Cet article explore l’un des impensés de la volonté récente de transition écologique du numérique : les puissantes dérives sociales qui l’accompagnent et le structurent. Largement dominées par une vision quantitative (émissions de CO2, efficacité énergétique, etc.) propre au contexte scientifique moderne, nous rappelons ici que les réponses du numérique aux enjeux socio-environnementaux constituent en réalité une fuite en avant délétère pour les populations humaines et non humaines de la planète.
Nous l’avions écrit conjointement avec Romain Couillet, Grégoire Poissonnier, et mes camarades d’école d’ingénieur lors d’un projet autour du low-tech numérique. Vous pouvez consulter l’article sur le lien suivant :