d’un volcan éteint, et à travers le gneiss, on a remarqué que l’élévation de la température était d’un degré seulement pour cent vingt-cinq pieds. Prenons donc cette dernière hypothèse, qui est la plus favorable, et calculons. –Calcule, mon garçon. –Rien n’est plus facile, dis-je en disposant des chiffres sur mon carnet. Neuf fois cent vingt-cinq pieds donnant onze cent vingt-cinq pieds de profondeur. –Rien de plus exact. –Eh bien ? –Eh bien, d’après mes observations, nous sommes arrivés à dix mille pieds au-dessous du niveau de la mer. –Est-il possible ? –Oui, ou les chiffres ne sont plus les chiffres ! » Les calculs du professeur étaient exacts ; nous avions déjà dépassé de six mille pieds les plus grandes profondeurs atteintes par l’homme, telles que les mines de Kitz-Bahl dans le Tyrol, et celles de Wuttemberg en Bohème. La température, qui aurait dû être de quatre-vingt-un degrés en cet endroit, était de quinze à peine. Cela donnait singulièrement à réfléchir.
Radio-Canada devient ICI: Les noms de toutes les chaines et plateformes seront baptisée ICI-Première, pour la première chaine radio, ICI RDI pour le Réseau de l'Information.
Leur quotidien est fait de planques, de flagrant délit et de patrouilles en voiture banalisée. Les Brigades Anti-Criminalité sont en première ligne dans la lutte contre la délinquance. Une équipe de TF1 les a suivi à Lyon, de jour comme de nuit.
La lave, à la dernière éruption de 1229, s’était frayé un passage à travers ce tunnel. Elle tapissait l’intérieur d’un enduit épais et brillant ; la lumière électrique s’y réfléchissait en centuplant son intensité. Toute la difficulté de la route consistait à ne pas glisser trop rapidement sur une pente inclinée à quarante-cinq degrés environ ; heureusement, certaines érosions, quelques boursouflures tenaient lieu de marches, et nous n’avions qu’à descendre en laissant filer nos bagages retenus par une longue corde. Mais ce qui se faisait marche sous nos pieds devenait stalactites sur les autres parois ; la lave, poreuse en de certains endroits, présentait de petites ampoules arrondies ; des cristaux de quartz opaque, ornés de limpides gouttes de verre et suspendus à la voûte comme des lustres, semblaient s’allumer à notre passage. On eût dit que les génies du gouffre illuminaient leur palais pour recevoir les hôtes de la terre. « C’est magnifique ! m’écriai-je involontairement. Quel spectacle, mon oncle ! Admirez-vous ces nuances de la lave qui vont du rouge brun au jaune éclatant par dégradations insensibles ? Et ces cristaux qui nous apparaissent comme des globes lumineux ? –Ah ! tu y viens, Axel ! répondit mon oncle. Ah ! tu trouves cela splendide, mon garçon ! Tu en verras bien d’autres, je l’espère. Marchons ! marchons ! » Il aurait dit plus justement « glissons », car nous nous laissions aller sans fatigue sur des pentes inclinées. C’était le facilis descensus Averni de Virgile. La boussole, que je consultais fréquemment, indiquait la direction du sud-est avec une imperturbable rigueur. Cette coulée de lave n’obliquait ni d’un côté ni de l’autre. Ella avait l’inflexibilité de la ligne droite. Cependant la chaleur n’augmentait pas d’une façon sensible ; cela donnait raison aux théories de Davy, et plus d’une fois je consultai le thermomètre avec étonnement. Deux heures après le départ, il ne marquait encore que 10°, c’est-à-dire un accroissement de 4°. Cela m’autorisait à penser que notre descente était plus horizontale que verticale. Quant à connaître exactement la profondeur atteinte, rien de plus facile. Le professeur mesurait exactement les angles de déviation et d’inclinaison de la route, mais il gardait pour lui le résultat de ses observations. Le soir, vers huit heures, il donna le signal d’arrêt. Hans aussitôt s’assit ; les lampes furent accrochées à une saillie de lave. Nous étions dans une sorte de caverne où l’air ne manquait pas. Au contraire. Certains souffles arrivaient jusqu’à nous. Quelle cause les produisait ? À quelle agitation atmosphérique attribuer leur origine ? C’est une question que je ne cherchai pas à résoudre en ce moment ; la faim et la fatigue me rendaient incapable de raisonner. Une descente de sept heures consécutives ne se fait pas sans une grande dépense de forces. J’étais épuisé. Le mot halte me fit donc plaisir à entendre. Hans étala quelques provisions sur un bloc de lave, et chacun mangea avec appétit. Cependant une chose m’inquiétait ; notre réserve d’eau était à demi consommée. Mon oncle comptait la refaire aux sources souterraines, mais jusqu’alors celles-ci manquaient absolument. Je ne pus m’empêcher d’attirer son attention sur ce sujet. « Cette absence de sources te surprend ? dit-il. –Sans doute, et même elle m’inquiète. Nous n’avons plus d’eau que pour cinq jours. –Sois tranquille, Axel, je te réponds que nous trouverons de l’eau, et plus que nous n’en voudrons. –Quand cela ? –Quand nous aurons quitté cette enveloppe de lave. Comment veux-tu que des sources jaillissent à travers ces parois ? –Mais peut-être cette coulée se prolonge-t-elle à de grandes profondeurs ? Il me semble que nous n’avons pas encore fait beaucoup de chemin verticalement ? –Qui te fait supposer cela ? –C’est que si nous étions très avancés dans l’intérieur de l’écorce terrestre, la chaleur serait plus forte. –D’après ton système, répondit mon oncle. Qu’indique le thermomètre ? –Quinze degrés à peine, ce qui ne fait qu’un accroissement de neuf degrés depuis notre départ. –Eh bien, conclus. –Voici ma conclusion. D’après les observations les plus exactes, l’augmentation de la température à l’intérieur du globe est d’un degré par cent pieds. Mais certaines conditions de localité peuvent modifier ce chiffre. Ainsi, à Yakoust en Sibérie, on a remarqué que l’accroissement d’un degré avait lieu par trente-six pieds. Cette différence dépend évidemment de la conductibilité des roches. J’ajouterai aussi que, dans le voisinage d’un volcan éteint, et à travers le gneiss, on a remarqué que l’élévation de la température était d’un degré seulement pour cent vingt-cinq pieds. Prenons donc cette dernière hypothèse, qui est la plus favorable, et calculons. –Calcule, mon garçon. –Rien n’est plus facile, dis-je en disposant des chiffres sur mon carnet. Neuf fois cent vingt-cinq pieds donnant onze cent vingt-cinq pieds de profondeur. –Rien de plus exact. –Eh bien ? –Eh bien, d’après mes observations, nous sommes arrivés à dix mille pieds au-dessous du niveau de la mer. –Est-il possible ? –Oui, ou les chiffres ne sont plus les chiffres ! » Les calculs du professeur étaient exacts ; nous avions déjà dépassé de six mille pieds les plus grandes profondeurs atteintes par l’homme, telles que les mines de Kitz-Bahl dans le Tyrol, et celles de Wuttemberg en Bohème. La température, qui aurait dû être de quatre-vingt-un degrés en cet endroit, était de quinze à peine. Cela donnait singulièrement à réfléchir.
Radio-Canada devient ICI: Les noms de toutes les chaines et plateformes seront baptisée ICI-Première, pour la première chaine radio, ICI RDI pour le Réseau de l'Information.
Réponse souhaitée avant le 14 juillet. Please respond by 14 July. Réponse souhaitée à 01.23.45.67.89. Please respond by calling 01.23.45.67.89. Réponse souhaitée par mail. Please respond by email.
François Hollande et Jean-Marc Ayrault se réunissaient dimanche pour discuter de la réforme des allocations familiales. L'annonce doit être faite lundi devant le haut-conseil de la famille. Deux pistes sont à l'étude : des allocations modulées en fonction du revenu ou l'abaissement du plafond du quotient familial.
L'actrice américaine a décidé d'attaquer en justice l'éditeur de Grégoire Delacourt, qui met en scène un personnage, sosie de la star, dans son roman «La Première chose qu'on regarde». L'actrice demande au tribunal de condamner Lattès «à réparer le préjudice causé par la violation et l'exploitation frauduleuse des droits de la personnalité» de Scarlett Johansson, 28 ans, et réclame en substance que l'éditeur soit condamné à des dommages et intérêts, explique l'éditeur. Dans ce roman, sorti en mars et en tête des ventes, l'auteur fait se rencontrer dans un trou paumé de la Somme un garagiste «qui ressemble à Ryan Gosling, en mieux» et une mannequin vedette pour une marque de robe de mariées, «sosie parfaite de Scarlett Johansson»... L'actrice américaine demande également au tribunal d'interdire aux éditions JC Lattès «la cession de droits et d'adaptation de l'ouvrage». De son côté, L'auteur aurait rêvé de voir le personnage du roman incarné par l'actrice américaine. l'auteur est plutôt surpris par la décision de l'actrice: «On reste sans voix! Je m'attendais plutôt à ce qu'elle me donne rendez-vous pour prendre un café», a-t’il ironisé sur RTL.
La fraude a toujours existé mais les progrès technologiques ont ouvert la voie à de nouvelles méthodes avec les smartphones, les tablettes, l'oreillette intra-auriculaire ou les lunettes équipées d'une caméra. Au bac 2012, le nombre de suspicions de fraude a reculé, mais le nombre des sanctions a augmenté par rapport à l'année précédente : 419 suspicions de fraude ont été recensées (soit 0,06 % des candidats) et 298 sanctions ont été prises (soit 0,04 % des candidats). L'utilisation frauduleuse de téléphones portables a représenté près de 40 % des fraudes détectées. Le ministre de l'éducation nationale Vincent Peillon a présenté, jeudi 6 juin, un nouveau dispositif de sanctions renforcées contre la fraude au baccalauréat, dix jours avant le début de l'examen. Son projet de décret, qui entrera en vigueur le 12 juin, doit renforcer le dispositif mis en place à la session 2012 par son prédécesseur Luc Chatel. Toute sanction sera désormais portée au livret scolaire, s'il existe, et sera effacée au bout d'un an ou plus, en fonction de la sanction prononcée. En outre, dans l'hypothèse où la fraude ou la tentative de fraude serait découverte après la délivrance du bac, le diplôme pourra être retiré et un jury devra délibérer une nouvelle fois. En visite au lycée Evariste-Galois de Noisy-le-Grand, M. Peillon a encouragé les élèves ne pas avoir "peur de cet examen. Ne commettez pas des actes délictueux. Souvent, les jeunes qui ont été pris en infraction ne savaient pas que ça pouvait les empêcher de passer à nouveau les examens pendant cinq ans".
À huit heures du matin, un rayon du jour vint nous réveiller. Les mille facettes de lave des parois le recueillaient à son passage et l’éparpillaient comme une pluie d’étincelles. Cette lueur était assez forte pour permettre de distinguer les objets environnants. « Eh bien ! Axel, qu’en dis-tu ? s’écria mon oncle en se frottant les mains. As-tu jamais passé une nuit plus paisible dans notre maison de Königstrasse ? Plus de bruit de charrettes, plus de cris de marchands, plus de vociférations de bateliers ! –Sans doute, nous sommes fort tranquilles au fond de ce puits, mais ce calme même a quelque chose d’effrayant. –Allons donc, s’écria mon oncle, si tu t’effrayes déjà, que sera-ce plus tard ? Nous ne sommes pas encore entrés d’un pouce dans les entrailles de la terre ? –Que voulez-vous dire ? –Je veux dire que nous avons atteint seulement le sol de l’île ! Ce long tube vertical, qui aboutit au cratère du Sneffels, s’arrête à peu près au niveau de la mer. –En êtes-vous certain ? –Très certain. Consulte le baromètre. » En effet, le mercure, après avoir peu à peu remonté dans l’instrument à mesure que notre descente s’effectuait, s’était arrêté à vingt-neuf pouces. « Tu le vois, reprit le professeur, nous n’avons encore que la pression d’une atmosphère, et il me tarde que le manomètre vienne remplacer ce baromètre. » Cet instrument allait, en effet, nous devenir inutile, du moment que le poids de l’air dépasserait sa pression calculée au niveau de l’Océan.  « Mais, dis-je, n’est-il pas à craindre que cette pression toujours croissante ne soit fort pénible ? –Non. Nous descendrons lentement, et nos poumons s’habitueront à respirer une atmosphère plus comprimée. Les aéronautes finissent par manquer d’air en s’élevant dans les couches supérieures ; nous, nous en aurons trop peut-être. Mais j’aime mieux cela. Ne perdons pas un instant. Où est le paquet qui nous a précédés dans l’intérieur de la montagne ? » Je me souvins alors que nous l’avions vainement cherché la veille au soir. Mon oncle interrogea Hans, qui, après avoir regardé attentivement avec ses yeux de chasseur, répondit : « Der huppe ! –Là-haut. » En effet, ce paquet était accroché à une saillie de roc, à une centaine de pieds au-dessus de notre tête. Aussitôt l’agile Islandais grimpa comme un chat et, en quelques minutes, le paquet nous rejoignit. « Maintenant, dit mon oncle, déjeunons ; mais déjeunons comme des gens qui peuvent avoir une longue course à faire. » Le biscuit et la viande sèche furent arrosés de quelques gorgées d’eau mêlée de genièvre. Le déjeuner terminé, mon oncle tira de sa poche un carnet destiné aux observations ; il prit successivement ses divers instruments et nota les données suivantes : Chronomètre : 8 h. 17 m. du matin. Baromètre : 29 p. 7 l. Thermomètre : 6°. Direction : E.-S.-E. Cette dernière observation s’appliquait à la galerie obscure et fut donnée par la boussole. « Maintenant, Axel, s’écria le professeur d’une voix enthousiaste, nous allons nous enfoncer véritablement dans les entrailles du globe. Voici donc le moment précis auquel notre voyage commence. » Cela dit, mon oncle prit d’une main l’appareil de Ruhmkorff suspendu à son cou ; de l’autre, il mit en communication le courant électrique avec le serpentin de la lanterne, et une assez vive lumière dissipa les ténèbres de la galerie. Hans portait le second appareil, qui fut également mis en activité. Cette ingénieuse application de l’électricité nous permettait d’aller longtemps en créant un jour artificiel, même au milieu des gaz les plus inflammables. « En route ! » fit mon oncle. Chacun reprit son ballot. Hans se chargea de pousser devant lui le paquet des cordages et des habits, et, moi troisième, nous entrâmes dans la galerie. Au moment de m’engouffrer dans ce couloir obscur, je relevai la tête, et j’aperçus une dernière fois, par le champ de l’immense tube, ce ciel de l’Islande « que je ne devais plus jamais revoir. »
Le BAC chinois. Pour les Canadiens, c'est une source de stress. Pour les Chinois, l'examen de fin du secondaire peut déterminer un destin : université, carrière et même mariage.
A Enghien-les-Bains, 23 lycées ont choisi de passer le baccalauréat français et allemand. Depuis la seconde, ils ont chaque semaine dix heures de cours en plus que leurs camarades pour tout savoir sur la littérature et l'histoire allemande.
On aurait pu se dire tout ça Ailleurs qu'au café d'en bas, Que t'allais peut-être partir Et peut-être même pas revenir, Mais en tout cas, ce qui est sûr , C'est qu'on pouvait en rire. Alors on va se quitter comme ça, Comme des cons devant le café d'en bas. Comme dans une serie B, On est tous les deux mauvais. On s'est moqué tellement de fois Des gens qui faisaient ça. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires. J' sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime. Je voulais quand même te dire merci Pour tout le mal qu'on s'est pas dit. Certains rigolent déjà. Je m'en fous, je les aimais pas. On avait l'air trop bien. Y en a qui ne supportent pas. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui me viennent sont dérisoires. Je sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime
Expression: Au cas où Pronunciation: [o ka oo] Meaning: just in case Literal translation: in the case where Notes: The French expression au cas où is exactly equivalent to "(just) in case" in English. You can use it in front of a subject plus verb in the conditional, in which case its register is normal to formal. The more interesting - and informal - usage is when it's tacked on to the end of a sentence. Examples 1.Au cas où il rentrerait avant nous, je vais lui laisser un mot. (Just) in case he gets home before us, I'm going to leave him a note. 2. Apporte un parapluie, au cas où il pleuvrait. Bring an umbrella, (just) in case it rains. 3.Apporte un blouson, au cas où. Bring a jacket, just in case. Synonymous expressions
Selon des médias hongkongais, Victoria Beckham aurait sympathisé avec Kate Middleton lors de sa grossesse. La femme de David Beckham et mère de quatre enfants aurait alors partagé au téléphone quelques « secrets » de maternité avec la duchesse. Mais Victoria voyait même plus loin puisqu'elle espère que sa fille de deux ans, Harper Seven Beckham, deviendra la partenaire de jeu du prince George. Sachant que la duchesse sortira peu de chez elle après sa grossesse, Victoria aurait proposé d'emmener elle-même la petite Harper rendre visite au petit prince.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance. Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
La vie de Nelson Mandela est racontée en archives et en photo dans une exposition parisienne. 30.00 personnes l'ont déjà visitée en un mois.
Après la sortie du patron de Titan sur la paresse des salariés français, les Suisses les jugent à leur tour «arrogants» et «revendicateurs». Les entreprises helvètes trouvent des moyens d'éviter d'embaucher des Français. En février dernier, Maurice Taylor, le président du groupe américain Titan dénonçait la paresse des ouvriers français: «Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France», dénonçait-il, provoquant de vives réactions dans l'Hexagone… C'est désormais au tour des employeurs suisses de s'attaquer aux travailleurs français. Le journal helvétique Le Matin dimanche relève que la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi. Et ce, afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français. Le quotidien explique alors que les Français sont en effet considérés comme «paresseux» et «arrogants». Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat.
Pourquoi le moustique nous pique-t-il ? Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques…). L'eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant.
Acheter du vin des autres provinces:L'industrie viticole au pays se développe certains vins gagnent des prix à l'étranger. Mais il est difficile pour les Canadiens d'acheter ou de commander du vin d'autres provinces.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Patrick Bruel est un chanteur et acteur français, né le 14 mai 1959 à Tlemcen (alors Algérie française). Né, selon les sources, Patrick, Patrick Maurice, ou Maurice Benguigui, il a obtenu par décret, en 2003, le droit de changer son nom en Patrick Bruel Benguigui. Discographie de Patrick Bruel
Le magazine américain Forbes a publié le classement des sportifs les mieux payés au monde. Chez les footballeurs, David Beckham est en tête. Le golfeur américain Tiger Woods est redevenu le sportif le plus payé du monde, selon la liste 2013 du magazine américain Forbes. Avec 78,1 millions de dollars (59,7 millions d'euros) de revenus en 2012 incluant primes et contrats publicitaires, Tiger Woods repasse devant le boxeur américain Floyd Mayweather, qui l'avait détrôné l'an dernier alors que le golfeur de 37 ans dominait le classement sans interruption depuis 2001. Tiger Woods est talonné par le Suisse Roger Federer, vainqueur de 17 tournois du Grand Chelem en tennis, et 2e cette année avec des revenus passés en un an de 52,7 millions de dollars (39,7 millions d'euros) à 71,5 millions (53,9 millions d'euros). Le 3e est le basketteur des Los Angeles Lakers Kobe Bryant (61,9 millions de dollars), le plus haut salaire de la NBA depuis trois ans, suivi en 4e place par un autre joueur de NBA : LeBron James, la vedette de Miami, qui a gagné 59,8 millions de dollars (45,1 millions d'euros). Comme l'an dernier, le footballeur le plus riche du monde reste le Britannique David Beckham, 8e avec des revenus estimés à 47,2 millions de dollars. Seules trois femmes, toutes des joueuses de tennis, font partie de ce classement. La première est Maria Sharapova, 26 ans, à la 22e place : elle a gagné 29 millions de dollars en 2012. Les deux autres sont Serena Williams et la Chinoise Li Na, 85e avec 18,2 millions.
Les manifestations confirment la cassure profonde entre les modernistes laïques et les islamo-conservateurs. Une intégration dans l'UE relève de la chimère. Les manifestations de la place Taksim à Istanbul en Turquie et leur brutale répression apportent de précieux enseignements. Premier enseignement : une partie de la population turque supporte de plus en plus mal la dérive autoritaire du Premier ministreRecep Tayyip Erdogan. Celui-ci n'admet plus la moindre contestation, comme le démontrent la mise sous contrôle des médias, la condamnation de nombreux journalistes. Deuxième enseignement : l'héritage de Kemal Atatürk, le bâtisseur de la Turquie moderne, est encore vivace et l'islamisation rampante de la société ne plaît pas à tout le monde. Même si l'armée, principal garant de cette laïcité, a été mise au pas. Après avoir autorisé le voile dans les lieux publics, construit des mosquées à tout-va, Erdogan veut aujourd'hui limiter la consommation d'alcool. Pas du tout pour des raisons religieuses, non, non ! Uniquement par souci de santé publique... Troisième enseignement : si l'islamisation de la Turquie déplaît franchement aux laïcs de tout poil, une majorité des électeurs s'en accommode. Erdogan, dont le parti, l'AKP, a remporté trois élections consécutives, dispose d'une incontestable légitimité démocratique. Beaucoup de Turcs identifient Erdogan au boom économique qu'a connu le pays ces dernières années : la croissance devrait être de 3,4 % en 2013 et de 3,7 % en 2014. Mais les nuages se profilent à l'horizon : l'énorme bulle immobilière pourrait bien éclater. Quatrième enseignement : le fameux "modèle turc", qui devait séduire les révolutionnaires du Printemps arabe, a du plomb dans l'aile. Le vocable "démocrate-musulman" (comme "démocrate-chrétien") est un oxymore. On peut évidemment être bon musulman et bon démocrate, mais les deux notions appartiennent à des champs bien séparés. Cinquième enseignement, enfin : l'intégration de la Turquie dans l'Union européenne est une chimère. Les négociations ouvertes entre Bruxelles et Ankara n'ont probablement pas vocation à aboutir, mais à occuper le terrain diplomatique. Imagine-t-on l'UE devoir un jour gérer les contradictions de la société turque, l'emprise de l'islam, le voisinage de l'Irak, de la Syrie, de l'Iran? Ce serait autre chose que la dette grecque...
Fécondité en hausse au Québec: Le taux de fécondité au Québec a dépassé celui du Canada. Par contre, le poids démographique de la province continue son déclin.
Lorsqu’une de ces marches glissantes venait à s’ébranler sous le pas de Hans, il disait de sa voix tranquille : –Attention ! » répétait mon oncle. Après une demi-heure, nous étions arrivés sur la surface d’un roc fortement engagé dans la paroi de la cheminée. Hans tira la corde par l’un de ses bouts ; l’autre s’éleva dans l’air ; après avoir dépassé le rocher supérieur, il retomba en raclant les morceaux de pierres et de laves, sorte de pluie, ou mieux, de grêle fort dangereuse. En me penchant au-dessus de notre étroit plateau, je remarquai que le fond du trou était encore invisible. La manoeuvre de la corde recommença, et une demi-heure après nous avions gagné une nouvelle profondeur de deux cents pieds. Je ne sais si le plus enragé géologue eût essayé d’étudier, pendant cette descente, la nature des terrains qui l’environnaient. Pour mon compte, je ne m’en inquiétai guère ; qu’ils fussent pliocènes, miocènes, éocènes, crétacés, jurassiques, triasiques, perniens, carbonifères, dévoniens, siluriens ou primitifs, cela me préoccupa peu. Mais le professeur, sans doute, fit ses observations ou prit ses notes, car, à l’une des haltes, il me dit : « Plus je vais, plus j’ai confiance ; la disposition de ces terrains volcaniques donne absolument raison à la théorie de Davy. Nous sommes en plein sol primordial, sol dans lequel s’est produit l’opération chimique des métaux enflammés au contact de l’air et de l’eau ; je repousse absolument le système d’une chaleur centrale ; d’ailleurs, nous verrons bien. » Toujours la même conclusion. On comprend que je ne m’amusai pas à discuter. Mon silence fut pris pour un assentiment, et la descente recommença. Au bout de trois heures, je n’entrevoyais pas encore le fond de la cheminée. Lorsque je relevais la tête, j’apercevais son orifice qui décroissait sensiblement. Ses parois, par suite de leur légère inclinaison, tendaient à se rapprocher, l’obscurité se faisait peu à peu. Cependant nous descendions toujours ; il me semblait que les pierres détachées des parois s’engloutissaient avec une répercussion plus mate et qu’elles devaient rencontrer promptement le fond de l’abîme. Comme j’avais eu soin de noter exactement nos manoeuvres de corde, je pus me rendre un compte exact de la profondeur atteinte et du temps écoulé. Nous avions alors répété quatorze fois cette manoeuvre qui durait une demi-heure. C’était donc sept heures, plus quatorze quarts d’heure de repos ou trois heures et demie. En tout, dix heures et demie. Nous étions partis à une heure, il devait être onze heures en ce moment. Quant à la profondeur à laquelle nous étions parvenus, ces quatorze manoeuvres d’une corde de deux cents pieds donnaient deux mille huit cents pieds. En ce moment la voix de Hans se fit entendre : « Halt ! » dit-il. Je m’arrêtai court au moment où j’allais heurter de mes pieds la tête de mon oncle. « Nous sommes arrivés, dit celui-ci. –Où ? demandai-je en me laissant glisser près de lui. –Au fond de la cheminée perpendiculaire. –Il n’y a donc pas d’autre issue ? –Si, une sorte de couloir que j’entrevois et qui oblique vers la droite. Nous verrons cela demain. Soupons d’abord et nous dormirons après. » L’obscurité n’était pas encore complète. On ouvrit le sac aux provisions, on mangea et l’on se coucha de son mieux sur un lit de pierres et de débris de lave. Et quand, étendu sur le dos, j’ouvris les yeux, j’aperçus un point brillant à l’extrémité de ce tube long de trois mille pieds, qui se transformait en une gigantesque lunette. C’était une étoile dépouillée de toute scintillation et qui, d’après mes calculs, devait être ß (sigma) de la Petite Ourse. Puis je m’endormis d’un profond sommeil.
Chaque Français consomme pas moins de 55 kg de pommes de terre par an. Un chiffre en hausse, d'abord parce que le mauvais temps nous donne des envies de plats chauds... mais aussi parce que la patate a su inventer de nouvelles recettes... marketing.
C’est en travaillant comme hôtesse de l’air que Miyuki Murase a découvert le fromage. Elle en a fait son métier et a énormément à nous apprendre. Dimanche, à Tours, Miyuki Murase, Japonaise de Tokyo, a été sacrée meilleure fromagère du monde.Car oui, comme il existe un concours du meilleur sommelier du monde, il y a un concours du meilleur fromager du monde. En l’occurrence, c’est donc elle. Et sur les autres marches du podium, vous imaginez peut-être des Français ? Bah non, deux Belges. On est « out », nous les Français, soi-disant rois du frometon. Cette nouvelle étant connue, on peut aussi se demander : tu fais quoi pour devenir la meilleure fromagère du monde ?C’est simple, il faut être la meilleure dans un concours à multiples épreuves. - Découper (sans balance, bien entendu) quatre parts de 250 grammes dans cinq fromages différents choisis par l’organisation (le tout en cinq minutes) ; - Reconnaître des races locales d’animaux laitiers sur des photos; - Bien réussir un « blind test » de fromages : en goûtant quatre fromages, il fallait deviner leur nom, leur provenance, la technologie de leur fabrication, la nature de leur lait et leur temps d’affinage. Une des autres épreuves consistait aussi à mettre en scène des fromages pour des enfants. Elle a imaginé un parc et sa forteresse. Avec un roi et une reine en forme de chèvres, des escaliers de fromages, des bonbons, des bouts de gruyères représentant des souris-soldats. Aujourd’hui, elle a sa propre école de fromages à Tokyo. Elle ambitionne d’y ouvrir une boutique de vins et fromages l’hiver prochain.
La Chine contre-attaque sur le vin européen Les relations entre Bruxelles et la Chine s'enveniment déjà. Après que la Commission européenne a décidé de taxer le solaire chinois, Pékin n'a pas attendu pour répliquer. Le gouvernement chinois a lancé une procédure antidumping et anti-subventions visant les vins de l'Union européenne. «La Chine s'oppose vigoureusement aux pressions exercées par l'Europe par le biais de ses taxes injustes visant les produits photovoltaïques chinois», a affirmé ce mercredi Shen Danyang, porte-parole du ministère chinois du Commerce, tout en assurant que les relations entre la Chine et l'Europe ne devraient pas se dégrader. Quelques heures plus tôt pourtant, l'agence de presse officielle Chine nouvelle avait prévenu que la décision de la Commission européenne risquait de faire «dérailler» les relations commerciales entre la Chine et l'Union européenne. Pékin a déjà par le passé pris des mesures visant des produits européens en réplique à des décisions européennes d'enquêtes ou de taxes visant des sociétés ou des produits chinois. Le 10 mai dernier, la Chine avait annoncé passer au crible les tubes sans soudure importés de l'Union européenne, du Japon et des USA, au surlendemain d'une première proposition de la Commission européenne de lourdement taxer les importations de panneaux solaires chinois. Quelques jours après, une procédure était ouverte contre les chimistes du Vieux Continent. Le montant annuel des exportations de vins et spiritueux européens vers la Chine dépasse le milliard d'euros. Le premier exportateur européen vers la Chine est la France, avec 140 millions de litres de vin vendus en 2012, pour un montant de 788 millions de dollars, selon les douanes chinoises.
Le véritable voyage commençait. Jusqu’alors les fatigues l’avaient emporté sur les difficultés ; maintenant celles-ci allaient véritablement naître sous nos pas. Je n’avais point encore plongé mon regard dans ce puits insondable où j’allais m’engouffrer. Le moment était venu. Je pouvais encore ou prendre mon parti de l’entreprise ou refuser de la tenter. Mais j’eus honte de reculer devant le chasseur. Hans acceptait si tranquillement l’aventure, avec une telle indifférence, une si parfaite insouciance de tout danger, que je rougis à l’idée d’être moins brave que lui. Seul, j’aurais entamé la série des grands arguments ; mais, en présence du guide, je me tus ; un de mes souvenirs s’envola vers ma jolie Virlandaise, et je m’approchai de la cheminée centrale. J’ai dit qu’elle mesurait cent pieds de diamètre, ou trois cents pieds de tour. Je me penchai au-dessus d’un roc qui surplombait, et je regardai. Mes cheveux se hérissèrent. Le sentiment du vide s’empara de mon être. Je sentis le centre de gravité se déplacer en moi et le vertige monter à ma tête comme une ivresse. Rien de plus capiteux que cette attraction de l’abîme. J’allais tomber. Une main me retint. Celle de Hans. Décidément, je n’avais pas pris assez de « leçons de gouffre » à la Frelsers-Kirk de Copenhague. Cependant, si peu que j’eusse hasardé mes regards dans ce puits, je m’étais rendu compte de sa conformation. Ses parois, presque à pic, présentaient cependant de nombreuses saillies qui devaient faciliter la descente ; mais si l’escalier ne manquait pas, la rampe faisait défaut. Une corde attachée à l’orifice aurait suffi pour nous soutenir, mais comment la détacher, lorsqu’on serait parvenu à son extrémité inférieure ? Mon oncle employa un moyen fort simple pour obvier à cette difficulté. Il déroula une corde de la grosseur du pouce et longue de quatre cents pieds ; il en laissa filer d’abord la moitié, puis il l’enroula autour d’un bloc de lave qui faisait saillie et rejeta l’autre moitié dans la cheminée. Chacun de nous pouvait alors descendre en réunissant dans sa main les deux moitiés de la corde qui ne pouvait se défiler ; une fois descendus de deux cents pieds, rien ne nous serait plus aisé que de la ramener en lâchant un bout et en halant sur l’autre. Puis, on recommencerait cet exercice ad infinitum. « Maintenant, dit mon oncle après avoir achevé ces préparatifs, occupons-nous des bagages ; ils vont être divisés en trois paquets, et chacun de nous en attachera un sur son dos ; j’entends parler seulement des objets fragiles. » L’audacieux professeur ne nous comprenait évidemment pas dans cette dernière catégorie. « Hans, reprit-il, va se charger des outils et d’une partie des vivres ; toi, Axel, d’un second tiers des vivres et des armes ; moi, du reste des vivres et des instruments délicats. –Mais, dis-je, et les vêtements, et cette masse de cordes et d’échelles, qui se chargera de les descendre ? –Ils descendront tout seuls. –Comment cela ? demandai-je. –Tu vas le voir. » Mon oncle employait volontiers les grands moyens et sans hésiter. Sur son ordre, Hans réunit en un seul colis les objets non fragiles, et ce paquet, solidement cordé, fut tout bonnement précipité dans le gouffre. J’entendis ce mugissement sonore produit par le déplacement des couches d’air. Mon oncle, penché sur l’abîme, suivait d’un oeil satisfait la descente de ses bagages, et ne se releva qu’après les avoir perdus de vue. « Bon, fit-il. À nous maintenant. » Je demande à tout homme de bonne foi s’il était possible d’entendre sans frissonner de telles paroles ! Le professeur attacha sur son dos le paquet des instruments ; Hans prit celui des outils, moi celui des armes. La descente commença dans l’ordre suivant : Hans, mon oncle et moi. Elle se fit dans un profond silence, troublé seulement par la chute des débris de roc qui se précipitaient dans l’abîme. Je me laissai couler, pour ainsi dire, serrant frénétiquement la double corde d’une main, de l’autre m’arc-boutant au moyen de mon bâton ferré. Une idée unique me dominait : je craignais que le point d’appui ne vint à manquer. Cette corde me paraissait bien fragile pour supporter le poids de trois personnes. Je m’en servais le moins possible, opérant des miracles d’équilibre sur les saillies de lave que mon pied cherchait à saisir comme une main.
On aurait pu se dire tout ça Ailleurs qu'au café d'en bas, Que t'allais peut-être partir Et peut-être même pas revenir, Mais en tout cas, ce qui est sûr , C'est qu'on pouvait en rire. Alors on va se quitter comme ça, Comme des cons devant le café d'en bas. Comme dans une serie B, On est tous les deux mauvais. On s'est moqué tellement de fois Des gens qui faisaient ça. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires. J' sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime. Je voulais quand même te dire merci Pour tout le mal qu'on s'est pas dit. Certains rigolent déjà. Je m'en fous, je les aimais pas. On avait l'air trop bien. Y en a qui ne supportent pas. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui me viennent sont dérisoires. Je sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime
Expression: Au cas où Pronunciation: [o ka oo] Meaning: just in case Literal translation: in the case where Notes: The French expression au cas où is exactly equivalent to "(just) in case" in English. You can use it in front of a subject plus verb in the conditional, in which case its register is normal to formal. The more interesting - and informal - usage is when it's tacked on to the end of a sentence. Examples 1.Au cas où il rentrerait avant nous, je vais lui laisser un mot. (Just) in case he gets home before us, I'm going to leave him a note. 2. Apporte un parapluie, au cas où il pleuvrait. Bring an umbrella, (just) in case it rains. 3.Apporte un blouson, au cas où. Bring a jacket, just in case. Synonymous expressions
Selon des médias hongkongais, Victoria Beckham aurait sympathisé avec Kate Middleton lors de sa grossesse. La femme de David Beckham et mère de quatre enfants aurait alors partagé au téléphone quelques « secrets » de maternité avec la duchesse. Mais Victoria voyait même plus loin puisqu'elle espère que sa fille de deux ans, Harper Seven Beckham, deviendra la partenaire de jeu du prince George. Sachant que la duchesse sortira peu de chez elle après sa grossesse, Victoria aurait proposé d'emmener elle-même la petite Harper rendre visite au petit prince.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance. Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
La vie de Nelson Mandela est racontée en archives et en photo dans une exposition parisienne. 30.00 personnes l'ont déjà visitée en un mois.
Après la sortie du patron de Titan sur la paresse des salariés français, les Suisses les jugent à leur tour «arrogants» et «revendicateurs». Les entreprises helvètes trouvent des moyens d'éviter d'embaucher des Français. En février dernier, Maurice Taylor, le président du groupe américain Titan dénonçait la paresse des ouvriers français: «Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France», dénonçait-il, provoquant de vives réactions dans l'Hexagone… C'est désormais au tour des employeurs suisses de s'attaquer aux travailleurs français. Le journal helvétique Le Matin dimanche relève que la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi. Et ce, afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français. Le quotidien explique alors que les Français sont en effet considérés comme «paresseux» et «arrogants». Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat.
Pourquoi le moustique nous pique-t-il ? Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques…). L'eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Le Grand Bleu des années 80 a toujours autant la cote. Les cours d'apnée sont pris d'assaut pendant les vacances, notamment par les enfants. Une école leur est entièrement dédiée à Monaco.
Il était 18 heures passées d'une minute, quand la maire de Montpellier les a unis au nom de la loi. Vincent et Bruno sont devenus aujourd'hui le premier couple homosexuel marié en France.
On pourrait appeler cela le paradoxe français. Chaque année la France se classe avant-dernière du sondage sur l'espoir et le bonheur selon le Global barometer of hope and happiness BVA-WIN/GIA réalisé dans 54 pays. Ces sondeurs soulignent chaque année notre pessimisme foncier et notre faible "foi collective en l'avenir". Et pourtant, selon un sondage BVA réalisé pour le Forum changer d'ère, qui se tient à la Cité des sciences à Paris le mercredi 5 juin, les Français ne sont pas si malheureux. L'espoir existe bien aussi sur un plan collectif... et la demande de changement et de réformes est clairement présente. Au niveau personnel 81 % des Français se disent plutôt heureux. Bien entendu, le niveau de bonheur personnel est parfaitement proportionnel au niveau de revenu et à la catégorie socio-professionnelle, mais il est nettement majoritaire dans tous les segments de population. Les Français n'aiment pas le changement... mais le juge souhaitable. Les Français pensent que si l'on continue le pays court à la catastrophe (67 %), demandent que l'on aille plus loin dans les réformes (74 %), reprochent à tous nos dirigeants passés de n'avoir jamais eu le courage de faire les réformes indispensables (80 %), parce que ceux-ci penseraient plus à la conquête du pouvoir qu'à l'intérêt du pays (88 %). 80 % des Français seraient prêts à accepter des sacrifices à condition que les efforts soient justement répartis et que la direction proposée soit claire. Autre paradoxe, si les Français estiment que l'Etat doit être réformé en profondeur, ils pensent aussi que la qualité de nos services publics et de notre modèle social sont un atout pour l'avenir (44 %). Les deux autres atouts qui ressortent, selon les sondés : nos PME (59 %), et... le Made in France (53 %) ! Finalement, les Français ne sont pas si pessimistes que cela.
Un graffiti à Louxor indigne les internautes chinois C'est pour l'égyptologie, ou plutôt pour l'insulte qui lui a été faite, que l'Internet chinois s'est passionné le week-end passé. Les internautes se sont enflammés pour le «crime» d'un adolescent chinois, ayant apposé un graffiti sur un monument de Louxor, vieux de plus de 3000 ans. Tout est parti d'un post d'un autre touriste chinois sur Weibo. Sous le pseudo «Kongyouwuyi», celui-ci a mis en ligne une photo montrant des caractères chinois barbouillant le corps du Dieu Amon, dans l'enceinte du temple d'Amenhotep III. Immédiatement, la «chasse à la chair humaine» est lancée sur le Web chinois. Il s'agit de ce phénomène qui met des millions d'internautes à la recherche de personnes «coupables». Avec tous les succès que l'on connaît dans la lutte contre les corrompus, les cadres indélicats ou les délinquants. Ayant signé son acte, le profanateur de Louxor est vite retrouvé: il s'agit d'un jeune adolescent de 15 ans, habitant Nankin, dont toute la vie est alors livrée en pâture. Au début, les commentateurs le conspuent, lui reprochant d'être totalement irresponsable, d'endommager l'image de la Chine. Puis, le mouvement se renverse sur Internet. Des commentateurs dénoncent cet acharnement sur un garçon qui a certes commis un geste malheureux, mais que sa jeunesse excuse. Ils s'inquiètent des ravages que cette stigmatisation publique peut faire chez un enfant de cet âge. Des dizaines de journalistes se sont ainsi rué au domicile du jeune garçon, qui serait totalement traumatisé. Ses parents ont d'ailleurs fait leurs excuses dans un journal de Nankin. Nombre de commentateurs font finalement remarquer que ce sont les adultes qui sont à blâmer, pour ne pas avoir su assez inculquer en Chine le respect du patrimoine.
Tout à coup mon oncle poussa un cri ; je crus qu’il venait de perdre pied et de tomber dans l’un des trois gouffres. Mais non. Je l’aperçus, les bras étendus, les jambes écartées, debout devant un roc de granit posé au centre du cratère, comme un énorme piédestal fait pour la statue d’un Pluton. Il était dans la pose d’un homme stupéfait, mais dont la stupéfaction fit bientôt place à une joie insensée. « Axel ! Axel ! s’écria-t-il, viens ! viens ! » J’accourus. Ni Hans ni les Islandais ne bougèrent. « Regarde », me dit le professeur. Et, partageant sa stupéfaction, sinon sa joie, je lus sur la face occidentale du bloc, en caractères runiques à demi-rongés par le temps, ce nom mille fois maudit : « Arne Saknussemm ! s’écria mon oncle, douteras-tu encore ? » Je ne répondis pas, et je revins consterné à mon banc de lave. L’évidence m’écrasait. Combien de temps demeurai-je ainsi plongé dans mes réflexions, je l’ignore. Tout ce que je sais, c’est qu’en relevant la tête je vis mon oncle et Hans seuls au fond du cratère. Les Islandais avaient été congédiés, et maintenant ils redescendaient les pentes extérieures du Sneffels pour regagner Stapi. Hans dormait tranquillement au pied d’un roc, dans une coulée de lave où il s’était fait un lit improvisé ; mon oncle tournait au fond du cratère, comme une bête sauvage dans la fosse d’un trappeur. Je n’eus ni l’envie ni la force de me lever, et, prenant exemple sur le guide, je me laissai aller à un douloureux assoupissement, croyant entendre des bruits ou sentir des frissonnements dans les flancs de la montagne. Ainsi se passa cette première nuit au fond du cratère. Le lendemain, un ciel gris, nuageux, lourd, s’abaissa sur le sommet du cône. Je ne m’en aperçus pas tant à l’obscurité du gouffre qu’à la colère dont mon oncle fut pris. J’en compris la raison, et un reste d’espoir me revint au coeur. Voici pourquoi. Des trois routes ouvertes sous nos pas, une seule avait été suivie par Saknussemm. Au dire du savant islandais, on devait la reconnaître à cette particularité signalée dans le cryptogramme, que l’ombre du Scartaris venait en caresser les bords pendant les derniers jours du mois de juin. On pouvait, en effet, considérer ce pic aigu comme le style d’un immense cadran solaire, dont l’ombre à un jour donné marquait le chemin du centre du globe. Or, si le soleil venait à manquer, pas d’ombre. Conséquemment, pas d’indication. Nous étions au 25 juin. Que le ciel demeurât couvert pendant six jours, et il faudrait remettre l’observation à une autre année. Je renonce à peindre l’impuissante colère du professeur Lidenbrock. La journée se passa, et aucune ombre ne vint s’allonger sur le fond du cratère. Hans ne bougea pas de sa place ; il devait pourtant se demander ce que nous attendions, s’il se demandait quelque chose ! Mon oncle ne m’adressa pas une seule fois la parole. Ses regards, invariablement tournés vers le ciel, se perdaient dans sa teinte grise et brumeuse. Le 26, rien encore, une pluie mêlée de neige tomba pendant toute la journée. Hans construisit une hutte avec des morceaux de lave. Je pris un certain plaisir à suivre de l’oeil les milliers de cascades improvisées sur les flancs du cône, et dont chaque pierre accroissait l’assourdissant murmure. Mon oncle ne se contenait plus. Il y avait de quoi irriter un homme plus patient, car c’était véritablement échouer au port. Mais aux grandes douleurs le ciel mêle incessamment les grandes joies, et il réservait au professeur Lidenbrock une satisfaction égale à ses désespérants ennuis. Le lendemain le ciel fut encore couvert, mais le dimanche, 28 juin, l’antépénultième jour du mois, avec le changement de lune vint le changement de temps. Le soleil versa ses rayons à flots dans le cratère. Chaque monticule, chaque roc, chaque pierre, chaque aspérité eut part à sa bienfaisante effluve et projeta instantanément son ombre sur le sol. Entre toutes, celle du Scartaris se dessina comme une vive arête et se mit à tourner insensiblement vers l’astre radieux. Mon oncle tournait avec elle. À midi, dans sa période la plus courte, elle vint lécher doucement le bord de la cheminée centrale. « C’est là ! s’écria le professeur, c’est là ! Au centre du globe ! » ajouta-t-il en danois. Je regardai Hans. « Forüt ! fit tranquillement le guide. –En avant ! » répondit mon oncle. Il était une heure et treize minutes du soir.
L’avenir du mot de passe est un sujet qui préoccupe Google. A Mountain View, une vingtaine de personnes travaillent sur cette question au siège de la firme. 20 Minutes s’est entretenu avec Mayank Upadhyay, directeur de l'ingénierie en sécurité chez Google. De très nombreux sites ont été piratés l’an dernier. La fin des mots de passe, de plus en plus vulnérables, est-elle proche? Tous ces piratages de comptes nous ont poussés à travailler sur une nouvelle génération de mots de passe. Mais les mots de passe ne vont pas mourir. Je pense que c’est leur nature et la façon de les utiliser qui vont changer. Par exemple, ceux qui utilisent des téléphones Android n’ont qu’à le déverrouiller en dessinant un schéma sur l’écran pour avoir accès à leurs données. Ca, c’est un nouveau type de mot de passe. En 2011, on a aussi mis en place un système de double authentification: Gmail vous envoie un code par SMS avec un mot de passe supplémentaire pour pouvoir vous connecter à votre compte. Mais c’est un vrai défi d’inciter les internautes à le faire. Certains se demandent: «Que se passera-t-il si je perds mon téléphone?». Il y a pourtant des plans B. Comme donner le numéro de votre conjoint. Vous êtes quand même en train d’expérimenter un système qui va encore plus loin… Nous avons rejoint l’alliance Fido, aux côtés d’autres firmes comme PayPal. On travaille sur des solutions qui permettent de s’authentifier grâce à une clé unique, contenant les données nécessaires. Nous testons en interne des clés USB. Il suffit d’avoir un navigateur compatible et de la brancher pour s’identifier. Cela veut dire qu’il suffit d’avoir cette clé USB pour pouvoir se connecter à Gmail? Oui. Mais on va l’utiliser en plus de votre mot de passe, par sécurité en cas de perte. C’est plus simple que de taper un code qu’il faut attendre de recevoir sur son smartphone. C’est plus sécurisé aussi, car quelqu’un peut intercepter ce code, mais pas la clé. Si quelqu’un retrouve votre mot de passe, il ne pourra pas se connecter à votre compte sans cette clé USB. Et si vous l’oubliez quelque part, la personne qui la retrouvera ne saura pas à qui elle appartient. Quand est-ce que les utilisateurs pourront utiliser ce type de clé pour se connecter? Nous allons inviter quelques personnes à faire des tests d’ici la fin de l’année. On doit se montrer prudent, savoir quoi faire si quelqu’un perd sa clé. Et on veut voir si c’est un système qui plaît. Pour beaucoup de gens la sécurité informatique est quelque chose d’intangible. Si vous leur mettez quelque chose entre les mains en disant «voilà comment t’identifier» comme avec une clé de maison, je pense qu’ils vont avoir le sentiment d’avoir plus de contrôle. Cette clé USB fonctionnera seulement pour les services de Google? Avec l’alliance Fido, on travaille de sorte qu’elle puisse être utilisée pour plusieurs sites. Vous pourrez l’utiliser pour votre banque, Google, Facebook, Amazon, etc. Si vous l’utilisez pour vous identifier sur deux sites différents, ils ne sauront pas qu’il s’agit de la même personne pour préserver la confidentialité des utilisateurs. Comment expliquez-vous l’explosion du piratage dans le monde en 2012? Ces dernières années, les gens se sont créés beaucoup de comptes sur beaucoup de sites… En moyenne, une personne en possède vingt! Certains utilisent le même mot de passe pour tous ces services. Il y a des petits sites plus vulnérables que d’autres qui vont céder plus facilement. C’est comme ça qu’un mot de passe peut être volé et conduire au piratage d’autres de vos comptes. Avez-vous des conseils à donner aux internautes? N’utilisez pas votre mot de passe Gmail pour d’autres sites. Plein de gens disent «qui peut bien vouloir lire mes e-mails?». Mais c’est important. Par exemple, vous pouvez recevoir des messages de votre banque. De nos jours, plus de 99% des spams sont détectés par votre boîte mail. Des hackers peuvent alors vouloir se faire passer pour vous pour envoyer des e-mails à vos amis et leur demander de l’argent. Autre conseil: activez la double authentification. Elle rend le piratage plus difficile.
Certains médecins militent pour une légalisation du cannabis à des fins thérapeutiques. Pourtant, la consommation de cette drogue est un délit en France. Par conséquent, des patients français vont s'approvisionner à l'étranger.
Remède efficace pour traiter l'alcoolisme selon un nombre croissant de médecins et malades, le baclofène va bénéficier d'une première reconnaissance officielle en France après des années de croisade par le docteur Olivier Ameisen, ex-alcoolique guéri grâce à ce décontractant musculaire bon marché. C'est progressivement à partir des années 90, notamment avec les travaux précurseurs du chercheur italien Giovanni Addolorato, qu'ont été découvertes et expérimentées les vertus de ce "myorelaxant" pour traiter les addictions, en particulier à l'alcool. En France, c'est surtout l'auto-expérimentation du cardiologue français Olivier Ameisen et son livre "Le dernier verre" publié en 2008 qui a popularisé le "baclo", fait s'envoler les ventes en pharmacie et multiplié les témoignages en sa faveur. L'alcool reste en France la deuxième cause évitable de mortalité après le tabac. Il coûte directement près de 3 milliards d'euros et indirectement environ 20 milliards d'euros à la société française, selon la Sécurité sociale.
Nathalie Kosciusko-Morizet a remporté la primaire UMP pour les municipales à Paris dès le premier tour avec 58,16 % des suffrages exprimés lundi 3 juin. Alors que l'UMP attendait de 50 000 à 60 000 votants, ce sont seulement 23 300 personnes qui ont voté depuis vendredi. La gagnante, très émue, s'est aussitôt rendue à la rue de la Lune à scooter, où elle a lu une brève déclaration devant la presse et ses partisans. Si elle l'a emporté largement, avec 58,16% des voix, sans qu'aucun de ses challengers ne se détachent - Jean-François Legaret, maire du Ier arrondissement de Paris, a obtenu 20,40% des voix, suivi de Franck Margain, vice-président du Parti chrétien-démocrate (10,34%) - et que tous reconnaissent sa victoire, tout n'a pas toujours été si facile au cours de cette campagne. Le président de l'UMP, Jean-François Copé, a félicité Nathalie Kosciusko-Morizet pour son "très beau succès" et a appelé les trois autres candidats "à se retrouver"autour d'elle. La nouvelle candidate de l'UMP à la mairie de Paris a été également félicitée par François Fillon mais aussi par Guillaume Peltier, vice-président de l'UMP et leader de la Droite forte, qui avait critiqué sa candidature. Elle est désormais tout à son match pour «gagner Paris», ciblant sa rivale socialiste Anne Hidalgo. La vraie campagne commence.
Le groupe informatique Apple a nié lundi devant la justice américaine avoir été le chef d'orchestre d'une entente avec de grandes maisons d'édition pour relever les prix des livres électroniques, ce dont l'accuse le gouvernement américain. Apple a lancé sa tablette informatique iPad au printemps 2010 et "ce jour là les prix de la plupart des livres électroniques ont monté de plus de 15%", a résumé, graphique à l'appui, un avocat Lawrence Buterman, au premier jour du procès à New York. Il a décrit "un schéma coordonné organisé par Apple", qui a "sciemment et intentionnellement aidé" les éditeurs à relever les prix. Les cinq éditeurs impliqués ont soldé l'affaire à l'amiable. Les sociétés française Hachette, américaines HarperCollins et Simon and Schuster (CBS), britannique Penguin et une filiale de l'allemand Bertelsmann, Macmillan, seront seulement entendus comme témoins. Lawrence Buterman a décrit une entente orchestrée par Eddy Cue, dirigeant en charge des contenus chez Apple, par courriel, téléphone, et lors de rencontres à New York avec les patrons des éditeurs, mais avec des compte-rendus très réguliers au patron de l'époque d'Apple, Steve Jobs. Orin Snyder a toutefois accusé le gouvernement de citer de manière "sélective" et "hors contexte" Steve Jobs, en particulier un extrait d'une biographie où il décrit un nouveau modèle de distribution "où oui, le consommateur paye un peu plus" utilisé comme une preuve qu'Apple savait que les prix augmenteraient. L'intéressé est décédé, et son successeur Tim Cook ne doit pas témoigner. Les audiences doivent durer au total trois semaines, avec des plaidoiries finales le 20 juin.
On aurait pu se dire tout ça Ailleurs qu'au café d'en bas, Que t'allais peut-être partir Et peut-être même pas revenir, Mais en tout cas, ce qui est sûr , C'est qu'on pouvait en rire. Alors on va se quitter comme ça, Comme des cons devant le café d'en bas. Comme dans une serie B, On est tous les deux mauvais. On s'est moqué tellement de fois Des gens qui faisaient ça. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires. J' sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime. Je voulais quand même te dire merci Pour tout le mal qu'on s'est pas dit. Certains rigolent déjà. Je m'en fous, je les aimais pas. On avait l'air trop bien. Y en a qui ne supportent pas. Mais je trouve pas de refrain à notre histoire. Tous les mots qui me viennent sont dérisoires. Je sais bien que je l'ai trop dit, Mais je te le dis quand même... je t'aime
Expression: Au cas où Pronunciation: [o ka oo] Meaning: just in case Literal translation: in the case where Notes: The French expression au cas où is exactly equivalent to "(just) in case" in English. You can use it in front of a subject plus verb in the conditional, in which case its register is normal to formal. The more interesting - and informal - usage is when it's tacked on to the end of a sentence. Examples 1.Au cas où il rentrerait avant nous, je vais lui laisser un mot. (Just) in case he gets home before us, I'm going to leave him a note. 2. Apporte un parapluie, au cas où il pleuvrait. Bring an umbrella, (just) in case it rains. 3.Apporte un blouson, au cas où. Bring a jacket, just in case. Synonymous expressions
Selon des médias hongkongais, Victoria Beckham aurait sympathisé avec Kate Middleton lors de sa grossesse. La femme de David Beckham et mère de quatre enfants aurait alors partagé au téléphone quelques « secrets » de maternité avec la duchesse. Mais Victoria voyait même plus loin puisqu'elle espère que sa fille de deux ans, Harper Seven Beckham, deviendra la partenaire de jeu du prince George. Sachant que la duchesse sortira peu de chez elle après sa grossesse, Victoria aurait proposé d'emmener elle-même la petite Harper rendre visite au petit prince.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance. Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
La vie de Nelson Mandela est racontée en archives et en photo dans une exposition parisienne. 30.00 personnes l'ont déjà visitée en un mois.
Après la sortie du patron de Titan sur la paresse des salariés français, les Suisses les jugent à leur tour «arrogants» et «revendicateurs». Les entreprises helvètes trouvent des moyens d'éviter d'embaucher des Français. En février dernier, Maurice Taylor, le président du groupe américain Titan dénonçait la paresse des ouvriers français: «Les salariés français touchent des salaires élevés mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures. Je l'ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France», dénonçait-il, provoquant de vives réactions dans l'Hexagone… C'est désormais au tour des employeurs suisses de s'attaquer aux travailleurs français. Le journal helvétique Le Matin dimanche relève que la mention «Suisse et résident suisse» figure sur de nombreuses offres d'emploi. Et ce, afin de ne pas engager de transfrontaliers et de français. Le quotidien explique alors que les Français sont en effet considérés comme «paresseux» et «arrogants». Le journal cite une PME suisse, active dans le secteur de la construction, qui écarte les Français après plusieurs mauvaises expériences. «Les Français embauchés étaient souvent malades le lundi et le vendredi», se plaint la responsable du recrutement, qui fustige leur attitude revancharde et revendicatrice. «Il y a toujours un problème. Alors que les Espagnols et les Portugais, ça n'a vraiment rien à voir», a-t-elle déclaré sous couvert de l'anonymat.
Pourquoi le moustique nous pique-t-il ? Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques…). L'eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant.
Acheter du vin des autres provinces:L'industrie viticole au pays se développe certains vins gagnent des prix à l'étranger. Mais il est difficile pour les Canadiens d'acheter ou de commander du vin d'autres provinces.
Titre: L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie plus Genre: Aventure Nationalité: Français , américain Date de sortie: 16 octobre 2013 T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Patrick Bruel est un chanteur et acteur français, né le 14 mai 1959 à Tlemcen (alors Algérie française). Né, selon les sources, Patrick, Patrick Maurice, ou Maurice Benguigui, il a obtenu par décret, en 2003, le droit de changer son nom en Patrick Bruel Benguigui. Discographie de Patrick Bruel

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